Utilisateur:Savant-fou/Brouillons/Alpinisme/Chapitre I/Entraînement
Adaptation à l'altitude
modifierAfin d'éviter le mal des montagnes, très dangereux, il est conseillé de progresser à son rythme et de ne pas commencer par des courses en altitude (au-dessus de 3150 mètres) sans avoir fait de longues randonnées ou de petites courses à l'altitude maximale de 2800 mètres. Cependant, un entraînement comme celui-ci peut quand même échouer et le mal des montagnes se produire.
Deux "techniques" principales existent:
- La progression indentée (Figure 1), employée surtout lors des longs séjours en haute altitude (K2, Everest)
- La progression... progressive (Figure 2), qui part d'un camp de base situé dans la vallée. Jour après jour, on monte de plus en plus haut.
Blessures
modifierPour éviter la fatigue, les antorses, les foulures, il faut impérativement s'échauffer les jours qui précèdent la course.
Entraînement « à la maison »
modifier- 30 minutes de course à pied
- 20 minutes de vélo ou 1,5 kilomètres de natation
- Certains alpinistes se suspendent par les mains aux portes. Attention à ce que personne n'ouvre la porte pendant que vous faites cet exercice !
- Pompes
Entraînement « avant la course »
modifier- Grandes randonnées ou petites courses
- Echauffement des poignets, des cuisses et des chevilles
- Montée progressive en altitude (pour éviter le mal des montagnes)
Exercices
modifierIl est obligatoire de s'entraîner sur une falaise-école à grimper, à poser correctement les dégaines, à assurer et à placer des points d'ancrage. De nombreux clubs proposent des sorties collectives encadrées pour ceci.
De plus, de nombreuses salles d'escalade fleurissent depuis ces dernières années, dans les villes ou dans les banlieues. C'est un excellent endroit pour se perfectionner, pour s'entraîner au rappel, à la remontée sur corde, à l'installation de relais et surtout pour rencontrer d'autres grimpeurs.
Développer la force
modifierBien que ce ne soit pas d'une importance capitale, la force se développe au fil d'exercices.