==Intermède==
Entre 1967 et 1969 Antoine PRIORE construisait avec son ‘équipe« équipe fidèle’fidèle » (MM. BERLUREAUBerlureau, DEZESDèzes, DURANDDurand, GENTYGenty, LEGLISELéglise, MARTINEZMartinez, PLANTINPlantin, PREMONTPrémont), un nouvel appareil financé par lui-même et par le Pr PAUTRIZELPautrizel. Cet appareil, que nous avons nommé le ‘P4’ dans les Fascicules N°3 et N°5« P4 », donna, entre 1969 et 1980, tous les résultats spectaculaires rapportés par le Pr PAUTRIZELPautrizel et ses collaborateurs. Naturellement, la S.O.V.I.R.E.L. a fourni Antoine PRIOREPriore avec la lampe à plasma pour cet appareil et ses dirigeants sont toujours tenus au courrantcourant du progrès de la construction <ref>(63)</ref>. Il y a même eu une ébauche d’un projet <ref>(64)</ref> de commercialisation des appareils à paramètres fixes avec R. GOUSSETGousset (S.O.V.I.R.E.L.), J.Jacques CHAHBAZIANChahbazian (PRANA) et Antoine PRIOREPriore, mais jamais concrétisée.
En 1971, grâce à l’appui de J.Jacques CHABANChaban-DELMASDelmas, premier ministre et maire de Bordeaux, la D.G.R.S.T. décide d’accorder une subvention de {{unité|3,.5 |millions de francs}} pour la construction d’un nouvel appareil à paramètres électromagnétiques variables. La subvention est censée être gérée par l’A.D.E.R.A. pour le compte de l’université de Bordeaux II. Des devis pour cet appareil sont préparés <ref>(65)</ref> et la S.O.V.I.R.E.L. adresse à Antoine PRIOREPriore une proposition pour deux lampes (Plan 188 de la série 850 pour un montant de {{unité|88000| F. H.T.}} plus {{unité|25000| F. H.T.}} pour les composants électroniques.) H. GOSSOTGossot, en tant que secrétaire de l’A.D.E.R.A. passe commande immédiatement <ref>(66)</ref>, mais pour des raisons détaillées dans les notes <ref>(67)</ref> la commande est mise en suspens en attendant l’attribution officielle de la subvention. Malheureusement, la subvention sera attribuée exclusivement à la société LEROY-SOMER pour construire l’appareil chez Antoine PRIOREPriore à Floirac ! Le 10 avril 1972 P. RIBEAU (68), ingénieur chez LEROY-SOMER, passe commande pour les deux lampes.
Le 10 avril 1972 P. Ribeau<ref>(68)</ref>, ingénieur chez LEROY-SOMER, passe commande pour les deux lampes.
Comme dans le passé, la société LEROY-SOMER va créer une filiale destinée à la commercialisation directe des appareils d’Antoine PRIORE. Mais, G. CHAVANES voulait éviter l’erreur commise à l’époque de la S.E.R.E.S.O. en associant la S.O.V.I.R.E.L. avec cette filiale dès sa création. En mai 1972 A. SERUSCLAT (service juridique de la S.O.V.I.R.E.L.) rencontre G. CHAVANES à Bordeaux. Ce dernier propose (69) d’abord que la S.O.V.R.E.L. prendre une participation de 4% dans la S.E.R.A.P. avec la possibilité, lors d’une augmentation du capital, de prendre un maximum de 15%. La S.O.V.I.R.E.L. accepte cette proposition et une convention entre elle et la S.E.R.A.P. fut signé (70) le 15 juin 1972, immédiatement après la création de la S.E.R.A.P. ▼
Comme dans le passé, la société LEROY-SOMER va créer une filiale destinée à la commercialisation directe des appareils d’Antoine Priore. Mais, G. Chavanes voulait éviter l’erreur commise à l’époque de la S.E.R.E.S.O. en associant la S.O.V.I.R.E.L. avec cette filiale dès sa création.
▲Comme dans le passé, la société LEROY-SOMER va créer une filiale destinée à la commercialisation directe des appareils d’Antoine PRIORE. Mais, G. CHAVANES voulait éviter l’erreur commise à l’époque de la S.E.R.E.S.O. en associant la S.O.V.I.R.E.L. avec cette filiale dès sa création. En mai 1972 A. SERUSCLATSeruscat (service juridique de la S.O.V.I.R.E.L.) rencontre G. CHAVANESChavanes à Bordeaux. Ce dernier propose <ref>(69) </ref> d’abord que la S.O.V.R.E.L. prendre une participation de 4% dans la S.E.R.A.P. avec la possibilité, lors d’une augmentation du capital, de prendre un maximum de 15%. La S.O.V.I.R.E.L. accepte cette proposition et une convention entre elle et la S.E.R.A.P. fut signé <ref>(70) </ref> le 15 juin 1972, immédiatement après la création de la S.E.R.A.P.
==La S.O.V.I.R.E.L. et la S.E.R.A.P.==
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