« Affaire Priore/Leroy-Somer » : différence entre les versions
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::Le conseil de surveillance de la S.E.R.A.P. était formé de G. Chavanes, H. Gossot, A. Lagière, P. Barry.
Dès sa première réunion, le 28
Le capital de la S.E.R.A.P. ({{unité|500000|F.}}) était divisé en {{formatnum:5000}} actions de {{unité|100 |F.}} chacune. Il y avait deux groupes d’actionnaires<ref>(109)</ref> :
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Les statuts<ref>
La séparation des actionnaires en deux groupes n'est ni innocente, ni sans conséquence pour les intérêts d'Antoine Priore. Les cadres de la société S.O.V.I.R.E.L., toujours soucieux de lui protéger, demandent l'avis du service juridique et d'un avocat bordelais spécialisé dans les affaires, Me. Bladier. Ce dernier s'étonne<ref>(113)</ref> des conditions illégales qui seront imposées aux actionnaires ''A'' lors d'une augmentation du capital de la S.E.R.A.P. Le service juridique de la S.O.V.I.R.E.L.<ref>(114)</ref> estime qu'Antoine Priore sera obligé de souscrire en numéraire et qu'il aura certainement des impositions fiscales à payer. En plus, la validité de la constitution des sociétés de portefeuille était très douteuse<ref>(115)</ref>.
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