« Affaire Priore/Les problèmes « humains » de l'Affaire » : différence entre les versions

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:* Conflits entre Antoine Priore et certains chercheurs, qui auraient vu d’un très bon œil le ''secret de Priore'' chez eux, afin de le développer pour leur compte personnel :
 
::: A-J. Berteaud du C.N.R.S., après les mesures qu’il avait faites avec A-M. Bottreau, a construit à Bellevue en 1972, en dehors d’Antoine Priore, un appareil simplifié pour le compte de la D.R.M.E. Par la suite H. Gossot<ref>{{Archives Priore|id=1rSxiOPA-ufP2KnSIc2P52VPrtH4j-_Gx|auteur=H. Gossot|titre=Lettre adressée à R. Pautrizel et A. Priore le 15 novembre 1972}}</ref> a voulu déclarer Berteaud et Bottreau ''persona non grata'' à Floirac.
 
::: G. Delmon dans les années 60, après ses expériences avec J. Biraben, a contacté<ref>(18){{Archives Priore|id=1S23f_ryUbmmQEQj_H28y6MIGfOny-0jj [auteur=G. Chavanes |titre=Lettre adressée à G. Delmon le 5 janvier 1966 }}<br/>{{Archives Priore|id=1m9EwzrjgPiP_uJRDuAjAOj_fd4ceeGgm [auteur=M. Balzeau |titre=Lettre adressée à R-M. Colonge le 29 janvier 1969 }}<br/>{{Archives Priore|id=1VTU1xHTp64MBYQ-dglEduoAT9PemZ7l- [auteur=R. Courrier |titre=Note personnelle du 21 mars 1966 }}</ref> la société S.O.V.I.R.E.L. pour qu’elle lui fabrique une lampe, comme chez Priore...
 
::: Conflits entre chercheurs et Leroy-Somer sur le lieu d’implantation de l’appareil prototype, financés par la D.G.R.S.T. entre 1971 et 1977. Les chercheurs considéraient qu’un prototype expérimental, vu les controverses du passé, serait plus crédible et acceptable par le monde scientifique et médical s’il était localisé sur un site public - universitaire. La société Leroy-Somer et Antoine Priore, d’accord entre eux sur ce point, voulaient garder la main mise sur l’appareil en le laissant chez Antoine Priore.