« Biographie/Honoré de Balzac » : différence entre les versions

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m →‎1819 : Lafarge}} - p.65 : La famille Balzac a subi « des pertes d’argent dans deux entreprises »</ref><ref name="b1002" />
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;22 mai
Mort de [http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=balzac&lang=fr;p=claude+louis+joseph;n=sallambier| Claude Louis Joseph Sallambier], grand -père d’Honoré.
Sa veuve vint s’installer chez les Balzac en apportant au ménage cinq mille francs de rente.<ref name="b1001">André Maurois, ''Promothée ou la vie de BALZAC'', Hachette, 1965</ref> Elle commit l’erreur de confier ses capitaux à B.F. qui les aventura dans une affaire « éblouissante » et lui fit perdre quarante mille francs.
 
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Acquisition d’une maison par B.F. sise 29, rue d’Indre-et-Loire (aujourd’hui 53, rue Nationale – rue de l’Armée d’Italie en 1799, rue Napoléon en 1813, rue Royale en 1820) pour 40 000 F. Le 8 janvier 1805, l’ancien propriétaire donnera quittance des sommes dues.
Elle était située tout près de la maison natale d’Honoré au n°25.
(Balzac à Saché, N°XI (1968) – suivant acte notarié de 1820 - La maison se composait : d’une cour d’entrée pavée de treize mètres sur douze, bâtiment principal de dix mètres de façade avec trois croisées, sur seize mètres de profondeur, avec à l’ouest et à l’est deux vastes bâtiments de communs, bordant la cour. Au R. de Ch. Deux grands salons où Mme B.F. recevra les notables de Tours : l’ordonnateur militaire Honoré MARCHANT, le lieutenant-colonel DOUTREMONT qui épousera après le décès du précédent en 1816, sa veuve ; Gabriel DONNADIEU, futur baron d’Empire et général, avec sa femme célèbre par sa beauté, Henri Joseph SAVARY et son gendre [http://gw0.geneanet.org/balzac_w?lang=fr;m=N;v=MARGONNE+%28de%29;t=A François Alexandre de MARGONNE], Mme Marie Bruley, ami du sénateur CLEMENT de RIS, témoin de son enlèvement en 1800, ainsi que les Anglais, William et Mary Cane dont le fils James fut le camarade de jeux d’Honoré.
 
{{refsou|Ayant vendu la ferme de Gazeran qui appartenait à sa femme}}.<ref name="b1001" />
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Vente de la ferme de Volaille à Gazeran pour 30 000 frs qui avait été apportée en dot à la femme de B.F. pour permettre l’achat de la ferme de Saint Lazare prés de Tours.<ref name="b1002" />
 
AÀ partir de 1805, Ferdinand Heredia, comte de Prado-Castellane, fréquente les salons de Mme Balzac.
 
== 1806 ==
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Naissance d’Henry François de BALZAC à Tours, baptisé le même jour à l’église Saint Martin. Parrain : Henry Joseph de SAVARY
"L'an mil huit cent sept, le vingt un décembre à midi. Par devant Nous Maure de la ville de Tours, membre de la Légion d'Honneur, Officier de l'État-civil de Tours, soussigné, est comparu :
M. Bernard François Balzac, adjoint de cette commune et administrateur de l'Hôpital général de cette commune, demeurant à Tours, rue d'Indre et Loire, n°25, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né de ce jour à trois heures du matin de lui déclarant et de dame Anne-Charlotte-Laure Sallambier, son épouse, auquel il a déclaré vouloir donner les prénoms de Henry-François. La dite déclaration et présentation faite en présence de M. Henry-Joseph Savary, propriétaire, âgé de cinquante-quatre ans, demeurant à Tours rue de la Scellerie et de Monsieur François Derouet Granolach, adjoint de cette commune, âgé de soixante -neuf ans, demeurant à Tours, rue Napoléon, qui ont avec le déclarant signé avec Nous le présent acte de naissance après lecture".
 
 
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- Il demande à sa sœur de lui écrire « par le farinier en adressant à la Comète » et qu’il passera par la- même voie. (Il s’agit de Charles François Michel GODARD, cultivateur et vigneron à Villeparisis, qui ravitaillait en farine depuis des moulins à Clayes plusieurs boulangeries parisiennes, et faisait volontiers des commissions pour la famille Balzac). Il n’y a plus « la mère Comin » ?..
- Il a quitté le Jardin des Plantes qu’il trouvait trop triste pour retourner au Père Lachaise.
- Il va écrire à sonsa mère et à son père.
 
;Automne
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;27 juillet
(1007) (1009) La B.F. enregistre la publication de Clotilde de Lusignan ou le Beau Juif, manuscrit trouvé dans les archives de Provence et publié par Lord R’hoone (4 vol. in-12 chez Hubert, 10 Frs) – premier ouvrage publié rédigé seul par Balzac.
(1009) La DédicacesDédicace et Les Prologues ne figurent pas dans tous les exemplaires. Suivi de trois notes.
(1008) Honoré n’obtient qu’un entrefilet commercial dans Le Miroir. A-t-il présumé de ses relations ou décidé de garder pour lui « le prix des annonces » ?