« Le mouvement Wikimédia/Version complète » : différence entre les versions

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Étant donné que ce livre est issu des trois premiers chapitres de ma [[v:fr:recherche:Imagine un monde|thèse de doctorat]] en science politique et sociale consacrée, elle aussi, au mouvement Wikimédia, je tiens à remercier aussi toutes les personnes qui m’auront assisté, corrigé, motivé, ou soutenu d’une manière ou d'une autre, au sein de l'Université [[w:fr:UCLouvain|UCLouvain]] et du [[w:fr:Laboratoire d'anthropologie prospective|laboratoire d’anthropologie prospective]]. À l’exception de mon promoteur de thèse, Olivier Servais, que je remercie personnellement en retour d’un remerciement qu’il m'aura lui-même adressé dans son dernier ouvrage, je ne m’aventurerai pas ici à établir aucune liste de personnes de peur bien sûr d’en oublier certaines ou certains.
 
Dans une démarche opposée, c’est finalement tous les gens qui partagent leur temps de vie sur Terre, sans compter et sans attente de retour, que je voudrais adresser mes derniers remerciements. Ces personnes sont effectivement bien plus nombreuses que l’on pourrait le croire. On en retrouve beaucoup au sein du mouvement Wikimédia, mais plus encore au sein du reste de la société civile. Peu visible en raison d’une modestie intrinsèque à leurs actions désintéressées, chose absente dans le monde du « vrai travail » (celui que l’on rémunère), ou celui des affaires et de la politique, l’une de ces personnes peut exister en chacun nous. Elle apparait en effet à chaque fois que nous rendons un service sans attente d’un retour à une amie, un ami, voirvoire un inconnu ou une inconnue, ou encore chaque fois que nous prenons soin de nous, de nos proches et de la nature qui nous entoure. Ce principe de partage et d’entraide, est en effet tout ce qui donne sens à ce monde, et cela, peu importe qu'on le regarde sous son angle naturel ou culturel.
 
Je clôture enfin cet ouvrage en dédiant ce livre à mon fils Noé, sans qui lors de ses absences, je n’aurai jamais trouvé le courage de passer autant d’heures devant un ordinateur dans le but de partager mes observations et pensées. À coup sûr, j’aurais continué à parcourir le monde pour en savourer toute sa diversité. Chaque chose en son temps.