« Grec ancien/Texte : Odyssée » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Balises : Révoqué Éditeur visuel
m Révocation des modifications de 90.85.175.241 (discussion) vers la dernière version créée par JackPotte
Balise : Révocation
Ligne 3 :
{{CDU|8|807|largeur=23|flotte=droite}}
 
{{titre|<strong>ΟΔΥΣΣΕΙΑΣ Ζ.</strong><br><small>Odyssée, livre 7</small>|omèrHomère|Traduction Eugène Bareste}}
{| width=60% cellspacing=5 border=0 |
|-
Ligne 79 :
Le divin et intrépide Ulysse suppliait ainsi la déesse Minerve: Nausica arrive à la ville sur le chariot traîné par de fortes mules. Lorsque cette jeune fille est devant la superbe demeure de son père, elle s'arrête sous les portiques. Les frères de Nausica, semblables aux dieux, s'empressent autour d'elle ; les uns détellent les mules du chariot, les autres portent les riches vêtements dans l'intérieur du palais, et Nausica se dirige vers ses appartements. Une vieille femme d'Épire, la suivante Euryméduse, que naguère dix vaisseaux ballottés par les flots amenèrent en cette île, enflamme le bois dans le foyer : les Phéaciens choisirent Euryméduse pour l'offrir en présent au roi Alcinoüs que le peuple écoute comme un dieu ; ce fut elle qui jadis éleva dans le palais la belle Nausica. Maintenant Euryméduse dispose le feu et prépare le repas.
 
Alors Ulysse se lève pour aller à la ville. Minerve-Pallas chérit ce héros, le couvre d'un épais nuage afin que sur sa route les magnanimes Phéaciens ne puissent ni le railler ni l'interroger. Quand Ulysse est près d'entrer dans cette agréable cité, Minerve, la déesse aux yeux d'azur, marche à sa rencontre sous les traits d'une jeune fiillefille portant une urne ;
|-
| valign=top align=right|'''21'''
Ligne 948 :
</div>
</div>
</div>
 
</div>
== Étude du texte ==
{{Avertissement exercice}}