Photographie/Photométrie/Étalons photométriques
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Bibliographie
■ préface - SOMMAIRE COMPLET ■ notions fondamentales et conseils pour les débutants ■ aspects esthétiques, thèmes photographiques ■ références scientifiques ■ photométrie, colorimétrie, optique ■ appareils, objectifs, éclairage, accessoires, entretien ■ procédés chimiques ■ procédés numériques ■ caractéristiques physiques des images, densité, netteté ■ compléments techniques et pratiques ■ photographie et vie sociale, histoire, enseignement,institutions, droit... |
Extrait d'un article de M. Pierre Fleury, Directeur honoraire de l'Institut d'Optique de Paris. In: Revue Française de l'Electricité, n° 248, 1er trimestre 1975. L'unité d'intensité lumineuse s'est longtemps appelée bougie, du nom des sources qui la définissaient grossièrement. En 1879, Violle proposa, pour assurer une meilleure précision, l'emploi d'un bain de platine pur fondu, en train de se solidifier. Par décision internationale (1889), on lui attribua comme luminance, en direction normale, 20 bougies (dites décimales) par centimètre carré. Mais les expériences de réalisation révélèrent un manque de reproductibilité intolérable (plus de 10 %), parce que la platine réfléchissait plus ou moins la lumière du four dans lequel il était chauffé, et surtout parce que le métal se chargeait progressivement d'impuretés, notamment de silicium provenant de la réduction par une flamme hydrogénée de la silice qui l'entourait. Une étude approfondie des réalisations successives, des bougies au corps noir, se trouve dans Étalons photométriques par P. FLEURY. Revue d'Optique, éd. 1932. |
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Lampe au pentane Vernon-Harcourt