« Les débats de Gérard de Suresnes/Le chaos, un art de vivre » : différence entre les versions

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Gérard termine en insultant Max pour sa crédulité. Il insulte aussi le Gérard du téléphone.
 
C'est ic que la tournure surréaliste de l'émission est totale. Max décide d'envoyer Phildar à l'accueil pour écouter Gérard bis faire le sketch et de mettre l'autre hors ligne. Phildar est chargé de parler à Gérard, en train de partir, pour lui dire que lui croit que c'est le vrai. Phildar rentre totalement dans le sketch, et ne sait pas qu'il acquiert ainsi ses honneurs pour faire partie, plus tard, de l'équipe de Max. L'échange est vif. Max pousse encore plus loins en demandant au gérard de l'accueil ses motifs, mais il persiste dans un énervement hors de propos. Henri s'associe totalement au sketch. « L'imposteur est un clone, affirmera Max pour enfoncer le clou. » Gérard bis reviendra plus tard, dans le studio, abattu, hébété, perdu, hagard.
 
Ce sketch est une transition entre les deux modèles. Mais elle ne sera pas immédiate. D'autres débats, de la même teneur que les deux précédents, auront encore lieu dès le jeudi de la semaine. Il est fort à parireparier que hors antenne, Max ait redressé la raison de Gérard pour le maintenir à flot. Le jeudi, il lui offirra même à boire.
 
Parmi ces débats cahotiques, on notera celui sur l'humour, les célibataires, Le plus marquant, c'est de voir que Gérard ne se souvient même pas de ses prestations : il oublie les insultes qu'il profère à l'antenne (Goldo en compte 313 je soir du 17 novembre).
 
== Notes et référence ==