« Affaire Priore/Diverses rumeurs » : différence entre les versions
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Cette rumeur semble être le fruit d’une imagination à court d’idées réalistes pour expliquer l'immobilité de la situation à partir de 1983. Cependant, sans avoir des preuves formelles, il y a des fortes présomptions que, effectivement, la « raison d’état » a joué un rôle néfaste pour l’affaire Priore !
A la fin de son livre « Dossier Priore », publié en 1984, J-M. Graille lance un cri de cœur et un appel au Président de la république comme étant la seule personne capable de débloquer la situation. Car après le rapport tronqué et très partial de MM. J. Bernard et R. Latarjet<ref>
Cet appel de J-M. Graille, les lettres du comité de soutien de la découverte d’Antoine Priore<ref>{{Archives
Cependant, le 14 mai 1986, Mme [[w:fr:Danielle Mitterrand|Danielle Mitterrand]] reçoit<ref>{{Archives Priore|id=1T3nU2VB9_pzGZH7IrX4f-C2QD11VKbbJ|auteur=D. Mitterrand|titre=Invitation à déjeuner à l'Elysée le 14 mai 1986}}</ref> au Palais de l'Élysée le Pr R. Pautrizel, Mme P. Chateaureynaud et le Dr J-P. Daulouède<ref>
Avec du recul nous pouvons deviner, peut-être, la raison derrière cette fin de non-recevoir de la part de François Mitterrand. En 1984, le cancer qui l’emportera était déjà bien déclaré, mais l’existence de sa maladie était effectivement un ''secret d'État''. Cependant, dans certains milieux journalistiques et politiques la rumeur de sa maladie était chouchoutée vers la fin de 1982. Le Président a été mis au courant de l’affaire Priore par Roland Dumas et R. Mayet a plusieurs reprises pendant l’année 1982. Il a choisi d’être soigné par l’hormonothérapie.
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