Madonabouglione
MADONA BOUGLIONE
Ce soir deux Cirques dans votre ville(Stock) Les Amours de Bastien Bastienne Sur la route de Sienne La Vie imprévisible de Lola Montès Bonjour, Bel Ami Passeport pour le bac L'Année de tous les clowns (Warner) Cirque O Présent
Presse : Théâtre musical
La vie imprévisible de Lola Montès, de Pierre Laplace et Madona Bouglione. Mise en scène de Madona Bouglione. Avec Pierre Laplace, Sharon Sultan, Jean-Philippe Bruttmann et Lise Berardo. Lola Montès racontée par une troupe de forains ? Pourquoi pas ! La vie romanesque et sulfureuse de cette Irlandaise au charme andalou se prête à l'art du boniment et de la pantomime. Comédien et Monsieur Loyal de la troupe, Pierre Laplace incarne avec humour et sens de l'improvisation les multiples amants de l'aventurière : Louis Ier de Bavière, Richard Wagner, Armand Dujarrier... Quasi muette tout au long du spectacle, Sharon Sultan exprime par le feu de son flamenco l'indomptable Lola. Divertissante comme un spec- tacle de rue - bel canto et jonglage se mêlent au flamenco et au théâtre -, délicate comme une pièce du répertoire - piano et robes à crinoline de soie bruissent dans un décor feutré -, cette bizarrerie est bien plaisante. Jusqu'au 31, Théâtre du Ranelagh (19 h 30). 01.42.88.64.44. Théâtre du Ranelagh 5, rue des Vignes. 01.42.88.64.44. Le plus joli théâtre en bois qu'on puisse trouver, dirigé de main de maître par Madonna Bouglione. Jusqu'au 1er avril, « Buffo », de Howard Buten. Pour tous.Théâtre musical La vie imprévisible de Lola Montès, de Pierre Laplace et Madona Bouglione. Mise en scène de Madona Bouglione. Avec Pierre Laplace, Sharon Sultan, Jean-Philippe Bruttmann et Lise Berardo.Lola Montès racontée ... 23/07/1999 - Le Point - 161 mots Pantomime Sur la route de Sienne Ce très joli spectacle renoue avec un genre presque oublié, que l'on ne trouve plus que dans certains ballets du XIXe siècle : la pantomime. Madona Bouglione (...Pantomime • Sur la route de Sienne Ce très joli spectacle renoue avec un genre presque oublié, que l'on ne trouve plus que dans certains ballets du XIXe siècle : la pantomime. Madona Bouglione (fille d'Alexandre, directeur du fameux cirque) et Valery Keft racontent l'histoire d'un petit cirque italien, ses joies et ses tristesses. La musique est de Nino Rota et les costumes, de Popy Moreni. Pour les petits et les grands. Au Théâtre du Ranelagh (à 21 h). 42.88.64.44 14/10/1995 - Le Point - 81 mots39 - Que la fête commence LE MONDE | 5 septembre 1995 | 153 mots Avec une troupe de cirque sur la route de Sienne, au Théâtre Le Ranelagh . UNE PETITE TROUPE de cirque des environs de Naples essaie de raconter à sa manière, comme aurait pu le faire il y a cinq cents ans sa famille, une histoire avec les souvenirs confus d'une mémoire perdue dans le temps... 1 - Une salle sans relâche € LE MONDE | 10 novembre 1989 | CHEMIN ARIANE | 522 mots D'habitude, ce sont plutôt les cinémas qui poussent sur les théâtres. D'ailleurs, le Ranelagh a commencé comme ça. Depuis 1932, le salon de musique construit à la fin du siècle dernier sur les ruines du Théâtre de la Poupelinère, témoin consentant et malheureux des pas de danse de Marie-Antoinette... L'Humanite Article paru le 11 janvier 1999 QUESTIONS À… Madona Bouglione [SOUS-TITRE] Directrice du théâtre du Ranelagh (1) Vous lancez Passeport pour le baccalauréat, une opération invitant les lycéens à réviser en direct les auteurs au programme de l’épreuve. Pourquoi ? Nous avons pensé que les textes devaient être vivants et qu’il fallait aider les jeunes qui passent leur baccalauréat à vivre les poèmes d’une façon théâtrale, par exemple "la Chute" d’Albert Camus qui est une pure petite merveille. Que les lycéens puissent voir et écouter les textes. Concrètement, comment se déroule l’initiative ? Depuis début janvier, on a "la Chute", puis "le Journal d’un fou" de Gogol, ensuite "le Châtiment" en lecture, avec Daniel Mesguish. Senghor aussi avec "Ethiopiques" et bien sûr un film, "la Règle du jeu" de Renoir. C’est pendant six mois, de janvier à juin, jusqu’au passage au bac. Avec des réunions entre les élèves, les comédiens et les metteurs en scène. Cela débute à 19 heures et 19 h 30, des horaires faciles pour les lycéens. Ils peuvent venir avec leur professeur, en groupe ou isolés. Pour les adultes, la place est à 120 francs, 90 francs en tarif réduit. Pour les élèves, c’est 75 francs et en groupe 60. DOMINIQUE SHATENOY (1) 5, rue des Vignes, 75016 Paris.
CULTURES - Article paru le 28 juin 1999
ÉTEIGNEZ VOS PORTABLES PAR JEAN-PIERRE LÉONARDINI UN REGARD DE CÔTÉ AVANT DE FUIR AU SOLEIL
L’été, dans les grandes villes, le théâtre entre en hibernation pour mieux aller se faire voir au soleil, au sein de festivals de plus en plus nombreux. À Paris, en effet, dès le début du mois de juin et après les épreuves du baccalauréat, les créations se font rares et l’on se bat les flancs pour trouver quelque pâture. Puisque les grandes institutions ont mis la clé sous la porte, autant aller y regarder un peu de côté, là où ne nous portent pas forcément nos pas au plus fort de la saison. C’est fou ce que le théâtre peut être multiple, obéissant à des humeurs et des esthétiques infiniment contradictoires. Il est même un moment, devant tant de différences entre les uns et les autres, où l’on pourrait se dire que tout se vaut, que face à l’étrangeté de ces mondes divergents entrant en scène, il vaudrait mieux se taire, cesser de peser le pour et le contre, laisser la bride sur le cou à la galopante anarchie du goût. Mais il faut aussitôt se reprendre, sous peine de déchoir, de soudain renoncer à cette fonction critique à laquelle nous devons nous accrocher, quand bien même, ici et là, on s’en moque le plus souvent. De quel droit, après tout, émettre un jugement sur le théâtre, en une société où, sur les grandes affaires vitales, il semble recommandé de n’avoir, justement, aucune opinion, sinon celle d’une majorité aux contours incertains ? Mais arrêtons ces considérations oiseuses. Pour cette dernière chronique avant le Festival d’Avignon, il sera question de la Vie imprévisible de Lola Montes (1) et d’Alexandre le Grand, de Racine (2). La Gitane des paquets de cigarettes Madona Bouglione, enfant de la balle par excellence, issue d’une dynastie fameuse, ne dédaigne pas de se lancer dans des entreprises insolites. La dernière en date est donc la Vie imprévisible de Lola Montes, dont elle signe la mise en scène et qu’elle a conçue avec l’acteur Pierre Laplace. Il s’agit, à partir de la fascinante figure de l’aventurière et danseuse irlandaise qui inspira déjà à Max Ophüls un film mémorable (avec Martine Carol dans le rôle-titre), de récapituler quelques chapitres de cette existence tempétueuse, tissée d’immenses succès et de liaisons faramineuses (pensez donc, Louis Ier de Bavière, Franz Liszt, Richard Wagner, entre autres, quel palmarès !). Le mode de représentation est celui de la parade de cirque, tout comme dans l’ouvre d’Ophüls où Peter Ustinov jouait le bonimenteur. On songe aussi à Lulu de Wedekind, qui commence dans une baraque foraine où l’on exhibe la femme fatale comme une curiosité de la nature. C’est ici Pierre Laplace, improvisateur aguerri, qui tient tous les rôles masculins ; bonimenteur, mari, amants successifs, Barnum, avec une aisance confondante et une sorte d’élégant frégolisme. Lola, c’est la danseuse de flamenco Sharon Sultan, au beau visage d’idole énigmatique, qui semble en mouvement la Gitane des paquets de cigarettes. Jean-Philippe Bruttmann, éblouissant guitariste flamenco et Lise Berardo, soprano lyrique qui tient noblement la partition de Pauline Viardot (dont fut épris l’écrivain Tourgueniev) complètent l’effectif de ce spectacle attachant, qui juxtapose les talents sans aller jusqu’à les fondre, mais d’où émane, sans conteste, un charme entêtant.
PRESSE
Madona Bouglione voyage avec Lola MontesLe Figaro - 29-06-1999 - 386 mots MARION THEBAUD - passé, des valeurs, une difficulté à élargir le cercle, une volonté à rester en clan. Madona Bouglione, elle, a choisi le baroud. Un beau matin, elle a claqué la porte, tourné _ Le carnet de bal de Lola MontesLe Figaro - 23-06-1999 - 145 mots MARION THEBAUD - Madona Bouglione, héritière d'une grande famille de cirque, a pris en 1986 la direction du théâtre du Ranelagh. Elle concilie ses deux passions avec son spectacle, « La Vie imprévisible de __ Un trio en apesanteurLe Figaro - 21-11-2003 - 266 mots FRANÇOISE DARGENT - le premier de la nouvelle programmation du Ranelagh, intitulée « Cirque au présent » et imaginée par Madona Bouglione, la directrice des lieux. Il résume la philosophie de cette initiative qui vise Espoirs du music-hallLe Figaro - 28-09-1999 - 60 mots (Essonne). Présidé par Jean-Michel Boris, directeur général de l'Olympia, le jury réunira notamment Madona Bouglione, Pierre Etaix, Jean Guidoni et Pierre Tchernia. Il devra départager des jeunes candidats âgés __ Une cruelle luciditéLe Figaro - 08-09-2003 - 229 mots ARMELLE HELIOT - du Ranelagh, dans l'écrin de bois chaud de cette salle propice amoureusement entretenue par
9/02/07 Madona Bouglione et les clowns belges OUEST FRANCE
26/03/06 Courrier du Theatre AFP
21/02/06 Operation Jeunes Talents
24/01/06 Scenes de cirque au Ranelagh Le Parisien
16/01/06 En Bref le Figaro
07/12/00 Le Ranelagh fait son Cirque L'Express
10/10/00 Les feux del a rampe Les arts du cirque a l'honneur AFP
08/07/99 La vie imprevisible de Lpla Montes l'Express
05/09/95 au Theatre le RanelaghLe Monde
30/08/95 Le Forum sur la Mediteranee l"Humanite
07/10/91 Au Theatre Le Ranelagh des concerts le lundi en marge des clowns AFP
27/11/90 Les enfants du Paradis projrtes depuis 23 ans qu theatre le Ranelagh
10/11/89 Une salle sans relache Le Monde
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