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Introduction

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Le sport offre de nombreuses occasions de réaliser des photographies exceptionnelles mais la difficulté des prises de vue reste un défi, même pour les photographes très aguerris. Dans ce domaine, l'expérience est extrêmement importante et elle ne peut s'acquérir que par la pratique, donc par l'accumulation des « heures de vol », à condition tout de même que le temps passé au bord des terrains donne lieu à une réflexion approfondie sur la qualité des résultats. Qui que l'on soit, même avec une très grande expérience, on doit donc s'attendre à un pourcentage élevé d'échecs et à de nombreuses déceptions.

Matériel et considérations techniques

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C'est à ce niveau que la plupart des amateurs rencontrent les premières difficultés. Il suffit de regarder les magazines spécialisés pour constater que la quasi totalité des photos publiées ont été prises avec des boîtiers reflex munis d'objectifs de longue focale ou de super téléobjectifs. Comme de plus il est souvent nécessaire d'opérer à des temps de pose très faibles, ces objectifs doivent être aussi lumineux que possible. La facture devient vite aussi lourde pour le compte en banque que le fourre-tout pour les épaules.

Malgré cela, ceux qui ne possèdent pas un matériel dernier cri peuvent tout de même réaliser d'excellentes photographies, à condition d'en connaître les limites et de posséder un minimum d'expérience.

En sport, les mouvements sont très rapides et il faut généralement utiliser des temps de pose très brefs, typiquement de l'ordre de 1/1 000 s. L'usage d'objectifs très lumineux est vivement recommandé, d'une part pour profiter au maximum de la lumière ambiante et d'autre part pour obtenir une faible profondeur de champ, de façon que les sujets principaux se détachent sur des fonds très flous. Il faudra souvent utiliser des sensibilités élevées, 400 ISO peut être considéré comme un minimum dans de nombreuses situations.

Un petit magnétophone, ou plus simplement un carnet et un crayon, seront souvent utiles pour prendre des notes.

Boîtiers

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Les appareils reflex à vocation professionnelle sont tout naturellement les préférés des reporters sportifs. Ils offrent des performances d'ensemble élevées, une très bonne qualité d'enregistrement des images, une vitesse de réaction généralement satisfaisante, la possibilité de réaliser des cadrages précis et, bien entendu, la possibilité de changer l'objectif en fonction des besoins. Leurs systèmes autofocus sont aujourd'hui presque toujours suffisamment réactifs pour permettre le suivi des actions.

Les appareils de type bridge de haut de gamme peuvent aussi convenir, les meilleurs pour la photographie sportive étant ceux qui sont équipés de zooms relativement lumineux et capables de fortes variations de focale. Ces appareils ont toutefois une vitesse de réaction plus faible que les reflex, ils obligent de ce fait à anticiper les actions, ce qui est plus facile lorsque l'on photographie un sport que l'on connaît bien. Il faut souvent faire la mise au point par avance sur une distance donnée en visant par exemple un joueur peu mobile, les poteaux des buts de football, etc. et garder en mémoire les réglages en maintenant le déclencheur à demi enfoncé. Le déclenchement peut alors intervenir très vite au moment propice, car l'appareil a déjà réalisé les réglages.

Les appareils compacts ne conviennent vraiment que s'ils possèdent un zoom d'amplitude suffisante. Les précautions d'emploi sont alors les mêmes que pour les bridges.

Objectif(s)

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Dans la plupart des cas, les objectifs à focale variable permettent de modifier très vite les cadrages et de mieux composer les photographies. Sur un appareil reflex à petit capteur, un zoom du genre 90-250 mm f/2,8, équivalent à un 150-400 en 24 x 36, couvre l'essentiel des besoins. Il s'agit évidemment d'objectifs très ouverts, à la fois lourds et coûteux. Des focales plus longues, pouvant aller jusqu'à 600 ou 800 mm, sont utiles pour certains sports comme le football, où les actions se passent souvent à plusieurs dizaines de mètres du photographe.

Pour les photographes qui n'ont pas les moyens de dépenser plusieurs milliers d'euros dans l'achat de tels objectifs, il existe aussi des zooms moins ambitieux, avec des ouvertures plus modestes de l'ordre de f/3,5 ou f/4 et qui peuvent être considérées comme suffisantes, à condition toutefois que la qualité soit au rendez-vous dès la pleine ouverture, ce qui n'est pas toujours le cas. Les appareils de type bridge, équipés de zooms à très grande variation de focale, peuvent également convenir pour enregistrer les actions lointaines.

L'intérêt des objectifs très ouverts est bien sûr de permettre l'utilisation de vitesses plus élevées ou de sensibilités plus basses, mais surtout de fournir une faible profondeur de champ. Dans une photographie, à part les taches les plus claires, ce sont les zones nettes qui attirent le regard en premier et la mise au point doit donc être réalisée avec le plus grand soin sur le sujet principal. Un environnement flou devient intéressant parce qu'il fait davantage ressortir les zones nettes, mais aussi parce qu'il dissimule un maximum d'éléments indésirables ou inutiles, à commencer par les panneaux publicitaires qui polluent presque toujours le décor.

Cartes et batteries

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Les cartes mémoires sont aujourd'hui peu onéreuses, aussi choisissez-en d'assez forte capacité car les photographies faites en rafales occupent vite beaucoup de place. Cela va sans dire, mais c'est encore mieux en l'écrivant, vérifiez que les cartes que vous emportez ont bien été vidées de leur contenu précédent et profitez-en pour les reformater de façon à éviter tout problème d'enregistrement par la suite. Veillez aussi à ce que les batteries soient chargées, car autrement votre beau matériel sera mis en chômage technique.

Utiliser un pied ou un monopode

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Les gros téléobjectifs très lumineux sont aussi, par la force des choses, très lourds. L'usage d'un monopode peut donc être recommandé, mais celui-ci ralentit tout de même considérablement les mouvements et la mise en action du photographe. Pour les photographes peu musclés, ou dont les vertèbres sont fragiles, ou encore en l'absence de stabilisation, le monopode est quasi indispensable. Le trépied donne évidemment une meilleure stabilité mais se révèle souvent peu pratique en photographie sportive.

Les réglages de l'appareil

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La lumière et les conditions de pose

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La lumière peut être bonne ou mauvaise. On dispose généralement d'une luminosité élevée pour les sports de plein air, du moins quand ils ne se déroulent pas en « nocturne ». En revanche, les projecteurs des stades ou les éclairages des salles émettent des lumières qui offrent rarement une bonne qualité pour la photographie. En lumière du jour, un matériel de prise de vues de type « grand public » peut suffire mais il en va tout autrement lorsque le niveau de lumière est faible.

Les passages les plus intéressants dans le déroulement des compétitions sportives sont généralement ceux où les actions se succèdent le plus rapidement. À moins que l'on cherche à obtenir des effets de flou ou de filé, il est bien rare que l'on puisse utiliser des temps de pose plus longs que 1/250 s. Dans ces conditions, une lumière faible oblige à propulser la sensibilité vers le maximum possible, avec les effets que l'on connaît sur le grain ou le bruit numérique. Dans ces conditions, des objectifs très lumineux sont évidemment bienvenus mais pas toujours suffisants pour supprimer toutes les difficultés.

Mode « sport », priorité vitesse ou réglage manuel ?

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Presque tous les appareils numériques offrent aujourd'hui un mode « sport » qui fait dériver les réglages vers les vitesses rapides et les sensibilités élevées. Bien souvent, il en résulte une qualité d'image assez médiocre. Il vaut alors mieux passer en mode priorité vitesse, régler la sensibilité sur 400 ISO par exemple, faire des essais rapides sur place et voir ce que cela donne. Le mode sport a aussi généralement pour effet de provoquer la prise de vues en rafales, un réglage recommandable et que l'on peut aussi fort bien effectuer manuellement. En général un temps de pose de l'ordre de 1/500 s est suffisamment court pour figer la plupart des actions sportives, mais on peut évidemment préférer des temps plus longs et mettre à profit le flou qui en résulte pour suggérer le mouvement ou pour obtenir certains effets artistiques.

Certains photographes sportifs opèrent en mode entièrement manuel. En présence de joueurs vêtus de blanc et situés devant un fond sombre, par exemple, le système de mesure de l'appareil risque fort d'être influencé de façon prépondérante par le fond sombre et dans ces conditions les clichés seront systématiquement surexposés. Cependant, il se peut que les joueurs soient amenés à se trouver tantôt au soleil, tantôt à l'ombre, et dans ces conditions le choix du mode priorité vitesse est plus que fortement conseillé.

Autofocus et mise au point manuelle

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L'autofocus, si on l'utilise, doit être réglé sur « continu » de façon que la mise au point soit faite au fur et à mesure que le sujet se déplace. Si celui-ci est animé de mouvements rapides, il n'est d'ailleurs pas certain que l'appareil soit capable de réagir assez rapidement. Dans ce mode autofocus, le déclenchement est possible même si la netteté n'est pas obtenue et il faut donc s'attendre à devoir éliminer par la suite un grand nombre d'images floues. La prise de vue en rafales permet d'augmenter les chances de réussite mais le nombre d'images que l'appareil peut enregistrer dépend généralement du « poids » des fichiers, lequel varie fortement selon que l'enregistrement est fait au format RAW, TIF ou JPG. Toutefois, lors des actions rapides, il n'est généralement pas possible d'enregistrer plus de 2 ou 3 images, on a donc de bonnes chances de « passer à côté » de l'essentiel.

La multiplication des zones de mise au point n'est pas forcément un avantage car la netteté risque de ne pas être réalisée là où il faudrait. Il vaut mieux, quand c'est possible, conserver seulement trois zones, une à gauche, une à droite et évidemment la zone centrale ; sinon, la zone centrale seule suffira dans bien des cas.

Beaucoup de photographes préfèrent encore réaliser eux-mêmes la mise au point, malgré les automatismes perfectionnés dont sont dotés les matériels modernes. En ce qui VOUS concerne, tout dépend de VOTRE matériel et de VOTRE habileté personnelle, donc de VOS réflexes et de la qualité de VOTRE vision. Dans la plupart des cas, l'autofocus fera probablement mieux que vous... mais lui aussi a ses limites. L'idéal est sans doute de posséder un matériel permettant d'outrepasser l'autofocus en retouchant manuellement la mise au point.


Conseils pratiques

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Préparez vos prises de vues

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La première chose à faire est sans doute de repérer les lieux avec soin et d'essayer de vous placer au mieux par rapport à la lumière, du moins pour les compétitions qui sont éclairées par la lumière solaire. Autant que possible, essayez de vous placer de façon que le soleil soit dans votre dos. Si les conditions vous permettent de vous déplacer, faites en sorte de cadrer autant que possible les actions devant des fonds aussi peu encombrés que possible. Dans certaines compétitions comme les concours hippiques, il est souvent très difficile de trouver un point de vue tel que l'arrière-plan soit acceptable.

Il n'est pas mauvais aussi de vous informer sur les concurrents eux-mêmes, de chercher à savoir quels sont ceux qui sont en passe de réaliser les meilleures performances ou qui sont capables des gestes les plus spectaculaires.

Habillez-vous pour être à l'aise

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Un gros chandail, un imperméable à larges poches, remplacent avantageusement un classique manteau dans lequel vous serez toujours plus ou moins engoncé. Des chaussures adaptées au terrain vous permettront de vous déplacer rapidement, sans risquer les glissages

Choisissez entre photographier et profiter du spectacle !

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Il va de soi que le photographe armé d'un gros téléobjectif est peut-être en mesure d'immortaliser un joueur de football en pleine action, mais ce qu'il voit dans son viseur ne représente qu'une petite partie de ce qui se passe sur le terrain et forcément sa vision des choses sera au bout du compte très limitée. Il serait évidemment plus facile de suivre le match à travers un objectif grand angulaire, mais ce serait alors au détriment de la photographie d'action et les mouvements individuels, qui sont généralement les plus spectaculaires, ne seraient plus mis en valeur.

En utilisant un téléobjectif, il faut s'efforcer de garder en permanence les deux yeux ouverts, de façon à rester en alerte et à changer rapidement de cadrage si les circonstances l'exigent. Un zoom du genre 70-200 (pour le 24 x 36) est souvent considéré comme un choix judicieux.

Gardez l'œil dans le viseur

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C'est une habitude à prendre, et elle est particulièrement importante ; il faut en effet garder toute votre attention sur ce qui se passe car les scènes intéressantes que vous aurez manquées n'ont aucune chance de se reproduire.

Sachez anticiper

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C'est probablement là que réside le secret de la plupart des grandes photographies de sport. Si l'on déclenche au moment où une action de produit, c'est presque toujours trop tard : la photographie représentera ce qui s'est passé une fraction de seconde après l'instant le plus intéressant, et dans les cas extrêmes les sujets seront même en partie ou en totalité sortis du cadre. C'est pourquoi le fait de connaître le sport que l'on souhaite photographier est très important, car cela permet de déclencher une fraction de seconde avant le moment décisif, ni trop tôt, ni trop tard, de façon à enregistrer la photographie la plus intéressante possible.

Il est bien sûr possible de déclencher en rafale, mais cette manière de faire ne garantit pas que vous obtiendrez de meilleures images car l'instant décisif peut très bien se produire entre deux clichés. Malgré tout, c'est probablement un bon choix si vous n'avez pas une connaissance suffisante du sport photographié, par exemple si vous le découvrez pour la première fois. Il va de soi que si les rafales ne coûtent pas cher avec un appareil numérique, il n'en est pas de même avec du film, d'autant que sur une série de photos prises en un très court laps de temps, sauf exceptions, une seule image au plus sera finalement retenue.

Ne négligez pas les « à-côté »

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Dans une compétition sportive, tout ne se passe pas sur le terrain. Les spectateurs peuvent constituer une très bonne source d'inspiration, de même que les athlètes qui attendent leur tour ou les entraîneurs qui crient leurs instructions.

Lorsqu'une action s'est terminée, il faut toujours essayer de suivre l'un des acteurs qui l'ont conduite. Il est probable qu'il laissera transparaître des sentiments ou des émotions et si cela arrive, vous serez prêt à les enregistrer ; en sport la jubilation du but marqué ou de la performance réussie s'accompagnent généralement de la détresse ou de la déception des joueurs ou des athlètes qui ont échoué dans leurs tentatives.

Indépendamment des phases les plus intenses des compétitions, ces prises de vues un peu « décalées » vous permettront de construire plus facilement un ensemble de photos qui composeront un reportage ou qui raconteront une histoire.

Cherchez le bon angle de prise de vue

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La perception que l'on a d'un sport dépend beaucoup de l'angle sous lequel on se trouve placé. Le rugby, le football, par exemple, n'ont pas du tout le même aspect selon qu'on les observe depuis les tribunes ou depuis la ligne de touche. C'est sans doute de ce dernier endroit que l'on peut réaliser les photographies les plus spectaculaires et si, de plus, on a la possibilité de se déplacer en bordure du terrain, on multiplie ses chances, en particulier pour les sports rapides tels que le football. Pour le rugby, certaines actions sont plus lentes car la balle est souvent portée par les joueurs et certaines phases de jeu sont relativement prévisibles ; beaucoup de reporters sportifs préfèrent se mettre à genoux pour adopter un point de vue suffisamment bas et susceptible de faire paraître plus « grands » les joueurs.

Attention toutefois aux dangers que l'on court en restant le long de la ligne de touche. Un ballon arrivant avec force sur un visage ou sur un téléobjectif peut faire de gros dégâts, la rencontre brutale avec 110 kg de muscles et d'os lancés à pleine vitesse laisse généralement des traces désagréables, aussi bien pour le joueur que pour le photographe et son matériel. Les rencontres avec les balles de golf sont bien sûr hautement déconseillées et l'on connaît des reporters sportifs qui ont perdu un bon paquet de dents en recevant de plein fouet une balle de base-ball.

Jouez sur la vitesse pour donner une impression de mouvement

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Une très grande vitesse d'obturation permet de « geler » un mouvement, ce qui peut se révéler intéressant, mais le flou engendré par une vitesse plus faible peut donner, dans de bonnes conditions, une forte impression de mouvement. Une grande image n'est pas forcément une image nette ! N'hésitez donc pas à choisir la valeur la mieux appropriée à telle ou telle situation ; les photographes nés à l'ère du numérique ont bien de la chance, ils peuvent multiplier les essais, et donc les photos ratées, sans se ruiner !

Cadrez serré

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Un cadrage serré permet, dans l'idéal, de montrer seulement ce qui est intéressant, en éliminant tous les éléments étrangers à l'action ou ceux qui portent préjudice à l'intérêt du décor.

Ne prenez pas de risques inutiles

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Lors de compétitions telles que la course automobile, le cyclisme, veillez à la fois à ne pas vous mettre en danger et à ne pas gêner la compétition. Le fait de cadrer avec un objectif grand angulaire ou un téléobjectif, en particulier, peut complètement fausser votre appréciation des distances.

Particularités des divers sports

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Athlétisme

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Sports d'équipe

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Football

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Les photographes ne rencontrent guère de problèmes pour approcher le terrain lors des matches entre « petites équipes » mais cela leur est pratiquement impossible pour les rencontres entre « grands » clubs. Pour les professionnels les problèmes sont les mêmes et ils doivent généralement batailler pour obtenir un laisser passer spécial accordé par les organisateurs des rencontres.

Beaucoup de matches se déroulent en soirée et non en journée, l'éclairage artificiel est alors la règle. La lumière des lampes utilisées pour l'éclairage des terrains est voisine de celle du jour et les films équilibrés pour les basses températures de couleur (lumière tungstène) ne sont pas les plus indiqués pour les prises de vues. De même, avec les appareils numériques, il vaut mieux adopter la balance des couleurs « lumière du jour ». Pour ceux qui utilisent le mode RAW, ce problème ne se pose pas puisque l'équilibre des couleurs est obtenu lors du « développement » des fichiers.

Une sensibilité d'au moins 400 ISO est requise pour éviter les flous de bougé, mais on peut aller sans problème jusqu'à 800 ou 1 600 ISO selon la qualité de l'éclairage du stade et le boîtier dont on dispose. D'une manière générale il faut faire en sorte que le temps de pose ne soit pas supérieur à 1/250 s, de façon à figer les mouvements. Les appareils dotés d'un mode « sport » facilitent éventuellement la tâche des débutants mais les professionnels expérimentés préfèrent garder la maîtrise de tous les paramètres de leurs prises de vues.

Depuis les tribunes les actions ne peuvent pas être enregistrées convenablement sans utiliser un objectif de focale suffisamment longue. En 24 x 36 un zoom de type 80-200 permet d'être relativement « près » des actions de jeu, en revanche il ne permet pas de réaliser des plans d'ensemble, lesquels sont souvent intéressants pour saisir l'ambiance qui règne dans le stade. Certains professionnels utilisent en parallèle deux appareils, l'un est muni d'un objectif de longue focale et tenu à la main pour saisir les actions, l'autre est monté sur pied et muni d'un objectif grand angulaire dont la mise au point est préréglée sur le centre du terrain. Ce second appareil est commandé par une pédale. Les prises de vues sont évidemment facilitées par l'usage d'objectifs très lumineux qui permettent d'obtenir des temps de pose suffisamment faibles mais aussi limitent la profondeur de champ, ce qui a pour effet de centrer le regard du spectateur sur les actions intéressantes. Le football est un sport très rapide, le photographe doit sans arrêt suivre la balle s'il veut obtenir des photographies intéressantes. Le taux d'échecs est toujours très élevé et l'un des meilleurs conseils est de multiplier les prises de vues, ce qui ne pose guère de problème avec les appareils numériques (si ce n'est la difficulté du tri et l'établissement d'une sélection des meilleures images). Comme en bien d'autres circonstances, la « poubelle » de l'ordinateur est la meilleure alliée du photographe.

Pur diverses raisons, entre autres parce que les actions se prolongent très souvent en-dehors des limites du terrain, il est encore plus difficile de s'approcher d'un match de rugby que d'un match de football. Contrairement à ce qui se passe au football, le ballon de rugby est très souvent porté et accompagné par les joueurs, plutôt que passé de l'un à l'autre sur des distances parfois très importantes, et il y a davantage d'actions collectives. Cependant, le jeu n'est pas moins rapide et les spécialistes considèrent qu'il faut utiliser des temps de pose encore plus courts, au maximum 1/500 s. Le fait que la plupart des rencontres ont lieu le jour plutôt qu'en soirée est évidemment un atout important, à condition de se trouver sous un bon angle par rapport au soleil. Avoir la lumière de face constitue notamment un handicap particulièrement important !

L'idéal est de pouvoir se déplacer tout autour du terrain, ce qui sous-entend que l'on ne soit pas empêtré par son matériel. Il faut alors s'équiper « léger », éventuellement avec deux boîtiers munis, l'un d'une focale « normale » et l'autre d'un télé-zoom style 80-200 mm.

Un autre élément favorable est la parfaite connaissance des règles du jeu : cela permet dans une large mesure de prévoir comment une action va évoluer et donc de se préparer instinctivement à déclencher au meilleur moment possible.

Les rencontres se disputent presque toujours en salle avec un éclairage souvent peu abondant, ce qui ne facilite pas les choses. Pour les utilisateurs de films, un flash très puissant est une quasi nécessité mais ce genre de matériel n'est jamais apprécié des joueurs et des responsables de la sécurité. Avec les appareils numériques les plus récents ce problème se pose moins en raison des sensibilités très élevées qui sont maintenant disponibles.

Les meilleures places pour obtenir de bonnes photographies sont les plus proches des paniers car c'est là que se déroulent les actions les plus intéressantes.

Handball

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Les problèmes sont du même ordre que pour le basket, la focale la plus utile est probablement le 135 mm (en 24 x 36), pour saisir convenablement les attitudes des joueurs ou les parades des gardiens. C'est dans les tribunes, au niveau des zones, que se situent les meilleures places.

Sports mécaniques

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Les compétitions motocyclistes sont à la mode depuis de nombreuses années. Les circuits sont parfois établis sur des routes fermées à la circulation les jours de course, mais il existe aussi des pistes spécialement réservées à cet effet, où tout est prévu pour la sécurité des pilotes et des spectateurs. Les premiers permettent de réaliser assez facilement des photos d'ambiance, éventuellement en utilisant un grand angulaire, en revanche les seconds sont conçus pour éloigner les spectateurs de la piste et les longues focales deviennent alors une quasi nécessité. Il est également impossible de s'approcher des pilotes.

Les photos de course prises avec une vitesse trop grande (1/1 000 s ou moins) donnent une impression de « figé » qui convient mal à la situation car l'impression de vitesse n'est pas bien rendue. Il est généralement admis que cette impression est obtenue au mieux lorsque la moto et le pilote sont nets tandis que le fond est flou, avec un effet de « filé » dans le sens du déplacement. Pour obtenir cet effet, la meilleure vitesse semble être 1/250 s, l'opérateur doit s'efforcer de suivre la moto dans le viseur le plus régulièrement possible et de prendre la photo dans le mouvement, sans s'arrêter juste après le déclenchement

On peut réussir des photos très spectaculaires avec des temps de pose un peu plus longs, 1/125 ou même 1/60 s mais si le flou du fond est accentué, il devient de plus en plus difficile d'obtenir une netteté parfaite sur la moto, au fur et à mesure que le temps de pose s'allonge. Seul le hasard permettra, avec des temps encore plus longs, d'obtenir des photographies satisfaisantes. À l'époque des films argentiques, la dépense risquait d'être prohibitive. Avec les appareils numériques, il est conseillé de multiplier les prises de vues puisque seules les photographies réussies entraîneront des coûts de stockage, mais c'est le tri qui risque de devenir très vite fastidieux.

L'effet de filé est toujours beaucoup plus important avec les longues focales qu'avec les plus courtes. Les professionnels considèrent qu'une focale de 300 mm est pratiquement un minimum, et préfèrent souvent utiliser des objectifs de 500 ou 600 mm, en 24 x 36 s'entend. Avec des objectifs de bonne qualité et de luminosité suffisante, il est possible de ne pas pousser la sensibilité au-delà de 200 ISO.

La mise au point peut être un problème, y compris avec un autofocus capable de suivre les mouvements très rapides. Parfois il vaut mieux revenir à la mise au point manuelle, mais sans commettre l'erreur de vouloir suivre la moto. Lorsque l'on a bien repéré l'endroit où passent les motards à chaque tour de piste, il faut prérégler la mise au point sur une distance précise et tâcher de déclencher lorsque la moto et son pilote passent à cet endroit. Naturellement il faut tenir compte du décalage temporel qui existe entre le moment où l'on appuie sur le déclencheur et celui où la photo est prise. Un peu d'entraînement n'a jamais fait de mal à personne... et permet d'anticiper le mouvement pour que le déclenchement se produise exactement au moment voulu.

Dans tous les cas, bien évidemment, il faut multiplier les prises de vues car le pourcentage de photographies ratées est forcément très élevé. Reste à obtenir LA photo qui sauvera la séance de prises de vues !

Automobile

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Les conditions ne sont pas les mêmes selon qu'il s'agit de photographier une course de Formule 1, un rallye ou une épreuve de tout terrain.

La Formule 1 :

Première difficulté, y compris pour les professionnels : obtenir un laissez-passer permettant de s'approcher de la piste, du "paddock" et des stands. Pour les photos de près, un 50 mm suffit (en 24 x 36), en le complétant par un 35 mm et un 85 mm on a bien sûr plus de facilité pour s'approcher ou s'éloigner un peu du sujet. Un zoom trans-standard convient également.

Pour les photos de la course proprement dite, ce sont les endroits où il se passe quelque chose, les courbes, les bosses, les zones de freinage intense, qui offrent les meilleurs chances de réussite. Cette fois, le téléobjectif est nécessaire, et il faut de bons réflexes pour le cadrage et éventuellement pour la mise au point. Celle-ci sera préréglés, si l'appareil que l'on utilise ne possède pas de mise au point automatique, ou si celle-ci est trop lente pour assurer un suivi et une netteté corrects. Attention à l'environnement, qui est souvent d'une laideur détestable, comme pour les concours équestres ou d'autres manifestations sportives.

Un temps de pose très court est nécessaire pour figer une action, surtout lorsque les mouvements sont latéraux et non frontaux (le mouvement a lieu dans la direction de l'axe optique). Réussir un effet de « filé » en suivant un bolide vu de profil nécessite une certaine habitude. Il faut accompagner le mouvement avant et après la prise de vue pour que la voiture soit nette et le fond agréablement filé. Un flou de toutes les parties de l'image peut avoir un aspect esthétique mais la présence d'au moins quelques éléments nets est presque toujours nécessaire. Nul besoin d'être sur un circuit pour s'entraîner, on peut en effet se poster au bord de n'importe quelle route et suivre les voitures qui passent. Les temps de pose conseillés peuvent aller de 1/250 s à 1/60 s lors d'une compétition, jusqu'à 1/30 s au bord d'une route. Certains systèmes de mise au point autofocus et/ou stabilisation réagissent mal lors de ce genre d'exercices, très éloignés des conditions habituelles de prise de vues, et il faudra alors les débrayer, si c'est possible, et faire des essais systématiques.

L'écrasement apparent des perspectives provoqué par les téléobjectifs peut être facilement exploité, notamment lors du départ des courses où l'effet de groupe est particulièrement spectaculaire.

Bien entendu l'orientation de la prise de vue par rapport à la direction de la lumière est un élément important pour la réussite. Un éclairage rasant est favorable lorsque les voitures soulèvent de la oussière en passant, où en cas de brume ou de pollution importante.

Le rallye :

Contrairement aux circuits où les possibilités d'accès sont très restreintes, il n'est généralement pas nécessaire d'obtenir un laissez-passer pour accéder aux bordures des routes sur lesquelles se déroulent les compétitions. Bien entendu, les zones les plus intéressantes sont souvent celles qui sont interdites au public en raison des dangers liés à une éventuelle sortie de route. Il est bon de préparer sa prise de vues en repérant les lieux, en imaginant quel sera l'éclairage au moment de la compétition et en considérant aussi les arrière-plans qui prennent une importance particulière, notamment en montagne.

Attention aussi, les voitures ne passent qu'une fois et la possibilité de photographier en rafale doit être exploitée au maximum avec les appareils numériques, un conseil que l'on ne pouvait guère donner aux possesseurs d'appareils argentiques, grands dévoreurs de films et donc de budgets en semblables circonstances.

Comme pour le golf ou d'autres sports, la présence de la balle dans le champ fait souvent la différence entre les bonnes et les moins bonnes photographies ! Plus facile à dire qu'à faire, avec de véritables projectiles qui filent à plus de 100 km/h. Il est donc fondamental d'anticiper les gestes, ce qui est plus facile quand on connaît le tennis, de se mettre en phase avec le jeu, rythmé par le bruit des frappes, et surtout de suivre les regards des joueurs. Lorenzo Salémi et d'autres photographes expérimentés donnent les conseils suivants :

  • essayez de vous placer dans le prolongement du filet, le plus près possible de la limite du terrain. Si vous êtes trop en hauteur dans les gradins, vous obtiendrez un effet d'écrasement des joueurs. Pour enregistrer des expressions sur les visages des joueurs, mieux vaut être placé près des angles du terrain
  • évitez la lumière trop dure de midi
  • anticipez les mouvements en vous calant sur le rebond de la balle
  • ne perturbez pas les joueurs par des bruits ou des mouvements incongrus, et naturellement proscrivez le flash, surtout lorsque les matches ont lieu en salle, ne vous déplacez sur le terrain qu'avec l'accord du juge de chaise
  • variez vos cadrages et cadrez serré,
  • tâchez d'enregistrer une grande variété de phases de jeu
  • réduisez la profondeur de champ en opérant à grande ouverture : un téléobjectif ou un télézoom lumineux s'imposent
  • utilisez des vitesses élevées (au moins 1/500 ou 1/1 000 s) pour pouvoir obtenir une image identifiable de la balle, ce qui suppose l'usage d'une sensibilité élevée
  • évitez les appareils trop bruyants, débrayez les indicateurs sonores de mise au point, de déclenchement, etc.
  • en intérieur, veillez au bon réglage de la balance des couleurs, les éclairages artificiels donnant généralement de fortes dominantes colorées si l'appareil est réglé sur « lumière du jour ».

Surf et sports analogues

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Sports d'hiver

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La tentation est souvent grande de vouloir à la fois participer aux activités sportives et en profiter pour rapporter quelques images intéressantes. L'expérience montre qu'il s'agit là d'une gageure impossible à tenir, ou du moins très difficile, et qu'il vaut probablement mieux séparer nettement les deux domaines. Si l'on va aux sports d'hiver, c'est généralement avec l'idée prioritaire de prendre du bon temps et c'est en effet à cela qu'il faut consacrer la majeure partie de son énergie. Raison de plus pour éviter les pertes de temps en préparant soigneusement ses séances de prise de vues, en fonction du reportage à effectuer.

Bibliographie

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Index des noms de personnes

Biographies, portfolios, publications, etc.

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Voir aussi les éditeurs de cartes postales

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Articles à créer


Articles généraux

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  • BOUÉ, Sébastien .- Question de talent. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 58-69.
  • COGNÉ, Guy-Michel .- Dans les coulisses de l'Agence Vandystadt. In : Photofan, n° 2, juin-juillet-août 2004, pp. 72-99.
  • VEZON, Thierry .- Mon reportage aux J.O. d'Athènes [propos recueillis par Pascal Druel]. In : Photofan, n° 3, 15 janvier 2005, pp. 52-57.
  • Le reportage sportif. In : Chasseur d'Images, n° 1, juin-août 1976, pp. 22-27.

Athlétisme

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  • CHAPELLE, Emmanuel .- Entraîneur et photographe. In : Photofan, n° 16, 9 juillet 2007, pp. 58-65.

Cyclisme

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  • MIELE, Pascal .- Un photographe en danseuse [photos de Didier Tourneur, sport cycliste]. In : Photofan, n° 6, 16 juillet 2005, pp. 62-67.
  • Le Tour de France pour la liberté de la presse, 1903-2005 .- Paris, Reporters sans frontières, juin 2005. (ISBN 2-915536-27-9)

Escalade

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  • BOUVET, Laurent .- Objectif grands espaces et fortes émotions ! [photos d'escalade, parapente, etc.]. In : Photofan, n° 3, 15 janvier 2005, pp. 96-103.

Sports d'hiver

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DESTOUCHES, Henri et DAMPIERRE, Marie .- La photo sportive - 1 les sports d'hiver. In : Chasseur d'Images, n° 8, décembre 1977 - janvier 1978, pp. 37-44.

Sports aériens

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  • BOUVET, Laurent .- Objectif grands espaces et fortes émotions ! [photos d'escalade, parapente, etc.]. In : Photofan, n° 3, 15 janvier 2005, pp. 96-103.
  • LOAËC, Ronan .- Hommes-oiseaux [photos de parachutisme de Blaise Chappuis]. In Photofan, n° 8, 5 décembre 2005, pp. 42-51.

Sports d'équipes

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  • BEDEAU, Gérard .- La photo sportive, saisissez la balle au bond ! In : Chasseur d'Images, n° 15, avril-mai 1979, pp. 38-51.
  • FORTANIER, Luc .- Rugby, au cœur de la mêlée [photos en noir et blanc, propos recueillis par Pascal Druel]. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 70-77.
  • MIELE, Pascal .- Hockey sans glace [photos d'Albert Duranton, hockey sur patins à roulettes]. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 78-81.
  • MUR, Stéphan .- Passion foot [photos d'enfants]. In : Photofan, n° 14, 15 février 2007, pp. 10-11.

Sports mécaniques

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  • ASSET, Bernard .- Une formule 1 dans le viseur ! In : Chasseur d'Images, n° 17, 10 septembre - 30 octobre 1979, pp. 45-53.
  • ASSET, Bernard .- Formule mode [photos de mode et de sport]. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 54-57.
  • BIET, Laurent .- 24 heures à 220 km/h ! In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 34-45.
  • DRUEL, Pascal .- De la photo scolaire au moto-cross [photos de Patrice de Guigné]. In : Photofan, n° 16, 9 juillet 2007, pp. 50-57.
  • GUIGNÉ, Patrice de .- De boue et de bruit [photos de moto-cross]. In : Photofan, n° 8, 5 décembre 2005, pp. 12-13.
  • MIELE, Pascal .- La photo au taquet [photos de moto de Philippe Guérin]. In : Photofan, n° 10, 14 avril 2006, pp. 46-53.
  • PHILIPPOT, Serge .- Une raquette dans le viseur. In : Chasseur d'Images, n° 16, 1er juin - 10 septembre 1979, pp. 54-60.
  • SALÉMI, Lorenzo .- Tennis - Réflexes affûtés [propos recueillis par Ronan Loaëc]. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 88-97.

Surf et sports voisins

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  • LINSENMAIER, Christian .- Pur amateur, démarche pro [photos de surf]. In : Photofan, n° 10, 24 avril 2006, pp. 82-87.
  • TURPIN, Philippe .- Fous volants [photos de kiteboard]. In : Photofan, n° 13, décembre 2006, p. 13.

Patinage, skateboard

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  • LEGRAND, Sylvain .- Le skateboard ! In : Chasseur d'Images, n° 11, juillet-septembre 1978, pp. 45-51.
  • DUBREUIL, Jean-Pierre .- Toutes voiles dehors. In : Chasseur d'Images, n° 6, juillet-septembre 1977, pp. 45-49.
  • LOAËC, Ronan .- Les voiles de Saint-Tropez [photos de Patrick Debétancourt]. In : Photofan, n° 5, 5 mai 2005, pp. 35-43.


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