« Formation musicale/Harmonie » : différence entre les versions

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→‎Consonance et dissonance : consonance parfaite et imparfaite
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Dans la musique savante européenne, au début au du Moyen-Âge, seuls les accords de quarte et de quinte étaient considérés comme consonants, d'où leur qualification de « juste » ; on parle de « consonance parfaite ». La tierce, et son renversement la sixte, étaient perçues comme dissonantes.
 
L'harmonie joue avec les consonances et les dissonances. Dans un premier temps, les harmonies dissonantes sont utilisée pour créer des tensions qui sont ensuite résolues, on utilise des successions « consonant-dissonant-consonant ». À force d'entendre des intervalles considérés comme dissonants, l'oreille s'habitue et certains finissent par être considérés comme consonants ; c'est ce qui est arrivé à la tierce et à la sixte à la fin du Moyen-Âge avec le contrepoint. On parle de « consonance imparfaite ».
 
Il faut ici aborder la notion d'harmonique des notes.