« Affaire Priore/Le rapport Bernard-Latarjet » : différence entre les versions

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{{citation bloc|''On pourrait multiplier les citations de ce genre. Viennent ensuite de nombreuses précisions (?) sur les organes de la machine. On y trouve un émetteur de particules chargées (qui doivent être des électrons), un '''''cyclotron''''' (?) accélérant ces particules. Il y a aussi un '''''magnétron''''' qui émet des ondes électromagnétiques centimétriques. Les deux rayonnements convergent dans un '''tube "accélérateur''' et directeur du rayonnement résultant". Ce tube contient de l'argon sous basse pression.''}}
 
::* {{rouge| '''''cyclotron'' ... ''magnétron''''' ... {{droite|- '''Propos condescendants'''.}}}}
:::{{rouge|Par l’usage des guillemets et de points d’interrogation, MM. Bernard et Latarjet semblent vouloir montrer un certain ridicule dans les propos d’Antoine Priore. Malheureusement ils montrent surtout leur incompétence en physique. Les termes employés sont exacts.}}
:::{{rouge|Le mouvement d’un électron accéléré entre cathode et anode en présence d’un champ magnétique transverse est hélicoïdal et s’appelle [[w:fr:Rayonnement cyclotron|mouvement cyclotronique]].}}
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:::{{rouge|Un [[w:fr:Magnétron|magnétron]] est un dispositif inventé au début de la Deuxième Guerre mondiale pour produire des ondes électromagnétiques centimétriques de fortes puissances dans les fameux « [[w:fr:radar|radars]] ».}}
 
:::{{rouge|Le « tube accelerateuraccélérateur » est une [[w:fr:Lampe à décharge|tubes à décharge]] utilisé depuis la fin du 19<sup>e</sup> siècle pour étudier la propagation des particules chargées électriquement dans des champs électromagnétiques.}}
 
{{citation bloc|''L'émission d'électrons provient d'une cathode. Les meilleurs résultats ont été obtenus avec une cathode en molybdène. Des résultats moins bons, mais encore satisfaisants, ont été obtenus avec une cathode en tungstène. "Il se trouve que le molybdène et, en moindre degré, le tungstène sont les métaux dont la valence est la plus proche de la valence moyenne des molécules chimiques constituant les tissus vivants et plus particulièrement les tissus humains ..."!''
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''L'ensemble du texte comporte environ 600 lignes où foisonnent des détails qui semblent précis, mais qui '''n'ont pas permis depuis lors à quiconque de reproduire''' cette machine sans l'intervention de son auteur. '''En particulier, le brevet ne précise pas les caractéristiques''' des rayonnements, ni qualitatives (distributions spectrales) ni quantitatives (flux énergétiques).''}}
 
::* {{rouge|...''' n’ont pas permis depuis lors à quiconque de reproduire'' ... {{droite|- ''''propos exacte mais malveillant.'''}}.}}
::: {{rouge|C’est un fait étonnant, mais jusqu’à ce jour, personne n’a fait l’effort de tenter à reproduire à l’identique un « appareil Priore » ! Comme nous décrivons dans [[Affaire Priore/Construire un appareil Priore ?|Construire un appareil Priore ?]] l’attitude des scientifiques chargés de le faire a été : « L'appareil Priore, c’est compliqué ; on peut faire la même chose plus simplement »...}}
 
::* {{rouge|'''En particulier, le brevet ne précise pas les caractéristiques...''' {{droite|'''- Inexactitude'''.}}.
::: {{rouge|Le brevet décrit la gamme de fréquences, maisque l'appareil est censé de produire. Mais il ne décrit pasni le mode d’emploi de l’appareil, ni donne l'analyse scientifique du rayonnement produit, ce qui n’est pas l’objet d’un brevet. Le brevet de 1966 décrive aussi les intensités et gamme de fréquences, mais pas comment utiliser l'appareil. On regrette vivement qu'Antoine Priore n’ait jamais rédigé un tel mode d’emploi, c’est là le nœud gordien du « Problème Priore » !}}
 
====Références====