« Affaire Priore/Diverses rumeurs » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
William Ellison (discussion | contributions)
William Ellison (discussion | contributions)
Ligne 205 :
Or, en 1970–1971 le Pr Pautrizel et Antoine Priore était en négociation avec la D.G.R.S.T. pour une subvention de {{unité|3.5|millions de francs}} pour la construction d’un appareil fiable et à paramètres variables au laboratoire du Pr Pautrizel à Bordeaux. En plus la société Leroy-Somer d’Angoulême voulait être associée au projet. Donc les conditions demandées par Charles Mérieux étaient remplies et le premier apporte d’un million de francs aurait été extrêmement utile au projet.
 
Malheureusement, la société Leroy-Somer ne voulait ni partager des éventuels bénéfices avec une autre entreprise, ni laisser des universitaires un libre accès à l’appareil. Il ne fallait pas beaucoup de persuasion pour convaincre Antoine Priore de garder son appareil et son secret chez-lui. Voir<ref name="LS" /></ref> pour le récit détaillé de cette choix catastrophique.
 
La fondation Mérieux, bien évidemment, ne donne pas suite et ne manifeste aucune rancune.