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===Laboratoires Pharmaceutiques contre Antoine Priore ===
Dans notre documentation de l’affaire Priore il n’y a aucun trace de la moindre tentative d’un groupe pharmaceutique d’étouffer le développement des appareils Priore. Par contre, il y a quelques documents qui indiquent des dons très modestes<ref>(35)[[Affaire Priore/Les finances de l'Affaire Priore|Les finances de l'Affaire Priore]]</ref> des laboratoires UPSA, LERTA, et ROCHE au Pr Pautrizel pour le compte d’Antoine Priore. Le seul contact sérieux vient de la fondation Mérieux de Lyon.
A la demande du Pr R. Courrier<ref>{{Archives (36)Priore|id=1JYWu-mIAxfZWV5uyeUr6f6iVuZsSgS7h |auteur=R. Courrier|titre=Lettre adressée à C. Mérieux le 4 mars 1970 }}</ref> en 1970, [[w:fr:Charles Mérieux|Charles Mérieux]] de la fondation Mérieux, était près à intervenir dans le développement d’un appareil Priore à condition que l’appareil se fasse dans un laboratoire universitaire et que la fondation Mérieux ne soit pas le seul partenaire industriel<ref>{{Archives Priore|id=1d4hqGmQRQHFKekmaH1NdCJ_NOt0FuJC0 |auteur=C. Mérieux|titre=Lettre adressée à R. Courrier le 11 mars 1970}}<br/>{{Archives Priore|id=1EujcXKma0a-OUOrunU97Pk9y4Q2Jeu6h |auteur=C. Mérieux|titre=Lettre adressée à R. Courrier le 17 février 1971}}</ref>. Donc, il ne cherchait ni le secret, ni le monopôle, ni l’étouffement de l’affaire.
 
Or, en 1970–1971 le Pr Pautrizel et Antoine Priore était en négociation avec la D.G.R.S.T. pour une subvention de {{unité|3.5|millions de francs}} pour la construction d’un appareil fiable et à paramètres variables au laboratoire du Pr Pautrizel à Bordeaux. En plus la société LEROYLeroy-SOMERSomer d’Angoulême voulait être associée au projet. Donc les conditions demandées par Charles Mérieux étaient remplies et le premier apporte d’un million de francs aurait été extrêmement utile au projet.
 
Malheureusement, la société LEROYLeroy-SOMERSomer ne voulait ni partager des éventuels bénéfices avec une autre entreprise, ni laisser des universitaires un libre accès à l’appareil. Il ne fallait pas beaucoup de persuasion pour convaincre Antoine Priore de garder son appareil et son secret chez-lui. Voir<ref (37)name="LS" /></ref> pour le récit détaillé de cette choix catastrophique.
 
La fondation Mérieux, bien évidemment, ne donne pas suite et ne manifeste aucune ’rancune’rancune.
 
Après le mort d’Antoine Priore en 1983, la société LEROYLeroy-SOMERSomer était en contact avec la fondation Weizmann (Haiffa), bien connu pour ses innovations médicales. Malheureusement, au lieu d’un vrai partenariat la société LEROYLeroy-SOMERSomer cherchait un mécène, prêt à donner une subvention conséquente ‘àà fonds perdus’perdus. Encore, le comportement de la société LEROYLeroy-SOMERSomer a écarté un partenaire puissant.
 
===Les cancérologues contre Antoine Priore===