« Affaire Priore/Le P.I.O.M. » : différence entre les versions

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Du côté des universitaires, le Pr Pautrizel a essayé, avec l’aide du Pr Adolphe Pacault (faculté des sciences de Bordeaux), de constituer une équipe, mais le Pr Pacault renonce rapidement.
 
Finalement, sous l’impulsion <ref>92{{Archives Priore|id=1lNIJcMLV4NhESNWC3zl0EKXL0MQrvm9R |auteur=A. Rousset|titre=Lettre adressée à P. Chateaureynaud }}<br />{{Archives Priore|id=1050_wwNh5acuRTC_HR0NHj9jmc6KYyv_ |auteur=A. Rousset|titre=Lettre adressée à G. Chavanes }}</ref> du conseil régional d’Aquitaine (Philippe Madrelle, Alain Rousset, Gilles Savary) une équipe universitaire s’est constituée sous l’égide du Pr Jacques Joussot-Dubien, à l’époque directeur de l’[[w:fr:École nationale supérieure de chimie, de biologie et de physique|E.N.S.C.B. (École Nationale Supérieure de Chimie de Bordeaux)]]. Cette équipe était formée de: André-Marie Bottreau (physicien), Jacques-Marie Moreau (physicien), Alfred Caristan (chimiste), Bernard Veyret (chimiste), le Pr Pautrizel (biologiste), Pierrette Chateaureynaud-Duprat (biologiste). Elle s’est donné comme but l’étude « scientifique » de l’appareil Priore.
 
==Historique==