« Affaire Priore/S.O.V.I.R.E.L. » : différence entre les versions
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:- Le directeur du laboratoire de recherches de Saint-Gobain, I. Peychès, à la demande de M. Borocco, a été envoyé le 24 septembre 1962, puis le 14 mars 1964 chez Antoine Priore pour examiner son appareil et de mesurer quelques paramètres électromagnétiques. Il détermina la distribution spatiale du champ magnétique principal et constate que l'appareil ne produit ni rayons X, ni rayons gamma<ref name="AAP" />.
:- P. Vène et I. Peychès voient la nécessité qu’Antoine Priore fasse des publications scientifiques. Donc, en 1963, ils l'encouragent et l'aident<ref>{{Archives Priore|id=1wg2oeOcK-hanv-k4ACTxPHivVJoA6uir|auteur=P. Vène|titre=Commentaires sur un projet de publication d'Antoine Priore du 23 juin 1963}}<br/>{{Archives Priore|id=1tJNB51KIYw3_h5jeriRQLbwmGtrshDTS |auteur=I. Peychès|titre=Commentaires sur un projet de publication d'Antoine Priore le 7 mars 1963}}</ref> à rédiger des textes qui décrivent sommairement l'appareil et quelques résultats biologiques obtenus. Malheureusement les textes en question, très probablement les documents<ref>
:- En 1964 M. Borocco a chargé M. Piganiol<ref>
:- P. Vène appuie la demande de MM. Priore et Berlureau auprès du Pr Guérin, de l'Institut du Cancer à Villejuif, d'expérimenter l'appareil avec des animaux. Ce qu’il a fait avec son collaborateur le Pr M.R. Rivière.
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:- Après la présentation des travaux de Rivière, Guérin, Priore, Berlureau et Fournier à l'Académie des sciences par le Pr Courrier en décembre 1964 puis en février et mars 1965, MM. Vène et Peychès les soutiennent pour les demandes de subventions auprès du ministre de la recherche<ref>{{Archives Priore|id=12S4wzJJLBU6qvQn6Smp7jhiR6nt77LsL|auteur=I. Peychès|titre=Lettre adressée à A. Maréchal le 21 janvier 1965}}<br/>{{Archives Priore|id=1MOpzk6pB06citpYC430SOAD3NmvwBb7Y|auteur=I. Peychès|titre=Lettre adressée à A. Kastler le 26 février 1965}}</ref>. Ils conseillent<ref>{{Archives Priore|id=1tkmFqKMYEoo0F79BmJ3wiOloN-BVfOTa|auteur=P. Vène|titre=Lettre adressée à F. Berlureau le 3 mars 1965}}<br/>{{Archives Priore|id=13uZzjzb7cTqk5FK6a5dNmpRaL4F4YMEW |auteur=I. Peychès|titre=Lettre adressée à A. Priore le 3 mars 1965}}</ref> Antoine Priore, en toute logique, mais très vivement et amicalement, de ne plus être cachottier et de faire des expériences animales qui sont irréprochables.
De son côté, Antoine Priore tient<ref>{{Archives Priore|id=1R6oREsdHBWOTJ9DWAgB9iURf9wH6c7HJ|auteur=A. Priore|titre=Lettre adressée à I. Peychès le 17 juin 1964
Dans la période décrite dans les deux sections suivantes la S.O.V.I.R.E.L. sera en relation avec deux sociétés commerciales: la S.E.R.E.S.O. et la S.E.R.A.P., dont Antoine Priore était un actionnaire minoritaire. Pendant leurs contacts avec les dirigeants de ces sociétés, la direction de la S.O.V.I.R.E.L. serait toujours en possession de deux canaux d'information:
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