« Affaire Priore/Le P.I.O.M. » : différence entre les versions

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Une confiance totale fut accordée à Ribeau sur la foi de ses affirmations répétées de « fils spirituel » d'Antoine Priore. En effet, ayant vécu dans l'ombre d'Antoine Priore pendant des années, Ribeau prétendait tout connaître de ses appareils.
 
En utilisant des fonds publics (Conseil régional d’Aquitaine, Ministère de la recherche, C.E.A., etc.) et des fonds privés (Comité de soutien, P. Favre, etc.), pour un montant d’environ 5 MF, un appareil hybride fut finalement construit par Ribeau, avec l'aide de MM. Farago et Genty. Ce montage ressemblait à quelque chose entre le ''P5'', construit avec la subvention de la D.G.R.S.T. et le ''PR1'', construit par la société S.E.R.E.S.O. en 1967. AÀ l’époque, l’appareil ''PR1'' avait été un échec et le ''P5'' une débâcle.
 
Dans un compte rendu daté de novembre 1998 <ref>{{Archives Priore|id=1QSrJQMjLLVCWIvkgQSLtz7G2yUPHYIp9|auteur=B. Veyret|titre=Construction d'un appareillage produisant des champs électromagnétiques pour mener des études biologiques et thérapeutiques }}</ref>, destiné au Ministère de la recherche, pour justifier une partie de la subvention, B. Veyret constata l’absence totale d’effets biologiques du montage de Ribeau. Depuis cette date, malgré certaines modifications du montage, les quelques expérimentations sporadiques faites avec des souris infectées par ''T. equiperdum'', n'ont montré aucun effet biologique probant.