« Affaire Priore/Le rapport Bernard-Latarjet » : différence entre les versions

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{{citation bloc|''Toutefois, il fut admis, sur la suggestion de Monsieur Latarjet qu'avant d'entreprendre le travail, il fallait demander à Monsieur Priore l'assurance que la machine serait en ordre de marche pendant le déroulement des expériences, et que, de ce point de vue, celles - ci seraient significatives.''
 
'''''Le 5 août, Monsieur Seligmann rendit visite à Monsieur Priore''' qui lui dit que les deux appareils (car un second avait été construit) étaient en panne,' mais que ces deux appareils seraient en marche dans un délai de deux mois. Les dispositions furent prises pour commencer les expériences dans le courant d'octobre. Malheureusement à cette date, Monsieur Priore ne nous avait pas encore donné le feu vert, et, en février 1967, la DGRST était toujours dans l'attente du bon fonctionnement des appareils. Le Général de Jussieu à qui Monsieur Chaban-Delmas avait demandé de suivre l’Affaire, fit savoir qu'on ne pouvait rien espérer ayant le 15 mars. '''Pourtant l'on savait''', par des Bordelais dignes de foi, que l'appareil fonctionnait dans d'autres buts. Il était clair que Monsieur Priore et ses associés bordelais refusaient le contrôle scientifique extérieur des spécialistes désignés par la DGRST. Ils décidaient ainsi de demeurer dans le secret d'une sorte de clandestinité.''}}
 
::* {{rouge|Le 5 août, Monsieur Seligmann rendit visite à Monsieur Priore... - Insinuation}}
''Dans ces conditions, et après plus d'un an d'attente vaine, la DGRST renonça à son projet à la fin de l'été. Les Instituts qui avaient bénéficié d'une convention lui reversèrent les sommes qu'ils n'avaient pas dépensées.''}}
::: {{rouge|Seligmann était à Bordeaux le 2 août, pas le 5, non pas pour faire une expérimentation comme insinuait Latarjet, mais simplement pour rencontrer MM. Priore et Pautrizel<ref>{{Archives Priore|id=1f1XDbWZ_ofGPwaJfPXSNx9M-X56Eb--Q|auteur=M. Seligmann|titre=Lettre adressée à R. Pautrizel le 28 juillet 1966}}<br/>{{Archives Priore|id=1ypuStiiEw2LI7mDsusmIvFqKXRCLVX8D|auteur=M. Seligmann|titre=Lettre adressée à A. Priore le 28 juillet 1966}}<br/>{{Archives Priore|id=1gYXffJAELRfYaRInzKCgKPRYfmyoFoRH|auteur=M. Seligmann|titre=Lettre adressée à R. Pautrizel le 5 août 1966}}</ref>.}}
 
::* {{rouge|LignePourtant 231l’on Le 5 aoûtsavait, Monsieur.... Seligmanndans renditd’autres visite à Monsieur Priore..buts. - InexactMensonge}}
::: {{rouge|Une fois de plus MM. Bernard et Latarjet colportent une rumeur, car ils ne donnent aucune justificationsource. Ce qui est compréhensible, car l'affirmation est totalement fausse.}}
::: {{rouge|Seligmann était à Bordeaux le 2 août, pas le 5, non pas pour faire une expérimentation comme affirmait Latarjet ailleurs<ref> (40)</ref>, mais simplement pour rencontrer MM. Priore et Pautrizel, voir<ref> (41)</ref>.}}
 
::* {{rouge|Lignes 237 - 238 Pourtant l’on savait, .... dans d’autres buts. - Propos tendancieux}}
::: {{rouge|Une fois de plus MM. Bernard et Latarjet colportent une rumeur, car ils ne donnent aucune justification.}}
::: {{rouge|Les cahiers de laboratoire de Mlle A. N. Pautrizel pour la période août 1966 à juin 1967 montrent que les seules expériences faites par le Pr. R. Pautrizel et ses collaborateurs étaient des études biologiques (réinfestations, analyse d’anticorps etc.) sur des souris déjà traitées par l’appareil Priore. Ces études étaient faites au sein du laboratoire universitaire et non pas chez Priore. De plus,}}
::::{{rouge|- l’appareil P2, utilisé par Biraben, Rivière et Pautrizel était tombé irrémédiablement en panne ;}}
::::{{rouge|- l’appareil P3, construit par la société Leroy-Somer ne fonctionnait pas ;}}
::::{{rouge|- l’appareil P4, financé avec l’aide du Pr. Pautrizel était en construction.}}
::: {{rouge|Voir le Calendrier<ref>[[Affaire (42)Priore/Le Calendrier de l'Affaire Priore|Le Calendrier de l'Affaire Priore]]</ref> de cette période pour se rendre compte que les propos de Bernard et Latarjet sont totalement faux.}}
::: {{rouge|Les mots : « Pourtant l'on savait, par des Bordelais dignes de foi, que l'appareil fonctionnait dans d'autres buts. » utilisaient par MM. Bernard et Latarjet pour dénigrer Antoine Priore et ses collaborateurs bordelais, se trouvent dans un compte rendu<ref>{{Archives Priore|id=1594sdMsIRMp2CKnidRDxMBKgTbpHzH8_|auteur=P. Aigrain|titre=PV des réunions de la commission DGRST du 17-18 avril 1979}}</ref> d'une réunion entre la S.E.R.A.P. et une commission de la D.G.R.S.T. du 18 avril 1979 dans un contexte totalement différent<ref>[[Affaire_Priore/Leroy-Somer#1979|Leroy-Somer - 1979]]</ref>
 
{{citation bloc|''Dans ces conditions, et après plus d'un an d'attente vaine, la DGRST renonça à son projet à la fin de l'été. Les Instituts qui avaient bénéficié d'une convention lui reversèrent les sommes qu'ils n'avaient pas dépensées.''}}
 
====Références====