« Affaire Priore/Diverses rumeurs » : différence entre les versions

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* Le Pr Reboul acceptait le principe de laisser Antoine Priore traiter certains patients<ref>(39)</ref>. Malheureusement, l’administration hospitalière refusait<ref>(40)</ref> de prendre la responsabilité du transport des patients entre la fondation Bergonié et le domicile privé d’Antoine Priore. Si seulement l’appareil a été dans un hôpital public…
 
-* Le Pr Lagarde (directeur de la fondation Bergonié) participait aux travaux de [[Affaire Priore/La commission de 1969|la commission de contrôle de 1969]], a signé le rapport final<ref>(42)</ref> attestant aux résultats biologiques du rayonnement Priore sur des souris infestées avec des trypanosomes et il a fait des observations personnelles sur les souris ainsi traitées<ref>(43)</ref>. Sa méfiance ultérieure venait, très probablement, du fait que la subvention de la D.G.R.S.T. destinée à construire un appareil expérimental fiable et de faire des expériences de contrôle sur divers modèles du cancer étaient utilisée par la société LEROY-SOMER pour construire le M600.
 
Certes, l’attitude ultime des cancérologues priorephobes était anti-scientifique, et pour certains, dépassait la limite de l’honnêteté, mais on ne peut pas raisonnablement évoquer une cabale protectionniste de leur part contre Antoine Priore.