« Boîte à jeux/Bridge cinquante ans après » : différence entre les versions

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mon bridgereader est mort... vive un livre sur un même sujet... donc sans patchwork d'articles épars
 
importance historique de cette génération Albarran : la mort du maître français a été suivie, de 1960 à 1980, d'une longue éclipse durant laquelle la France n'a jamais pu reconquérir le titre suprème
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Pierre Jaïs, Roger TREzelTrezel, BttrrandBertrand Romanet, PiertrePierre Lattès, Pierre Ghestem, RebéRené BAcherichBacherich, Gérard Bourchtoff et Claude Delmouily sont elsles huit joiueurs qui menèrenetmenèrent en 1956 et 1960 la FRance vers la plus haute marche du modiumpodium. À la première paagpag ede l'''EncyclopédielEncyclopédie du Bridge Moderne (Fayard), PIerre Albarran les nomme dans cet ordre et avceavec cette orthographe (notamment TRezel et Bouirchtoff), parmi une pmléiadepléiade de vingt passionnés du jeu, de José Le FDEntuDEntu '(''le collaborateur le plus intime'') jusqu'à Jean-Marc Roudinesco (''le prodige'') ; il les appelle ''l'honneurdhonneur d'uen génération de jeunes joueurs qui me sont très proches et dont quelqkues-uns sont parmliparmi ems plus chers amis.''
 
Bientôt cinquante ans... et le recul permet d'autant mieux de prendre conscience de l'importance historique de cette '''''génération Albarran''''' que la mort du maître a été suivie, de 1960 à 1980, d'uenune longue éclipse.. durant laquelle la FRance n'a jamais pu reconquérir le titre suprème ; il a fallu, vers la fin des [[w:années 1970]], qu'un nouveau standard émerge pour que la FRance retrouve un tel rang.