« Le système d'exploitation GNU-Linux/Le serveur de noms BIND » : différence entre les versions
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Ligne 234 :
On va définir dans ce fichier nos zones locales.
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# cat /etc/bind/named.conf.local
zone "mondomaine.fr" {
Ligne 245 :
file "/etc/bind/db.mondomaine2.fr";
};
</syntaxhighlight>
=== Le fichier définissant la zone ===
Ligne 350 :
Pour vérifier, on relance le DNS et on lui demande quelle nom est associé à une adresse IP donnée :
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# /etc/init.d/bind restart
# host 192.168.30.210
...
</syntaxhighlight>
== Gestion des zones ==
Ligne 361 :
Pour modifier les redirections DNS d'un domaine, il faut modifier sa zone :
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vim /etc/bind/db.mondomaine.fr
vim /var/lib/bind/example.com.hosts
</syntaxhighlight>
Après modification des zones DNS, il s'avère nécessaire de demander sa propagation en cliquant tout en haut à droite sur ''Apply Configuration''. Cela équivaut à la commande RNDC pour "Remote Name Daemon Control" :
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rndc reload
</syntaxhighlight>
Et éventuellement vérifier qu'il n'y a pas eu d'erreur :
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tail -300 /var/log/syslog
</syntaxhighlight>
Cela permet par exemple de s'apercevoir que le numéro de série de la version de la zone doit être changé à chaque modification :
zone serial (999) unchanged. zone may fail to transfer to slaves.
Ligne 382 :
== Problèmes connus ==
=== SERVFAIL ===
<
dig @localhost example.com
Ligne 399 :
;; WHEN: Mon May 25 16:37:31 2015
;; MSG SIZE rcvd: 35
</syntaxhighlight>
Le serveur DNS mentionné (localhost dans l'exemple) ne connait pas le domaine, mais il peut parfois le résoudre avec <code>host</code>.
Ligne 409 :
=== NXDOMAIN ===
<
host example.com
Host example.com not found: 3(NXDOMAIN)
</syntaxhighlight>
Le domaine est inconnu des DNS, en général il suffit d'attendre la propagation 24 h.
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