« Affaire Priore/Le Comité de soutien » : différence entre les versions
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En avril 1983 l’abbé Ducrot<ref>{{Archives Priore|id=1XLmE4n2EaltoSUUNYJljHEBeDtAODIfI |auteur=J. Ducrot|titre=Lettre adressée à R. Pautrizel le 24 avril 1983}}<br/>{{Archives Priore|id=13fCujnZ2xkspIJ3UsQzidXaLRflOHkpK |auteur=J. Ducrot|titre=Lettre d'information décrivante le Comité de soutien de la découverte d'Antoine Priore}} }}</ref>) fait circuler une note d’information décrivant le but du futur Comité. Le Dr Monnier dans une lettre ouverte<ref>(2)</ref> invite les membres de l’association à écrire "en masse" aux députés, sénateurs etc.
La réunion constitutive<ref>
Les membres fondateurs de l’association connaissaient tous le Pr Pautrizel et ses travaux. En plus, le Dr Dagréou avait lui-même travaillé avec Antoine Priore dans les années 60. Il traitait de nombreuses malades du cancer, y compris sa propre femme<ref>(8)</ref>, avec l’appareil d’Antoine
Les fondateurs du comité estimaient que le développement de l'appareillage Priore était dans une impasse totale, qu'il ait lieu chez LEROY-SOMER, à Floirac ou à l'Université. Ils ont donc décidé d’agir eux-mêmes, selon leurs consciences et selon leurs cœurs en utilisant les moyens à leur disposition:
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==Les premières actions==
La première action du Comité fut d’organiser une réunion<ref>
Entre juillet 1983 et la fin 1984 plus de {{unité|200000}} tracts auront été distribués. Très rapidement le nombre d’adhérents de l’association s’approche du millier<ref>{{Archives Priore|id=1n9nXVi_nSovr2P13iiQVTo8WSmEuozpr|auteur=J. Ducrot|titre=Lettre adressée à J-M. Graille le 9 septembre 1983}}</ref>.
* L’intérêt suscité par leur travail auprès des estivants a incité le comité à organiser une autre conférence à Arès le 25 juillet, et à émettre d’autres tracts en août<ref>
* Le Pr Pautrizel donna une conférence à Bordeaux<ref>(13)</ref> le 4 octobre ; le Dr Dagréou en donna une au C.H.U. d'Angoulême ; Mme P. Chateaureynaud en donna une autre à Lourdes, etc.
* Des manifestations d’information furent organisées avec succès en 1984 à Coutras<ref>(14)</ref>, à St. Vivien de Médoc<ref>{{Archives Priore|id=1X6ejGTezsfYa7drd7PouMB2qxMx_FNWu|auteur=J. Ducrot|titre=Lettre adressée à P. Chateaureynaud le 15 juin 1984}}</ref>, à Soulac, à Dax<ref>(16)</ref> et à Tulle<ref>
A son apogée l’association comptait deux mille membres.
Un rapport détaillé des activités du Comité avec son bilan financier pour la période 1983-1984 se trouve dans le document<ref>
Un aperçu des activités des responsables du Comité (D. Mourgues, l’abbé J. Ducrot et E. Bidault) pour les années 1983-2000 se trouve dans [[Affaire Priore/Le Calendrier de l'Affaire Priore|Calendrier du Dossier PRIORE]]. Dans la présente ‘Note’ nous résumons les plus importants aspects des actions du comité.
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==La Pétition Nationale==
Un des premiers objectifs du comité de soutien fut de présenter une pétition au Président de la république, demandant son intervention. La formulation de la pétition<ref>
{{Citation bloc|''Monsieur le PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE Monsieur le MINISTRE DE LA SANTÉ
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