« Droit international public/Les actes juridiques non conventionnels » : différence entre les versions
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Le juge voit les actes émanant des autorités étatiques.
Ce sont les traités, les déclarations, des correspondances, les instructions données aux ambassadeurs et représentants d’un état dans une organisation internationale, des pratiques diplomatiques (la façon dont les états exercent la protection diplomatique), des décisions judiciaires internes,
Le juge repère 3 éléments :
- la conformité :
- La fréquence de comportement sur une période
- La généralité : que la majorité des états se rallie a telle pratique
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Cour permanente de justice international « affaire du lotus »1927 : un bateau nommé « lotus » turc, de commerce croisant un navire de l’armée française.les marins tuent 7 turcs et la juridiction turque prend l’affaire. On dit que c’est la justice militaire française qui est compétente. La cour devait rechercher si l’attitude de la juridiction turque valait coutume de laisser aller aux juridictions françaises (sur les 3 fois précédentes). Le juge dit NON car des pratiques peuvent être juste des actes de courtoisie ou d’opportunité. Le juge estime qu’il n’y a pas l’élément psychologique et reconnaît la compétence des juridictions turques.
Cour
Des états peuvent refuser les coutumes mais seulement celles naissantes. On leur donne la capacité de s’opposer à celle
Si malgré certaines objections, la coutume apparaît, les états qui s’y sont
§2. Les conceptions
un débat pour savoir si la coutume est la manifestation de la volonté ou pas des états.
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La règle coutumière résulte du consentement des états qui se manifestent de la même manière que pour un traité. On ne doit pas faire de distinction en fonction de la source du droit.
La coutume correspond à un traité implicite, un accord tacite entre états.
Dans cette conception c’est l’élément psychologique qui est le plus important car c’est par la manifestation de volonté que l’état décide de manière
On défend l’idée que seule la coutume respecte la souveraineté de l’état.
On fait un tri parmi les coutumes et on retient que
Cette théorie est reprise par beaucoup de pays en développement.
Le droit international n’est qu’un droit de volonté.
Cette conception est reconnue dans l’affaire du LOTUS.
On ne sait pas à quelles conditions la coutume est une coutume ? seuls les états qui y ont dit OUI se verraient liés à celle
B. La conception objective
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§3. Les caractères de la coutume
La coutume présente différentes facettes dans sa portée et sa fonction. Une corrélation entre les deux sources principales de droit international : traités et coutumes.
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L’art 38 CIJ : parle de coutumes générales, internationales.
Peut
La coutume repose sur un besoin social de la communauté internationale donc on pense qu’il ne peut y avoir que des coutumes universelles et générales.
Si on défend la conception subjective, la volonté de certains états peut suffire à faire une coutume donc des coutumes qui concernent que quelques états, un continent.
Si on parle de conception subjective, il peut exister des coutumes locales ou régionales à
LA COUTUME GÉNÉRALE OU UNIVERSELLE
On vise l’universalité. Certaines coutumes sont constitutives de la communauté internationale. Les nouveaux
La coutume générale pose des problèmes pour des états car une uniformité de l’engagement des états, ils pourront opposer cette uniformité dans le respect de la coutume aux traités qui peuvent émettre des réserves. Les états appliquent la même règle et n’ont pas la possibilité de moduler leur engagement. La coutume répond au problème de l’égalité dans l’application du droit.
Il n’y a pas d’élasticité dans la mise en œuvre de la coutume internationale car elle aboutit à plus de contraintes qu’un traité pourrait el faire.
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Elle n’était pas prévue mais depuis longtemps beaucoup de juristes défendaient qu’ une coutume pouvait concerner un nombre restreint d’états. Les auteurs prenaient l’exemple du droit pan-américain. Pour ces pays, il y a un droit et un certain nombres de coutumes.
L’affaire « Haya de la Tore 1951 CIJ » opposant la Colombie et Pérou sur le droit d’asile. S’il y avait une coutume régionale en matière de droit d‘asile que pouvait revendiquer la Colombie ou Pérou.
L’affaire de GOA entre l’inde et Portugal. Un certain nombre de comptoirs le long de la cote est de l’inde. Une pratique de faire accéder à ces différents comptoirs en traversant le territoire indien.l’Inde souhaitait avoir la pleine souveraineté sur son territoire donc guérillas civile dans ces comptoirs. Pour pouvoir rétablir l’ordre les
B. Fonctions opposées de la coutume
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La coutume permet de modifier la règle écrite et donc la faire évoluer en l’interprétant.
En droit international , tout ce qui relève des mécanismes de révision de traité est difficile à mettre en œuvre.
Les pays en voie de développement utilisent les résolutions des NU car
C’est une des
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C’est la conséquence de ce qu’on vient de voir, elle se détermine par des rapports très particuliers qu’entretiennent les traités et coutumes.
On est dans un système de codification. La négociation est
1. La prévalence de la codification par la coutume
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La codification peut constituer un développement du droit coutumier car différentes dispositions d’un traité sont à l’origine d’une coutume.
Cette solution est dégagée par la CIJ en 1969 dans l’affaire « plateau continental de la mer du Nord ». si le statut de ce plateau était opposable aux états qui n’avaient pas
Dans ce cas
Dans certains cas
Quand il y a des accords sur telles dispositions, certains états vont sur cette disposition proposent une nouvelle rédaction qui donnera lieu à la formation d’une coutume.
Souvent quand il y a codification, on constate qu’il y a des divergences ou oppositions entre les coutumes.
Un des
Sous section 2. Les principes généraux
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Cette formulation est reprise de celle de la cour permanente de justice internationale.
Amener certains pays sous mandat vers la civilisation.
Principes reconnus par les organisations internationales. Il y a une divergence de la doctrine sur l’existence même de ces PGD.
Suivant l’école sociologique, il n’y a pas de PGD mais des appellations de coutumes mais seulement les rattacher à la coutume.
Une difficulté sur les PGD, on donne 5 définitions de ceux
Les PGD sont dégagés par le juge international à partir des systèmes juridiques de droit interne.
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A. La formation des PGD
C’est le juge international qui révèle l’existence ou l’inexistence de ceux
- ça doit correspondre à des principes communs aux ordres juridiques nationaux
- si ces principes peuvent être transposés dans l’ordre international. Le droit international présente des spécificités.
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1. Les principes communs au droit interne
Le juge doit voir si ces règles existent dans les ordres internes des
On travaille sur la représentativité des états donc les états possèdent une telle règle juridique dans leur ordre interne. Cette notion d’état représentatif à 2 conditions : d’une part, ils représentent de système juridiques et on vérifie si cette règle est présente dans les pays représentatifs et d’autre part en fonction du domaine de la coutume.
Le juge constate ces règles et qu’elles concernent les états représentatifs.
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2. Des principes transposables dans l’ordre international
Une véritable opération intellectuelle que le juge peut mener pour effectuer la transposition. Il peut estimer qu’il y ait des situations proches mais ne peut transposer.
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§2. Les PGD : principes généraux DU droit
Des contestations des auteurs de la doctrine. des juristes estiment que le droit international n’est pas un ordre juridique mature pour créer des PGD.
L’ambiguïté de ces principes. Un problème de formulation de tels principes, difficile à repérer.
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A. Des principes ambigus
Ce sont des principes abstraits donc ont
LEUR FORMATION
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On va avoir une certaine marge de manœuvre dans le cadre de la décision du juge de reconnaître là ou là il y a un PGD.
Ces PGD se retrouvent parmi des règles relativement sur du droit international.
Le non recours à la force est un PGD. Les principes équitables dans les délimitations maritimes sont des PGD. Là encore on peut voir que ces principes si on les
Est
Le juge lorsqu’il a tranché une affaire, il a des éléments de solution mais il lui faut des motivations et il les
Le fait qu’il puisse créer ses propres instruments juridiques certains
DIFFICULTÉ DE LEUR FORMULATION
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Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Le juge estime que les interventions des USA devait respecter ce droit (à se donner leur propre gouvernant).(Affaire Nicaragua/ USA 1986)
Le juge a simplement
Ces PGD n’ont pas tous la même valeur. Certains sont des règles de droit impératives. Donc comme règles de JUS COGENS, on a les PGD.
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Premier reproche : l’impossibilité de le distinguer par rapport à la coutume.
Second reproche : la difficulté de faire la part entre juridique et politique. On estime que les revendications de certains PED risquent de remettre en cause des règles coutumières ou conventionnelles. Une fragilité de la maxime PGD.
Les PED développent le principe de « la dualité des normes ».
Troisième reproche : il y aurait une volonté de calquer le droit interne dans le droit international. Deux visions du droit international. Il y a des principes qui régissent ces communautés par le juge international et le juge national.
Une logique de défense d’un ordre international et le juge à un rôle à jouer dans cela : logique subjectiviste
Les actions des états et la fonction du juge est uniquement de résoudre les différends. S’il y a des règles à créer, le seul législateur est l’état et non le juge international.
La logique positiviste ou les états qui ont un monopole de la création du droit et le juge n’a pas
Section 2. Les actes juridiques écrits ou actes unilatéraux
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§1. La classification des actes unilatéraux.
Le critère de distinction est le fondement juridique de ceux
A. Les actes unilatéraux purement internes
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C’est une prise de position de l’état à l’égard d’une situation, d’une demande, d’une action d’un autre état.
La déclaration de guerre : prise de position vers un autre état
La déclaration de neutralité. L’effectivité de cette neutralité passe une déclaration où les autres états la reconnaissent.
La déclaration 28.09.1945 de TRUMAN sur le plateau continental : la revendication d’un droit d’exploration et exploitation d’une partie du territoire maritime des
C’est une technique qui se développe en droit international quand on a des problèmes internationaux avec des états qui n’ont pas de relations diplomatiques.
On a eu une déclaration en 1981 « ALGER ».
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Un état peut renoncer à des droits dans un traité.
En matière d’investissement, on a souvent des renoncements d’états car ils bénéficient d’une immunité de juridiction et d’exécution. La sentence ne pourra pas être exécutée.
Dans le cadre
Un principe de la renonciation est irrévocable. Quand l’état y renonce, il ne peut plus changer d’avis car on considère qu’il y a un vrai lien conventionnel entre lui et les autres états.
On considère que certaines renonciations ne sont pas possibles. (renoncer à son siège de membre permanent au conseil de NU et le donne à l’Allemagne). Et bien ce n’est pas possible, il faut alors réviser le traité sur ce point pour pouvoir renoncer à ce droit.
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LA RECONNAISSANCE
Quand apparaît sur la scène
La reconnaissance à un caractère déterminant. La reconnaissance d’un état, d’une organisation, d’un gouvernement.
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B. Les actes unilatéraux internationaux.
Le titre étatique réside dans le régime international. C’est l’état qui agit ou n’agit pas ou telle prescription déterminée. Cette compétence de l’état existe de 2 manières : soit en vertu d ‘une disposition
LES ACTES UNILATÉRAUX ET TRAITÉS
Les états doivent remplir un certain nombre d’obligations. La technique de déclarations d’états qui n’appartiennent pas à une organisation d’en appliquer les règles. La possibilité par acte
Les états s’engagent à soumettre leur litige à la CIJ.
Dans le droit des espaces maritimes, les états doivent agir conformément à des conventions et ont leur reconnaît la possibilité de se doter de
Pour les états côtiers, ils ont différentes obligations, les états au nom de ces obligations vont définir le contenu de la protection des ressources biologiques par une réglementation unilatérale. Les états ont l’obligation et engagent leur responsabilité.
LES ACTES UNILATÉRAUX ET COUTUMES
La coutume a imposé des obligations de notification. Jusqu’à l’entrée en vigueur de la convention de Montego Bay
§2. Les fonctions des actes unilatéraux
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A. L’opposabilité du comportement des états
La non
On estime que c’est un acquiescement tacite et la reconnaissance formelle.
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L’ ACQUIESCEMENT TACITE
Sans qu’il y
LA RECONNAISSANCE FORMELLE
Il s’agit d’une prise de position par une autorité compétente. (chef
Décision 1960 CIJ « sentence arbitrale rendue par le roi d’Espagne 29.12.1906 ». la CIJ a un pouvoir de reformation et cassation des sentences arbitrales quand on lui donne la compétence d’arbitrage. Pendant longtemps, personne ne conteste cette sentence mais dès 1950 le Nicaragua conteste cette sentence et invoque un excès de pouvoir qu’aurait commis l’arbitre. Le juge doit chercher si le Nicaragua avait eu une attitude vis
B. l’obligatoiriété des engagements de l’état
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1. Le consentement implicite
2. Le consentement explicite
C’est l’engagement volontaire d’un état, il est express et à destination des états tiers.
Il va créer lui
« l’affaire des essais nucléaires français 1974 » : la France fait des expériences. L’Australie et nouvelle Zélande font un recours contre cela mais la France ne les écoute pas. La France dénonce la clause facultative de juridiction.. la CIJ estime qu’il n’y a plus lieu de se prononcer car la prétention était d’interdire les essais dans l’atmosphère par l’Australie.
Sous section 2. Les actes unilatéraux des organisations internationales
On fait une distinction
Les actes hétéronormateurs qui vont au
Quand les nations unies estiment un comportement illégal au sens du droit international et prend des sanctions qu’il soit un
§1. Le pouvoir normatif à l’égard des
Les décisions sont du fait du conseil de sécurité. Seul lui peut adopter des décisions car il en a la qualité et elles s’appliquent aux
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LE POUVOIR REGLEMENTAIRE INTERNE
Ce sont des actes autonormateurs. L’organisation décide toute seule de son fonctionnement (son budget, ses fonctionnaires, conclure des contrats).
On a des décisions
Les états sont obligés de mettre en œuvre les décisions mise en œuvre par le conseil.
LE POUVOIR REGLEMENTAIRE EXTERNE
La capacité pour les NU d’adopter des comportements vis
On a des missions militaires pour éviter des conflits militaires.
Sanctions économiques pour ceux qui violent des règles internationales. On décide de sanctionner une telle situation.
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1. Les résolutions déclaratoires
Elles ont des éléments de codification. Une véritable codification de pratique. On constitue un mécanisme de changement du droit international, une évolution de celui
Ce droit international du
La déclaration DDHC ou CASSIN sont des résolutions déclaratoires.
2. Les résolutions accords
Les pactes de 1966 sur les droits civils et politiques et celui sur les droits économiques, sociaux et culturels.
Le traité sur l’espace de 1967 qui organise le statut de l’espace en définissant les droits et obligations sur l’espace extra atmosphérique.
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3. Les résolutions programmatoires
Cela concernait tous les textes sur le nouvel ordre économique international. Dans les années 70.h
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Quand on a des résolutions sur des nouvelles règles d’échanges commerciaux, la plupart des textes de résolution programmatoires n’ont pas eu un vote positif des états. Certaines ont fait l’objet de vote positif de certains pays occidentaux.
Qui est à l’origine de ces résolutions ? dans quelles conditions elles sont adoptées ? les états occidentaux ont pu
§2. Le pouvoir normatif à l’égard des états non membres
avis consultatif de la CIJ 11.04.1949 « dommage subis au service des NU » : affaire du comte Bernadotte.
Qui pouvait engager une action en dommage et intérêts et si les Nu pouvaient le faire mais sur quel fondement juridique ? la CIJ estime que les NU possédait une personnalité juridique internationale et donc de réclamer au nom de ses agents. Le juge a déclaré que les NU possédait une personnalité objective internationale. Elle représente la communauté
On en déduit que les
A. Le pouvoir objectif des NU
Une illustration de ce pouvoir dans « l’affaire de la Namibie » : on mettait des mandats sur des états en devenir indépendance. L’Afrique du
On estime que les NU ont un pouvoir objectif d’administrer ce territoire.
Dans le cadre du KOSOVO. On crée en 99, une mission intérimaire des NU. Celle
Ce pouvoir objectif est reconnu par les états.
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B. La gestion objective d’espaces internationaux
Il convient de gérer certains espaces pour le bien de la communauté internationale. Des espaces démilitarisés donc interdit de tout type d’armes et de fortification militaire. L’organisation maritime internationale fixe un statut des voies d’eaux internationales. Elles ont un régime analogue pour rendre service à la communauté
L’espace aérien est une zone de souveraineté de l’état et sa gestion doit se faire dans l’intérêt général de
Sous section 3. Les moyens auxiliaires
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