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Penser en l'avenir d'un monde où le vaudou serait restauré.
 
=== Le Vaudou ===
 
Le Vaudou est au début du XXIe une initiation à philosopher pour dépasser le maître, ce qui permet alors de mettre en valeur notre âme, nos débuts donc, notre histoire, ses rites ou traditions. Par exemple, le Sech Rekhmire, Sech qui signifie scribe, me permet d'écrire que c'est celui qui est suffisamment responsable, concis et détendu, affirmé, donc serein par la connaissance de son corps et de son histoire, connaissance de la nature humaine donc de ses écrits, avec pratiques et expérience du mot et de cette science du mouvement notamment, lui permettant de dialoguer directement avec vous par l'éthique permettant remises en cause et intérêt général donc futur, avec l'assistance d'un seul intermédiaire. Le Vaudou est évidemment religieux, même s'il n'y a pas les religions mais une croyance en Dieu demandant des rites.
 
Mais il y a surtout à comprendre les mots égyptiens cruciaux qui permettent de croire en la lumière de Dieu. Par exemple parlement signifie le lieu où l'on parle, sous-entendu pour ne pas faire la guerre. Je tâcherai de reprendre ces mots cruciaux pour les placer sur archive.org.
 
L'initié doit savoir au moins déterminer ce qui est inconnu en lui par sa nature, son maître, la connaissance de soi et de la science, puis par ses rêves nécessitant de ne pas regarder des images défilant rapidement, ce qui peut facilement être déterminé par les Intelligences Artificielles actuelles. Seulement le maître qu'on nomme alors l'enseignant-chercheur permettra d'aller plus loin pour l'initié voire lui-même. En réalité, le dialogue et la réflexion enrichissent l'humain plus que la pensée ou la réflexion sur son ego. Il y a une notion de mouvement dans le dialogue qui permet théories ou idées. La théorie du tout a en réalité été créée très tôt par les égyptiens. Les égyptiens séparaient le corps de l'âme, donnaient une âme à l'univers.
 
En réalité, l'initiation profite plus au maître qu'à l'initié. L'initié est engagé dans un chemin de réflexions avec sa classe, riche quand il y a en elle l'ensemble de l'humanité, ce que doit chercher le maître par les connaissances, la compréhension et surtout ses limites à dévoiler à l'initié par un chemin de vérité, maître étant lui aussi initié donc devant aussi se dépasser.
 
L'initié qui dépasse le maître le fera en réalité sur ses intelligences ou connaissances qui diffèrent du maître. Chaque humain se complète par rapport à son voisin. Cela permet d'établir des règles ou codes entre le maître humble et revendicatif, face à son initié reconnaissant puis élargissant.
 
Le Vaudou peut être mieux perçu que le bouddhisme. Seulement, il semble qu'il faille initier les occidentaux différemment que les africains. Les occidentaux ont plus une culture du doute pour comprendre. C'est sans doute pour cela que les grecs voulaient créer leur langue pour comprendre la culture celte et égyptienne, culture égyptienne mettant la métaphysique devant l'épistémologie, les sciences spécialisées étant incluses dans cette métaphysique incluant la vie corpusculaire, vie permettant de comprendre l'univers composé d'énergie.
 
Si on vous parle de Vaudou, il s'agit surtout d'écrire ensuite à son propos. En effet, nous sommes en train de comprendre l'Afrique en ce début de XXIe siècle, par ces objets, rites ou traditions, pour lesquelles les fouilles archéologiques montrent des jeux ou écrits, demandant compréhension à la fois des occidentaux mais aussi des africains par des vlogs, blogs et autres sites web africains cruciaux.
 
Les français ont été les premiers à traduire l'égyptien des kémites allant aussi en Grèce autrefois, égyptien pictographique donc langue de la compréhension initiale de l'infini ou du cosmos harmonieux grec et arabe, Égypte sans doute utilisée par les pédagogies et écoles du mouvement vers le génie, écrites par Lazare Carnot et Gaspard Monge en France. Cheikh Anta Diop a ensuite créé l'oralité égyptienne, nécessaire pour comprendre l'ensemble des langues africaines.
 
Jean-Charles Coovi Gomèz, Omotunde et Françoise Bonardel permettent de s'intéresser au Vaudou et à la culture africaine. On introduit en philosophant pour simplifier, pour se contredire par le dialogue et les définitions, afin de s'entendre puis se comprendre, pour élargir et diversifier deux types d'initiations, l'une intériorisée en occident, l'autre basée sur la compréhension des mots et de ses mots, puis du sens des mots par l'initiation, apprendre à apprendre aussi, sens de ses mots crucial en Afrique et nécessaire en occident.
 
Le sens des ou d'un mot détermine une signification et une direction prises. Le terme donc deux mots plus ou moins accolés expliquent une limite historique. Plus on détermine son inconnu, plus on est sûr de soi donc initié.
 
Il s'agit surtout de savoir quelle est l'ampleur de cet inconnu en soi et avec les autres, les deux pouvant nous induire chacun en erreur par une cause non définie en nous ou cachée pour soi, nécessitant alors à Sapiens Sapiens de prendre des risques, risque de découvrir cette cause qui fait notre humanité, donc notre imperfection nécessitant amour selon Pascal et sensibilité selon l'éthique égyptienne.
 
==== Mes Notes ====
 
Demander aux autorités de révéler les textes égyptiens cachés.
 
=== Moïse n'a pas Totalement Existé ===
 
On ne trouve aucune trace de Moïse en Égypte. Moïse était un prénom donné à beaucoup d'égyptiens. Il ne pouvait être donné par une famille royale. Le fait qu'un bébé survive à une mise à l'eau relèverait du miracle. C'est effectivement une invention.
 
Jean-Charles Coovi Gomèz explique que le fait que les juifs se rebellent contre l'Égypte arrange l'occident, qui peut ainsi orienter vers la Grèce. Seulement, c'est bien l'Égypte et les grands lacs du Nil qui ont créé la civilisation humaine. La civilisation humaine est noire à l'origine. Aussi Dieu ne permettrait pas à un peuple qu'il a aurait quand même voulu détruire de détruire un autre peuple. Les dix commandements ont peut-être été donnés à un Moïse, mais il n'a pas été élevé par un roi.
 
=== Avec les Musulmans ===
 
Les musulmans sont sceptiques vis à vis des évangiles. Dialoguer du français à l'arabe permet alors de comprendre une Afrique.
 
Les arabes ne comprennent pas forcément la recherche scientifique selon Platon. Jésus Christ a réalisé ce que Platon n'a pas réussi à faire, à savoir convaincre les pauvres. Seulement la démarche de Platon est chrétienne. Si on vous dit que Platon était chrétien avant l'heure, il s'agit de dire que Christ était là pour donner sa confiance.
 
La démarche chrétienne de Platon est à expliquer dès qu'on ne remarque pas de recherche de vérité élaborée. Les musulmans cherchent la vérité mais suivent une autorité reconnue contrairement aux catholiques, historiquement. Il s'agit de leur apporter ce qui manque aussi aux catholiques, cette connaissance de l'histoire.
 
Les musulmans savent que les chrétiens sont persécutés. Ils ne savent pas tous que les médias occidentaux sont anti-chrétiens au sens religieux du terme, en cachant les sources. Il s'agit surtout avec eux de discuter de la véracité du parcours du Christ avec ses paraboles éternelles. Les paraboles du Christ peuvent être expliquées à sa propre manière pour dépasser l'entendement. Son parcours de recherche de vérité peut amener à être aidé par l'Esprit Saint, par son âme au moins.
 
==== Mes Notes ====
 
Avec une tenue fermée, aller à la rencontre des musulmans. Leur parcours de recherche de vérité mène vers la bénédiction.
 
=== Avec les Juifs ===
 
Les juifs sont cultivés. Ils attendent un roi qui apportera la paix. Les chrétiens aussi attendaient le messie mais le connaissent plus ou moins. Seulement, ce messie a voulu sauver les humains pour que les humains aident Dieu en devenant Saints donc acceptés par Dieu. Expliquer cela à un juif imprégné du premier testament nécessite amour, connaissance du juste notamment, raison par l'histoire faisant avenir surtout.
 
==== Mes Notes ====
 
Discuter avec un juif de l'Ancien Testament.
 
=== Avec les Bouddhistes ===
 
Jésus Christ n'est pas un Dieu, mais il apporte la parole de Dieu. Jésus sera un Dieu. Il se mettait en colère et était émotif. Ainsi un bouddhiste peut croire qu'il était faible. Alors il s'agit d'expliquer pourquoi il se mettait en colère, quels étaient les fondements de sa colère. Jésus est un ange qui a pris corps, tout comme pourrait le faire un Dieu. Seulement, les âmes sont imparfaites, ce qui expliquerait que seule la première âme serait parfaite.
 
Les bouddhistes croient que leur vie continuera dans une autre vie, qu'ils auront alors tout oublié. Il s'agit donc de le dire que leur vie a une raison d'exister. Il s'agit donc d'expliquer que la créativité de l'humain est celle d'un Dieu, qu'elle sert à quelque chose, une cause, une mission. Notre monde n'est-il pas un peu artificiel ? Notre monde ne nous pousse-t-il pas à nous remettre en question pour comprendre les autres ?
 
==== Mes Notes ====
 
Aller à la rencontre d'asiatiques, afin de discuter de leur recherche de vérité.
 
== Conclusion ==
 
=== Aider à Trouver la Solution ===
 
Au début, on se questionne, puis on cherche sa vérité à travers les autres. La joie vient quand on cherche la vérité. Jésus Christ donnait les solutions, parce que son âme était dans la vérité. Seulement n'est-il pas encore plus beau d'aider l'autre à trouver sa solution ?
 
Jésus voulait que ses paroles servent à un avenir. Mais, ne pouvons-nous pas trouver un avenir avec son interlocuteur ?
 
On attend du prêtre qu'il donne les solutions. Alors, il ne fait que répéter ce que dit le Christ. Mais le prêtre aide certaines fois son interlocuteur à mieux s'exprimer. Il sait pourquoi on vient le voir, en général. Seulement, il élabore une solution avec la personne, quand cette dernière est réellement dans le questionnement.
 
Vous me direz que ce sont les femmes qui sont censées faire cela. Seulement, si la personne trouve elle-même la solution, ne la connaîtra-t-elle pas mieux ?
 
==== Mes Notes ====
 
Aider quelqu'un.
 
=== Voir Grand ===
 
Quand on cherche la vérité, alors il s'agit de chercher à atteindre la vérité. Il ne s'agit pas d'une vérité de confort, mais de la vérité d'actions.
 
Tout d'abord sa cause doit correspondre à une cause cruciale pour la société. Elle doit être importante pour soi et combler sa recherche de vérité. On sait qu'on interviendra à un moment pour fournir la bonne nouvelle. On a donc suivi la vérité de notre nom et de notre cause.
 
Voir grand consiste à savoir à quoi on est utile, à quoi peuvent servir ses talents, avec qui ils sont décuplés, comment on peut les développer, qui nous soutient, qui nous réconforte réellement.
 
Alors donner la bonne nouvelle nous rassasie. Le bonheur est d'avoir convaincu, d'avoir écouté, de prier pour convaincre, de ne plus hésiter en essayant d'éviter les erreurs, de voir le monde comme une société à améliorer, de devenir serein par le dialogue, d'évoluer vite par la musique et la poésie, de deviner l'histoire par l'économie réelle, de devenir entièrement dépendant des autres pour leur bonheur.
 
==== Mes Notes ====
 
Quand vous cherchez la vérité, donnez la bonne nouvelle.