« Affaire Priore/Les appareils d'Antoine Priore » : différence entre les versions
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Les traces les plus anciennes des travaux d’Antoine Priore dans nos archives sont des photographies (5) datant de 1952, dont une fut publiée dans le journal ''Sud-Ouest'' du 8 Août 1952. On y voit un lapin entouré d’une bobine et de quelques appareils électriques sur une table. Un examen attentif de ces photographies révèle que le montage semble très proche de celui de d'Arsonval - Oudin réalisé en 1895 pour soigner des malades !
C’est aussi en 1952 qu’Antoine Priore a rencontré le Dr. Francis Berlureau, chef vétérinaire aux abattoirs de Bordeaux. Avec l’aide du Dr. Berlureau, Priore étudie les caractéristiques électriques des tissus animaux et fait des tentatives de soins sur des animaux porteurs de diverses formes de cancer et destinés à être euthanasiés. A l’aide de dispositifs assez complexes, et sous le contrôle du Dr Maurice Fournier, médecin généraliste, Antoine Priore tentait également à cette époque de soigner diverses maladies humaines, y compris le cancer.
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Cependant, il reste de nombreuses zones d’ombres. Tout n’est pas connu concernant la construction des appareils et pour le rayonnement émis, ses caractéristiques fines résultant des « réglages secrets » d'Antoine Priore, restent ignorés.
Pour fixer les idées, et en simplifiant un peu, on peut imaginer l’archétype d’un de ces appareils comme :
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