« Mujje Tulye en Côte d'Ivoire/la pêche en Côte d'Ivoire » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Formatage, ajout de div style="text-align: center;" |
m il faut écrire "de x à y" ou "entre x et y" mais pas "entre x à y" ! |
||
Ligne 47 :
En tout état de cause, depuis 1990, les chalutiers ivoiriens exploitent exclusivement le plateau continental ivoirien, dans les zones de Grand-Bassam, Jacqueville, Fresco, San Pedro et Tabou ; et pour l’essentiel, sur la bande des - 25 à - 50 m de profondeur. L’interdiction du chalutage à l’intérieur du premier mile à compter du 6 décembre 1960 pour protéger les juvéniles et prévenir les naufrages causés par la barre, sera portée à une limite de 3 miles en avril 1967 <ref name="Caveriviëlre2">{{Article|langue = fr||auteur1 = A. Caveriviëlre|auteur2 = J. Marcille|titre = La pêche industrielle en Côte d’Ivoire, Bilan et perspectives|périodique =La pêche maritime |année = août 1978|lire en ligne = http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_5/b_fdi_08-09/09356.pdf|pages = 2|volume =|consulté le = 27 octobre 2014}}</ref>.
Ainsi, la pêche au chalut exploite sur le plateau continental, un premier stock de poissons situé entre 10 et 50 m de profondeur et composé en majorité d’ombrines (Pseudotolithus senegalensis), de capitaines (Galeoides decadactylus) et de friture (Brachydeuterus auritus) ; ce stock fournit 75-80% des prises. Un second stock exploité plus en profondeur, entre 50
Il est cependant déploré, la petite taille des mailles des culs de chaluts utilisés en Côte d’Ivoire qui ne laissent pas échapper les plus petits poissons. Ceux-ci, en raison de leur forte capacité de croissance, auraient pu être capturés plus tard à un poids plus élevé<ref name="Caveriviëlre2" />.
|