« Affaire Priore/Le P.I.O.M. » : différence entre les versions

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La stratégie adoptée par ce groupe hybride d'universitaires et de ‘privés’ sembla être :
 
:-* de se contenter de collecter des fonds et d’aménager un local mis à leur disposition sur le domaine universitaire pour abriter un appareil éventuel ;
 
:-* de ne pas essayer de retracer le cheminement technique et expérimental qui a conduit Antoine Priore, entre 1952 et 1957, vers sa découverte ;
 
:-* de ne pas produire un relevé détaillé des deux appareils existants à Floirac et de ne pas faire intervenir des spécialistes en H.F., micro-ondes etc., par déférence à l'égard de Paul Ribeau, qui voulait conserver une totale maîtrise de la réalisation du montage ;
 
:-* de sous-traiter la construction d’un appareil à Paul Ribeau dès que les sommes allouées au groupe universitaire le permirent :
 
:-* de décerner aux universitaires une seule fonction, celle de vérifier l'efficacité du montage de P. Ribeau en exposant des souris, préalablement infestées avec ''T. Equiperdum'', au rayonnement de l'appareil.
 
Une confiance totale fut accordée à Ribeau sur la foi de ses affirmations répétées de 'fils spirituel' d'Antoine Priore. En effet, ayant vécu dans l'ombre d'Antoine Priore pendant des années, Ribeau prétendait tout connaître de ses appareils. L'auto-proclamation de son savoir-faire fut longue à être mise en doute.