« Affaire Priore/Les expériences biologiques » : différence entre les versions
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Le chercheur principal qui a fait les observations chez Priore, le Dr. Ambrose, n'a jamais considéré cette rumeur sérieuse ; il la traite comme « bêtise »<ref>{{lien web|url=https://drive.google.com/open?id=1mPdk9WPcK69JvvIiCXFZFyVRM3VB-2Nc|auteur=E.J. Ambrose|titre=Lettre du 21 juin 1966|site=Archives de l'Affaire Priore}}<br />{{lien web|url=https://drive.google.com/open?id=1vvMDj1JY3HjVydxt0CD8bArQLI6ZwQUM|auteur=E.J. Ambrose|titre=Lettre du 22 juin 1966|site=Archives de l'Affaire Priore}}</ref>. En même temps, juin 1966, le professeur Grabar, Directeur de l’Institut de Recherche Scientifique sur le Cancer de Villejuif, suggère que le rejet des greffes indiquait peut-être une exaltation des défenses immunitaires chez les souris irradiées.
Entre 1969 et 1971, poursuivant l'idée du professeur Grabar, P. Chateaureynaud-Duprat (C.N.R.S.), en collaboration avec A.-M. Colonge (Collège de France), pratiqua une série de greffes ([[w:fr:allogreffe|allogreffe]]s, homogreffes
* Les homogreffes étaient rejetées plus rapidement chez les souris irradiées que chez les souris témoins.
* Pour les isogreffes (greffes entre souris de la même lignée), il fut montré que malgré la forte histocompatibilité, les souris irradiées rejetaient leurs greffes et les souris non-irradiées acceptaient bien les greffons.
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