Entre Bible et Coran/Les anges

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Un ange est un concept présent dans les trois livres des trois religions abrahamiques. Ce terme désigne un messager, un envoyé de Dieu, c'est-à-dire un intermédiaire entre Dieu et les hommes. Parfois il transmet un message divin, parfois il agit lui-même selon la volonté divine.

Entre Bible et Coran

Entre Bible et Coran
Code de la route
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Sommaire
  1. Le livre
  2. Attributs et noms du Dieu unique
  3. Prières
  4. Prophètes
  5. Introduction historique
  6. Anges
  7. Croyants
  8. Pays
  9. Amen
  • Généralités
  1. Canon
  2. Contexte géographique
  3. Contexte historique
  4. Concurrence religieuse
  5. Calendrier
  6. Commandements et guide
  • Récits
  1. Jardin d'Eden
  2. Abraham
  3. Égypte
  4. Moïse
  5. Noé
  6. Marie
  7. Jésus
  • Pratiques
  1. Entre Dieu et l'Homme
  2. Alimentation
  3. xxx
  4. xxx
  • Interdits
  1. Divination
  2. Idolatrie
  3. xxx
  4. xxx
  5. xxx
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Dans le Coran modifier

Dans la version arabe du Coran, les anges sont désignés par le terme ملك translitéré Malāk— au pluriel ملائكة translitéré malāʾika — Le mot viendrait de l'ancien sémitique : malʾāk avec le sens de « messager »[1]. Les W:anges qui occupent une place de choix selon la religion islamique.

Les anges se divisent en plusieurs catégories ; il y a les anges intercesseurs entre Dieu et les hommes, les anges scribes qui écrivent les bonnes et mauvaises actions humaines, et des anges porteurs de la révélation[2]. Bien que le W:Coran parle très souvent des anges, il passe sous silence leur nature d'origine et il n'en donne qu'une seule description dans la sourate XXXV-1[1]

« Gloire à Dieu, créateur des cieux et de la terre, celui qui emploie pour messagers les anges à deux, trois et quatre paires d’ailes ; il ajoute à la création autant qu’il veut ; il est tout-puissant. »

— Le Coran (trad. Albin de Kazimirski Biberstein), « Les Anges ou le Créateur », XXXV, 1, arabe فاطر

Dans la plupart des cas, les anges interviennent en tant que messagers de Dieu à des prophètes ou à des personnages déterminés, notamment à Abraham, à Zacharie, à Marie, la mère de Jésus. Dans d'autres cas, les anges sont envoyés pour soutenir les croyants contre leurs ennemis [3]. Il est aussi question des « anges gardiens » ou « anges scribes ». Selon les traditions, chaque être humain serait accompagné de deux anges : un « ange de la droite » écrivant ses bonnes actions et un « ange de la gauche » qui inscrit les mauvaises[4],[5].

Ils ont été [6] (ou d'air chaud selon l'interprétation des textes par W:Jacqueline Chabbi[7], à l'instar des mirages), [8].

Le W:Coran ne cite nommément que quelques anges. Certains sont désignés par une fonction, sans être nommés, comme l'ange de la mort par exemple[9]. Ce sont surtout les commentaires et la prédication populaire qui se sont chargés de nommer et décrire la plupart des êtres angéliques.

Gabriel (Jibrīl) est le plus important des anges, toutefois il n'est mentionné que trois fois par son nom dans le Coran[10].

D'après la tradition s'appuyant sur l'interprétation de deux passages tardifs du Coran[11], la révélation coranique a été transmise à son prophète W:Mahomet par l'ange Gabriel dans la grotte du mont Hirā.

D'autres expressions du Coran ont été assimilées à lui : l'Esprit fidèle[12], mais aussi le Grand Ordonnateur (An-Namous al Akbar), L'Esprit-Saint (ar-Rouh al-Qaddous), et l'Intègre (Al-Amin)[13] .

Mikaël (Michel ou Michael) n'est nommé qu'une seule fois dans le Coran[14]. La tradition le considère comme un des anges du Jugement dernier chargé de la « pesée des actes ».

Selon des traditions, il serait aussi l'ange chargé de la pluie et de la végétation.

Raphaël (Isrāfīl) est également cité dans le W:Coran par exemple au chapitre 39, verset 68. Il serait l'ange chargé de souffler trois fois dans une trompette afin d'annoncer le Jugement Dernier. Modèle:Référence nécessaire/Bloc

Izrāʾīl (ou Azraël) n'est pas cité dans le Coran. La tradition l'a associé à l'Ange de la Mort (Malāk-Al-Mawt)[15] qui est chargé d'ôter l'âme des corps des défunts.

Mâlik, le gardien de l'enfer, est nommé dans le Coran (« Ornements d’or », XLIII, 77), et ne sourit jamais à cause de sa création.

Deux anges, Hârût et Mârût, sont cités une fois[16]. Ces noms seraient des déformations de déités du panthéon W:zoroastrien Haurvatât «intégrité» et Ameretât «immortalité»[17],[18],[19],[20],[21],[22].

Selon un hadīth, Dieu aurait créé l'ange à partir de la lumière, le djinn à partir de feu sans fumée et l'homme à partir d'argile. Comme dans les autres traditions, les anges n'ont pas de sexe et ne se reproduisent pas, contrairement à l'être humain et aux djinns.


Dans la religion judéo-chrétienne modifier

Le mot ange vient du latin angelus, emprunté au grec ἄγγελος, ángelos, « messager ». En hébreu מלאך, malakh, signifie « messager ».

Ancien Testament modifier

Dans la Bible hébraïque, les anges sont des messagers qui originairement effectuent des tâches bonnes ou mauvaises[23]. La fréquentation des dieux assyriens et babyloniens lors de l'W:exil à Babylone par les rédacteurs de la Bible introduit dans le monde testamentaire une spécialisation avec des anges, agents du Bien et des démons, anges déchus[24].

Les anges sont présents à plusieurs endroits, dans la Genèse lors de la Création, et ensuite en lien avec les hommes : un ange arrête le bras d'W:Abraham qui va sacrifier son fils ; lutte de W:Jacob avec l'ange ; dans l'épisode de l'W:échelle de Jacob (Bible), celui-ci voit des anges monter et descendre sur une échelle dont l'extrémité touche le ciel, les anges viennent prévenir W:Loth de la fin de W:Sodome sous une forme humaine et il les reçoit dans sa maison ; un ange, Raphaël, accompagne Tobie sur la route[25]. Michel devient l'ange du prophète Daniel. Le nom des anges comporte souvent la syllabe El, qui désigne Dieu : ce sont des noms « théophores ».

Principaux livres de l'W:Ancien Testament où des anges apparaissent :

Les chaldéens considèrent aussi les anges comme des créatures bienfaisantes leur apportant joie, protection et plaisir.

Judaïsme modifier

Pour plus de détails voir : W:Anges de la Kabbale.

D'après wikipedia, Dieu a créé les anges (malakh) et les constellations et tout ce qu’elles contiennent et tout ce qui est au-dessous d’eux et tous ont besoin de Lui pour exister. Maïmonide dit que l'intelligence des anges est plus grande que celle des hommes. Il les appelle « Intelligences » (comme les sphères qui ont mis le monde en mouvement et les astres), conception proche de celle d'Aristote.


  • Classes : Maïmonide enseigne qu'il y a deux classes d'anges, les « permanents » et les « périssables ». Idem pour W:Judah ha-Lévi (1085-1140), fameux poète et théologien juif du XIIe siècle, qui différencie les anges « éternels » et les anges créés à un moment donné. Il enseigne dans Le Livre de Kuzari (IV) qu'il y avait deux classes ou espèces d'anges. Il écrit :

« Comme pour les anges, certains sont créés à un moment donné à partir de subtils éléments de matière (comme l'air et le feu). Certains sont éternels (c'est-à-dire existent depuis l'éternité et pour l'éternité), et ce sont peut-être les intelligences spirituelles dont parlent les philosophes. »

Et il poursuit :

« Il n'est pas certain que les Anges vus par Isaïe, Ezéchiel et Daniel appartiennent à la classe d'anges créés à un moment donné, ou à la classe d'essences spirituelles qui sont éternelles ». Qu'étaient-ils alors ? Saadia ben Joseph pensait qu'ils étaient des visions. »

  • Propriétés : Maïmonide dit que les anges sont invisibles : ce sont des formes spirituelles, des esprits, des Intelligences. Si on leur prête une forme et une allure humaines, c'est par « accommodation à la faiblesse de l'intelligence commune. Si on leur a donné des ailes, c'est parce que le vol est le plus parfait et le plus noble d'entre les mouvements locaux de l'animal, qui permet de s'approcher et de s'éloigner en un clin d'œil ». De même nous lisons dans le Zohar (Vayera 101a) : « Quand Abraham souffrait encore des effets de la circoncision, Celui qui est Saint lui envoya trois anges, de forme invisible, pour s'informer de sa santé ». Et le texte poursuit : « Vous pourriez vous demander comment les anges peuvent être visibles, puisqu'il est écrit Qui des esprits fait ses anges (Psaume 104:4). Cependant Abraham les vit assurément, pendant qu'ils descendaient sur Terre sous la forme d'hommes. Et, en effet, chaque fois que les esprits célestes descendent sur Terre, ils s'habillent d'éléments corporels et apparaissent aux hommes sous forme humaine ». Mais il est bien difficile de concilier ce qui précède avec la déclaration du Livre des Jubilés (15:27), à savoir que « tous les anges de la présence et tous les anges de la sanctification » étaient déjà circoncis quand ils furent créés.
  • Substance : Selon le Zohar Gabriel (l'ange de l'Annonciation des chrétiens, ou mystère de l'humilité de Marie) a pour mission de briser l'orgueil (donc l'ange de l'humilité) et de contrecarrer les projets du démon (il dégage de l'eau qui met le démon en fuite). L'ange Michel doit rallumer le feu sacré dans le cœur de l'homme et ranimer la foi affaiblie. Raphaël (dont le nom signifie celui qui guérit) guérit les malades (cf. Piscine de Siloë du Nouveau Testament) et dégage de l'air, symbole de la vie. Abraham reçoit ces trois anges chez lui, dans l'épisode des chênes de Mambré de la Genèse. Dans le livre de Daniel ou de Tobie, on parle des sept anges qui sont sans cesse devant la face de Dieu. Mais, d'après le W:Talmud, les noms des anges vinrent avec les Israélites de Babylone et seraient un emprunt à la religion perse ; les anges furent créés le second jour, et leur substance est moitié eau et moitié feu.
  • Chaque ange a un office particulier : Michel garde les enfants d'Israël, Gabriel rend force et courage, Uriel (Dieu est ma Lumière) éclaire les hommes dans les ténèbres de la nuit, Raphaël a soin de notre santé physique et spirituelle.

Les anges de la tradition judaïque sont à la racine de la tradition chrétienne : les sept[n 2] archanges leur sont communs dont trois sont connus des juifs et des chrétiens sous le même nom : Michel, Gabriel et Raphaël.

Christianisme modifier

 
Les bergers avec un ange (Peinture d'artiste 1879, par Carl Bloch).

Dans le W:Nouveau Testament, seuls quelques élus et surtout la Vierge Marie dialoguent avec les anges. L'ange de l'W:Annonciation : l'ange Gabriel apparaît à Zacharie dans le Temple, à la croisée du chemin entre l'Ancien Testament et le nouveau, puis à Marie à W:Nazareth, entrant chez elle, et la saluant « pleine de grâces » (Annonce faite à Marie, Évangile de Luc) lui annoncer la bonne nouvelle de sa conception virginale et l'incarnation du Verbe, « Ave Maria » (W:angélus) transmis par d'innombrables générations. La naissance de Jésus, appelé Fils (portant la parole) de Dieu, est accompagnée d'une vision de légions d'anges en fête par les bergers et leurs troupeaux, préfiguration de l'Église : avec le sacrement du W:baptême, le chrétien est de nouveau relié à Dieu, qui s'est réconcilié avec l'humanité par la naissance, puis la W:Passion du Christ, le W:Messie, sur la Croix. Durant son agonie, un ange appelé « Ange de la Consolation » lui apparaît au Jardin des Oliviers : lui montrant un calice dont il ne veut boire : cette scène de W:Gethsémani a été peinte par de nombreux artistes chrétiens durant des siècles[26]. Enfin lors de la W:Résurrection, ce sont des anges qui apparaissent aux Saintes Femmes, et qui leur parlent, pour leur annoncer la Résurrection de Jésus, anges décrits cette fois « blancs comme neige » ou « vêtus comme l'éclair » alors qu'auparavant dans les Évangiles, aucune description des anges n'était faite, seuls les artistes nous les représentant avec une fleur de lys ou une paire d'ailes (le blanc est devenu le Symbole de la Résurrection en liturgie). Dans l'W:Apocalypse, saint Jean rapporte la vision de Saint Michel et ses légions d'anges qui combattent et remportent la victoire de Dieu, définitive contre l'« antique serpent » qui égarait la Terre depuis des siècles.

Dans sa prédication, Jésus parle peu des anges : il cite surtout les bons anges (par exemple Matt 22, 30 ; Matt 25, 31 ; Luc 15, 10 ; Luc 20, 36), les anges des enfants (les « chérubins »), qui voient toujours la face du Père dans les cieux, (Matt 18, 10) et les anges de la Justice divine.

Références aux anges dans le Nouveau Testament et les quatre Évangiles
W:Évangile selon Matthieu W:Évangile selon Luc W:Évangile selon Marc W:Évangile selon Jean
Matth 1:20-24 1° Songe de Joseph Luc 1:11-19 Ange de Zacharie Marc 1:13 Jeûne au désert, Anges serviteurs Jean 5:4 Ange guérisseur de la Piscine de Siloé


Matth 2:13-19 2° Songe de Joseph Luc1:26-35 W:Annonciation, Gabriel Marc 4:10 W:Tentation du Christ Jean 12:29
Matth 4.6 W:Tentation du Christ Luc 2:9-21 W:Nativité Marc 12:25 Jean 1:51 W:Nathanaël
Matth 13:39 49, 13:39, 24:31-36, 25:31 25:41 Anges de la W:Parousie, Anges moissonneurs Luc 8:38 Marc 13:27-32, Anges de la W:Parousie
Matth 18:10,22:30 Enseignement de Jésus Luc 9:26, 12:8-9, 15:10, 16:22, 20:36, 24:23 Enseignement du Christ
Matth 26:53 Passion de Jésus (Légions d'anges) Luc 22:43 Ange de l'Agonie à W:Gethsémani
Matth 28:2-5 Anges de la W:Résurrection Luc 24:23 Anges de la W:Résurrection Marc 16:5 W:Résurrection : un « jeune homme vêtu de blanc  » Jean 20:12 W:Résurrection

La « messe des Anges » (Missa de angelis)[n 3] se disait jadis devant le cercueil des jeunes enfants ; elle daterait du XIIe siècle[27].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La Haggada de Pessah est un texte en hébreu ancien utilisé pour la cérémonie du Seder durant Pessah, la Pâque juive. Ancienne, elle date de l'époque de la Mishna, c'est-à-dire environ deux millénaires. Elle raconte l'histoire des Hébreux et leur exil d'Égypte. Le contenu provient des événements narrés dans l'Ancien Testament, dans le livre de l'Exode. Elle est lue dans les familles, et contient les rites à réaliser durant la cérémonie.
  2. sept exprimant peut-être la totalité.
  3. Messe VIII de la Kyriale.

Références modifier

  1. 1,0 et 1,1 Modèle:Référence incomplète
  2. Malek Chebel, Dictionnaire des symboles musulmans, éd. Albin Michel, 1995, p. 38
  3. « La Famille d’Imran », III, 124), « Le Butin », VIII, 9 et « Les Confédérés », XXXIII, 9
  4. Louis Gardet, L'Islam, Religion et Communauté, Éditions Desclée De Brouwer, 1970
  5. « Le Ciel qui se fend », LXXXII, 10:12
  6. name=créés de lumière par Dieu
  7. Jacqueline Chabbi, Le Seigneur des tribus : L'islam de Mahomet, Paris, CNRS éditions, , 730 p. (ISBN 978-2-271-06711-1), passage à indiquer
  8. name=ils n'ont pas de libre arbitre et ils ne seront donc pas jugés au jour du jugement dernier
  9. Le Coran, « L’Adoration », XXXII, 11\compact, arabe السجدة
  10. « La Vache », II, 91:92, et « La Défense », LXVI, 4
  11. « L’Étoile », LIII, 4–18 et « Le Soleil ployé », LXXXI, 19–25
  12. Muhyi~d~dîn Ibn'Arabî, La Sagesse des Prophètes, Glossaire
  13. Malek Chebel, dictionnaire des symboles musulmans, éd. Albin Michel, 1995, p. 39
  14. « La Vache », II, 92
  15. « L’Abeille », XVI, 30, au Modèle:Pourquoi
  16. « La Vache », II, 102
  17. Jacqueline Chabbi, Le Seigneur des tribus : L'islam de Mahomet, Paris, CNRS éditions, , 730 p. (ISBN 978-2-271-06711-1), p. 547 note 325
  18. Revue de l'histoire des religions, tome 133 n°1-3, 1947. pp. 220-254
  19. Guy Monnot,ʻAbd al-Jabbār ibn Aḥmad al-Asadābādī, "Penseurs musulmans et religions iraniennes: ʻAbd al-Jabbār et ses devanciers", en ligne
  20. Constant HAMES, "Coran et talismans - Textes et pratiques magiques en milieu musulman" en ligne
  21. Toufic Fahd, "La Divination arabe: études religieuses, sociologiques et folkloriques sur le milieu natif de l'islam" en ligne
  22. "Le Kitab Al-tarbi Wa-l-tadwir D'al-gahiz" en ligne
  23. Cf. Livre des Psaumes Modèle:BFR
  24. André Neyton, Les clefs païennes du christianisme, Belles Lettres, , p. 107
  25. Le W:Livre de Tobie appartient au corpus canonique pour le catholicisme, mais non pas pour le judaïsme ni le protestantisme.
  26. Jardin des oliviers.
  27. Ab hoc termino usque ad Septuagesimam, cantatur missa de angelis feria secunda, feria tertia de Sancto Spiritu, feria quarta de dominica, feria quinta de beato Stephano, feria sexta de Cruce, nisi de sanctis agatur. Sabbato de beata Maria et cantatur et pulsatur sicut in [festis] dupplicibus ; nec pretermittitur nisi fuerit festum novem lectionum et, si obitus sollempnis die evenerit, anticipatur Initiation aux manuscrits liturgiques.

Voir aussi modifier

http://www.sajidine.com/les-piliers-de-la-foi/anges/avant-propos.php

Bibliographie modifier

  • Louis Gardet, L'Islam, Religion et Communauté, Éditions Desclée De Brouwer, 1970
  • Henry Corbin, L'Homme et son Ange, Éditions Fayard, 1983, (ISBN 2-213-01295-4)
  • Le Livre de l'Échelle de Mahomet, Éditions Le Livre de Poche, Lettres Gothiques, 1991, (ISBN 2-253-05644-8)
  • Muhyi~d~dîn Ibn'Arabî, La Sagesse des Prophètes, Éditions Albin Michel, Spritualités vivantes, 1974