« Affaire Priore/Les souris anglaises » : différence entre les versions

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* Le 19 novembre 1980, le Docteur Petit<ref>{{Archives Priore|id=https://drive.google.com/open?id=1yRZpLWW7PD1aZ-0-jtKS3Cvw3TppgNPb |auteur=M. Petit|titre=Lettre adressée à C. Meunier le 19 novembre 1980}}</ref> de l’association « ''Choisir'' » cite la thèse de Gauley pour justifier le refus d’aide demandée par C. Meunier pour Antoine Priore.
 
* Une des plus désastreuses manifestations de cette rumeur se trouve dans le rapport<ref>{{Archives Priore|id=1xYwePJdCxyj-CcIv6ZMZ08PI73NB7tbf |auteur=J. Bernard et R. Latarjet |titre=Le problème Priore (181960-1981) }}</ref> de l'Académie des Sciences intitulé « Le Problème Priore 1960 - 1981 ». Ce rapport, écrit par les professeurs J. Bernard et R. Latarjet, fût établi à la demande de J. P. Chevennement, Ministre de la Recherche. Les auteurs consacrèrent plus de 10% du rapport à propager la rumeur de substitution d’animaux et seulement trois lignes sur l'opinion des chercheurs anglais concernés ! (L’origine de cette demande ministérielle et une analyse critique de ce rapport se trouve dans la Note [[Affaire Priore/Le rapport Bernard-Latarjet|Le rapport Bernard-Latarjet]].)
 
* En 1983, le Pr J-P. Bader<ref>{{ouvrage
* En 1983, le Pr J. P. Bader<ref>(20)</ref>, dans son livre ''Le Cas Priore'', page 106, pose au Pr R. Latarjet la question: ''Pensez-vous que tous les résultats soient frauduleux?'', qui répond: ''Tout est possible''.
| prénom1 =Jean-Pierre
| nom1 =Bader
| titre =Le cas Priore
| sous-titre =Prix Nobel ou imposture ?
| éditeur =J.C. Lattès
| lieu =Paris
| année =1984
| pages totales=223
* En 1983, le Pr J. P. Bader<ref>(20)}}</ref>, dans son livre ''Le Cas Priore'', page 106, pose au Pr R. Latarjet la question: ''Pensez-vous que tous les résultats soient frauduleux?'', qui répond: ''Tout est possible''.
 
* Le 28 mars 1983 et le 5 janvier 1984 le ''Quotidien du Médecin''<ref>(21){{Archives Priore|id=1MrObGtWOW-y-sN_kdLrGBUl1E2hzl-ds |auteur=Quotidien du Médecin du 28 mai 1983 |titre=Antoine Priore est mort... un an après « sa machine » }}<br/>{{Archives Priore |id=1P2lSYi0l09UpUcOfrX07b7eU8QZuPKLY |auteur=Quotidien du Médecin du 5 janvier 1984 |titre=« Avions renfifleurs » des scientifiques victimes de la fausse science}}</ref> a publié deux articles ou Antoine Priore est traité d’escroc et de fraudeur.
 
* En 1986, M. De Pracontal<ref>{{ouvrage
* En 1986, M. De Pracontal<ref>(22</ref>), consacre les pages 51 à 63 de son livre ''L’imposture scientifique en dix leçons'' à l’Affaire Priore. Treize pages dans lesquelles l’accusation de fraude et la substitution d’animaux occupent une grande place. Ce livre a été réedité en 2001, sans changement.
| prénom1 =Michel
| nom1 =de Pracontal
| titre =L'imposture scientifique en dix leçons
| sous-titre =
| éditeur =La Découverte
| lieu =Paris
| année =2001
| pages totales=336
| isbn = 2-7071-3293-4
* En 1986, M. De Pracontal<ref>(22}}</ref>), consacre les pages 51 à 63 de son livre ''L’imposture scientifique en dix leçons'' à l’Affaire Priore. Treize pages dans lesquelles l’accusation de fraude et la substitution d’animaux occupent une grande place. Ce livre a été réedité en 2001, sans changement.
 
* Le 2 juin 1987, P. Chevallier<ref>(23){{Archives Priore|id=16CDHpnLzhtSB4r30EcR6gz9nLay3ZYkw [auteur= P. Chevalier|titre=Lettre adressée à G. Dubos}}</ref>,(Président de la M.G.E.N.) refuse l’aide de sa mutuelle pour participer à une relance des travaux avec l’appareil Priore s’appuyant sur « le rapport de Prs Bernard - Latarjet » de mars 1982.
 
* 1994, P. Darmon<ref>{{ouvrage
* 1994, P. Darmon<ref>(24)</ref>, consacre 4 pages de son livre ''Les cellules folles: L’homme face au cancer'' à ‘l’escroquerie’ d’Antoine Priore.
| prénom1 =Pierre
| nom1 =Darmon
| titre =Les cellules folles
| sous-titre =L'homme face au cancer de l'Antiquité à nos jours
| éditeur =Plon
| lieu =Paris
| année =1993
| pages totales=573
| isbn = 2-259-02532-3
* 1994, P. Darmon<ref>(24)}}</ref>, consacre 4 pages de son livre ''Les cellules folles: L’homme face au cancer'' à ‘l’escroquerie’ d’Antoine Priore.
 
Contrairement à la plupart des rumeurs, on connaît l’origine de celle-ci et les géniteurs sont bien identifiés. Nous proposons dans cette note d’examiner cette origine, d'apprécier la part de vérité et de se faire une idée du sérieux de ceux qui l'ont propagée.