« Affaire Priore/Le Comité de soutien » : différence entre les versions

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==Contacts avec des députés, des ministres et autres personnalités==
 
Devant le refus de la Présidence de la république de recevoir leur pétition, le comité a adopté la stratégie<ref>(41){{Archives Priore|id=1osCktOxiOYX4nlvvc3y0pRJuNa_4qMIV|auteur=Comité de soutien|titre=Lettre circulaire du janvier 1984}}</ref> du contact direct pour sensibiliser les élus de la nation, les ministres et un certain nombre de ‘personnalités’ du monde médical et du monde commercial.
 
Aucune des personnalités du monde commercial n’a donné suite aux demandes de mécénat.
 
Tous les élus recevaient, à intervalles réguliers, des tracts, des cartes, des lettres ouvertes sur l’affaire Priore. Beaucoup d'entre eux ignoraient cette correspondance, certains manifestaient leur agacement, d'autres répondaient en demandant un complément d’information. Un résumé des réponses et des ‘non-réponses est donné dans le tract<ref>(42){{Archives Priore|id=1TZ8-MaXExfiAU5hwTeNSiT_fsEI3VC0k|auteur=Comité de soutien|titre=Tract : mars 1988}}</ref>.
 
Quelques Députés ont cru bon de poser des questions écrites à divers ministres, dont les réponses furent publiées dans ''Le Journal Officiel de la République''. Le lecteur peut se référer à la partie du document ''Calendrier du Dossier PRIORE'' consacré aux années 1984-1996 pour un résumé de toute cette correspondance.
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Le lendemain, ''Le Monde'' et ''Le Quotidien du Médecin'' répètent<ref>(56)</ref> les affirmations de T.F.1. Les 11 et 22 janvier, d’autres<ref>(57)</ref> articles sont publiés où le nom d'Antoine Priore est mêlé à un certain nombre d'escroqueries.
 
Le 4 janvier D. Mourgues adresse une lettre de protestation et de rectification à G. Fillioud, ministre des communications. Il envoie aussi des lettres circulaires<ref>{{Archives Priore|id=1xUMyJjDn4O6AIryNtchnm9WrjwYRdjgA|auteur=Comité de soutien|titre=Lettre circulaire du 4 janvier 1984 (58a)}}<br/>{{Archives Priore|id=1BGPXiEWwx43536x0p-muDdYpdtONKcsX |auteur=Comité de soutien|titre=Lettre circulaire du 4 janvier 1984 (b)}}<br/>{{Archives Priore|id=1YSBoku8NfLIxLErwj35PEZLv_ARp3q6Q|auteur=Comité de soutien|titre=Lettre circulaire de février 1984}}</ref> aux membres de l’association en les invitant à écrire eux-mêmes au ministre, au président de T.F.1 et à Mme Michèle Cotta, présidente de la Haute Autorité Audiovisuelle.
 
D’autres personnalités (le Pr PAUTRIZEL<ref>(59)</ref>, Bernard MADRELLE<ref>(60)</ref>, P. CHATEAUREYNAUD et G. MAYER<ref>(61)</ref>, etc.) ont également protesté auprès de T.F.1. et auprès de M. COTTA.
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L’équipe universitaire<ref>(77)</ref>, constituée par le Pr Joussot-Dubien en 1985, sous l’impulsion du Pr Pautrizel avec l'appui du Pr Pacault et MM. Madrelle, Rousset et Savary (conseil général de la Gironde), était censée étudier le ''rayonnement PRIORE'' à la faculté des sciences de Bordeaux et reconstruire un appareil Priore. Pour accomplir cette tâche elle a reçu une importante subvention du conseil général.
 
Naturellement le comité reporte tous ses espoirs<ref>(78){{Archives Priore|id=1TZ8-MaXExfiAU5hwTeNSiT_fsEI3VC0k |auteur=Comité de soutien|titre=Tract de mars 1988}}<br/>{{Archives Priore|id=1mLy98cdSSg6b9yAqiklUKcsEUHCBs4Y3 |auteur=Comité de soutien|titre=Lettre circulaire de mars 1991}}<br/>{{Archives Priore|id=1vszmmAsBSX4_PJfhKfsoqGsG3-NhdhDB |auteur=Comité de soutien|titre=Tract de 1998 }}</ref> sur cette équipe de chercheurs.
 
Le Pr Pautrizel présente au comité le Pr lfred Caristan, membre du groupe universitaire. Certains des membres du comité rencontrent également le Pr Joussot-Dubien afin de prendre connaissance des travaux universitaires. Pour aider ce groupe, le comité lui octroie une subvention de {{unité|10000|F.}}, modeste certes, mais non négligeable. Les tracts d’information du Comité<ref>(79)</ref> décrivent le projet de l’équipe du Pr Joussot-Dubien, qui lui-même donne une conférence à Gujan-Mestras le 5 novembre 1988.