« Les transports/Méthodes de collecte de données » : différence entre les versions

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Un autre capteur spatial est le [https://en.wikipedia.org/wiki/Lidar LIDAR ("light radar")] qui permet de relever, en deux ou trois dimensions, un nuage de points de l'environnement. Il est alors possible de construire des modèles en trois dimensions de la scène, y compris des usagers et véhicules, et donc de les suivre à chaque balayage du LIDAR. Ce capteur coûte encore très cher, mais il devrait devenir plus accessibles à moyen terme, et est déjà utilisé par les agences de transport responsables des infrastructures pour en faire le relevé, regarder l'état de la chaussée, des panneaux de signalisation, et autres infrastructures civiles.
 
[[Fichier:Mtl-trajet-2017-petit.png|droite|thumb|400px|Exemple de positions recueillies par un capteur GNSS lors d'un déplacement d'un utilisateur de l'application MTL Trajet de la Ville de Montréal en 2017.]]
Une dernière catégorie est celle des capteurs donnant des détections uniques des usagers, par exemple les lecteurs de transpondeurs pour les péages routiers ([https://fr.wikipedia.org/wiki/Radio-identification marqueurs RFID]) et de connexion à des appareils Wifi et Bluetooth. Les plaques d'immatriculation des véhicules permettent aussi le suivi unique des véhicules. Il est ainsi possible d'obtenir des temps de déplacements et des trajectoires simplifiées des usagers à des points prédéfinis. Le capteur idéal pour la collecte de données spatiale est le capteur [https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_de_positionnement_par_satellites GNSS] pour relever des trajectoires complètes des usagers qui acceptent de partager leurs positions.