« Affaire Priore/Le Comité de soutien » : différence entre les versions

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Même la requête de D. Mourgues<ref>{{Archives Priore|id=106uXXoB-cdFjdYuHZLZdX6dAzidGDzRi|auteur=D. Mourgues|titre=Lettre adressée à Y. Moreau le 24 mai 1984}}</ref>, pour savoir qui recevrait la pétition, resta sans réponse.
 
Alors commença un va et vient entre le comité et divers ministères: En juin 1984<ref>(27)</ref>, en janvier 1985<ref>{{Archives Priore|id=1L4WiqPKm2Zdsy0_K7q-xZx7W6cfhM5fw|auteur=D. Mourgues|titre=Lettre adressée à S. Bouic le 22 janvier 1985}}<br/>{{Archives Priore|id=1RmlEr4vvS-OTUGyXq_pITp4QjMCqMsFQ |auteur=S. Bouic|titre=Lettre adressée à D. Mourgues le 18 février 1985}}</ref>, en novembre et décembre 1985<ref>(29)</ref>, puis en janvier 1986<ref>{{Archives Priore|id=1M-xLimPlWmKoGDxTn_tLNxrih6kmLGvz|auteur=D. Mourgues|titre=Lettre adressée à H. Curien le 16 janvier 1986}}</ref>), H. Curien était alors ministre de la recherche. Une autre demande<ref>{{Archives Priore|id=1h88Ty4_DFhUaBUT3uih_HLWJTK-w3crQ|auteur=D. Mourgues|titre=Lettre adressée à F. Mitterrand le 24 février 1986}}</ref> fut faite auprès de François Mitterrand, appuyée<ref>(32)</ref> par [[w:fr:Philippe Madrelle|Philippe Madrelle]] (sénateur) et [[w:fr:Pierre Garmendia|Pierre Garmendia]] (député). La réponse<ref>(33)</ref> de [[w:fr:Jean Glavany|Jean Glavany]] (chef de cabinet du président) le 24 mars 1986, fut de mettre la demande en attente, mais elle restera finalement sans suite. En septembre 1986, puis en janvier 1987, François Mitterrand est encore sollicité par le comité<ref>(34)</ref> sans plus de succès<ref>(35)</ref>. Le comité commence alors à envoyer les feuilles des {{formatnum:140000}} signataires de la pétition à l’Élysée par petits paquets, sans jamais recevoir la moindre réponse. Le 18 septembre 1987, E. Bidault<ref>(36)</ref> demande à la présidence de transférer les feuilles de la pétition au ministère de la santé (Mme [[w:fr:Michèle Barzach|Michèle Barzach]]).
 
La demande formulée dans la pétition était assez anodine. On peut se demander pourquoi la Présidence de la république ne l’a pas fait accepter par un haut fonctionnaire avec les politesses d’usage, pour la classer ensuite comme bien d’autres.