« États généraux du multilinguisme dans les outre-mer/Déclaration de Cayenne » : différence entre les versions
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En ce début d’un siècle nouveau marqué par la multipolarité, il n’est nul besoin pour la France d’éradiquer les langues régionales pour affirmer son unité comme le préconisait jadis l’[[w:abbé Grégoire|abbé Grégoire]], « l’Ami des Noirs »… L’enjeu est d’établir un rapport dialectique – il faudrait plutôt dire dialogique au sens d’[[w:Edgar Morin|Edgar Morin]] – entre les langues de l’outre-mer et le français, dont personne ne conteste le rôle de langue nationale.
C’est pourquoi les participants aux États généraux du multilinguisme dans les outre-mer, réunis à [[w:Cayenne|Cayenne]] du 14 au 18 décembre 2011, appellent de leurs
(Lors de la clôture des États généraux, le 16 décembre 2011, la présentation des principales recommandations issues des États généraux a été confiée à M. Robby Judes, conseiller pour les affaires européennes, internationales et institutionnelles au commissariat général de l’Année des outre-mer.)
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