« Affaire Priore/Les problèmes « humains » de l'Affaire » : différence entre les versions

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:: Cette société voulait faire fortune rapidement et à peu de frais en parasitant Antoine Priore.
 
:* Antoine Priore, de son coté, voulait exploiter la société Leroy-Somer. Pour lui cette société n’était qu'une ''vache à lait'' servant à l’aider à la construction de ses appareils. Il ne l’a jamais considéré comme partenaire, à tel point qu’aucun des personnels de Leroy-Somer n’a jamais eu accès à son «secret». Ces relations, qui peuvent paraître sadomasochistes mais ils sont pour les deux parties fondamentalement intéressées, sont décrites en détail dans la Note<ref>(16)[[Affaire Priore/Leroy-Somer|Leroy-Somer]]</ref>. Il n’est rien de dire que cette association industrielle fut catastrophique pour le déroulement et un bon dénouement de l’affaire PRIORE.
 
:* Conflits entre Antoine Priore et certains chercheurs, qui auraient vu d’un très bon œil le ''secret de Priore'' chez eux, afin de le développer pour leur compte personnel :
 
::: A-J. Berteaud du C.N.R.S., après les mesures qu’il avait faites avec A-M. Bottreau, a construit à Bellevue en 1972, en dehors d’Antoine Priore, un appareil simplifié pour le compte de la D.R.M.E. Par la suite H. Gossot<ref>Archives (17)Priore|id=1rSxiOPA-ufP2KnSIc2P52VPrtH4j-_Gx|auteur=H. Gossot|titre=Lettre adressée à R. Pautrizel et A. Priore le 15 novembre 1972}}</ref> a voulu déclarer Berteaud et Bottreau ''persona non grata'' à Floirac.
 
::: G. Delmon dans les années 60, après ses expériences avec J. Biraben, a contacté<ref>(18)</ref> la société S.O.V.I.R.E.L. pour qu’elle lui fabrique une lampe, comme chez Priore...