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Vasco Ascolini débute son activité photographique au milieu des [[années 1960|années soixante]]. Il affirme très vite un style personnel basé sur quelques points de force et certains choix stylistiques qui, avec le temps pourraient apparaître forcés : ils seront son élément distinctif.
 
À travers la fréquentation de découverte de la photographie des Etats -Unis et à l'apport reçu des leçons de l'université de Parme (en Italie), on confronte avec des personnages quel Mulas et autres.
 
Le départ de la collaboration avec le Théâtre Municipal de Reggio Emilia (1973-1990) lui donne mode de prévoir son langage spécifique en l'utilisant d'abord pour la photographie de théâtre. Ascolini interprète, en le transformant, l'évènement du spectacle et recrée complètement le cadre scénique. Ses photographies du spectacle de [[Lindsay Kemp]] (1979) seront définies "hautainement expressives".
 
De ce point dans ensuite, il sera en crescendo d'expressivité et d'émotions dans la tension des représentations. Dans cette conteste et ambient les instants de spectacle, en spécial mode la danse et le mimo, donnera le matériel pour fournir des originaux émotions visuelles.
 
Le pas suivant sera s'épuiser du rapport avec le théâtre et j'entame d'un nouveau
filon riche d'occasions. Les nouveaux sujets de les siennes imagines seront le "marbre", les volumes architecturaux partiels, colonnes, statues... Ceci se produit vers la moitié des ansannées '801980.
 
=== Le parcours et les références ===
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L'activité d'expression avec le moyen photographique peut se dire entamée autour de 1965.
 
De 1973 à 1990 photographe pour le Théâtre Municipalmunicipal "Romolo Valli" (Reggio Emilia). Vers 1980 il entame la période où il s'intéresse de la photographie de sujets architecturaux et des pièces des musée. En 1983, à [[Chalon-sur-Saône]] (France), expose au Musée de la Photographie de [[Nicéphore Niépce]].
 
En France, il est beaucoup apprécié et a obtenu varies des charges d'Organismes et des Instituts du Ministère du Culture Musée du Louvre, Musée Rodin, Tuileries, Versailles, Parc Royal, St. Saint-Cloud. En 1985 exposition présprès du Lincoln Centre Public Library, de New York .
 
Exposition personnelle à Arles (France) en 1991.
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Il participe à l'exposition "Une incertaine Folie" réalisée à la Salle du Conclave de Lille (France) avec des images des lieux de soin psychiatrique.
 
Il est présent et expose à l'exposition "D'Apres l’Antique" (an 2000) auxau Louvre (Paris).
 
Ceci est la première exposition photographique organisée au musée parisien.
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La ville de Mantova lui charge (en 2002-03) dans le projet "Le secret de la ville" pour une publication avec des textes de Jacques Le Goff et Pierre Sorlin.
 
Dans l'anEn 2004, il expose au CairoCaire sur invitation du Ministère de la Culture Égyptienégyptien avec une exposition anthologique soignée par A. Gioé. Autre exposition chezà l’Université de Lyon, dans lela même anannée.
 
À New York, près de [[MOMA]] et au Metropolitan Museum, comme au Guggenheim Musem, sont conservées et exposées des photographies de la période théâtrale. Ainsi aussi prés d'autres importantes institutions internationales quel le Lincoln Center Public Library, le Texas University d'Austin, la Fondation Italienne pour la Photographie, à Torino, chez la Bibliothèque Nationalenationale de Paris, aux [[Musée Carnavalet]] (Paris) ; etc.
 
Plus récemment, une exposition remarquable de Vasco Ascolini à la galerie ''Vrais Rêves'' de Lyon. Pour la première fois, Vasco Ascolini prendra quelques distances vis -à -vis du respect absolu envers le négatif. Il le triture, le perce, le brule partiellement pour atteindre son but, le mystère. La série "Bestiaire fantastique" est de ce point de vue totalement original.
 
Vasco Ascolini a reçu beaucoup de reconnaissances, entre les plus importants la nomination à "Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres" conféré lui par le Ministère de la Culture Française (dans l'an 2000) et la Grande Médaille du Cité d'Arles.
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=== La ligne critique ===
 
LeLa marque distinctifdistinctive du style de Vasco Ascolini est le trait sombre, noir. Il est l'exaltation de contraste avec peu de blanc présent dans une image qui est rigoureusement en blancnoir et noirblanc. Si on veut dénommer ses caractéristiques, quoique chaque définition soit limitante pour elle même, on peut déterminer les traits dominés de toutes ses oeuvresœuvres dans contraste de tons et dans le refuserefus dude emploiel'emploi dude la couleur.
 
Dans la photographie de théâtre, avec des fortes prédilection pour la danse et pour le mimo, il domine la figure humaine qui, à travers la complète élimination des nuances intermédiaires des tons, est transformée en corps.
 
plastiquement fixe, presque un objet, une statue.