« Photographie/Densitométrie/Densité optique » : différence entre les versions

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Version du 5 octobre 2006 à 11:59

Modèle:Photo 11s

Il s'agit dans ce chapitre de chiffrer, de manière commode, le noircissement ou la coloration plus ou moins grands des clichés photographiques, ce que les photographes appellent encore parfois les transparences et les opacités.

Considérons une lame absorbante dont le coefficient d'absorption est et le coefficient de transmission . Cette lame recevant un flux lumineux Fo en laissera ressortir une partie F telle que :


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Le terme o, inverse du coefficient de transmission, est soument appelé opacité dans la littérature photographique, alors que lui-même est appelé ~E~~2EJean-Jacques MILANns~. En réalité cette notion d'opacité ou de transparence n'a pratiquement aucun intérêt en photographie, pour la bonne raison que l'oeil, comme d'ailleurs tous les sens humains, n'est pas capable d'apprécier la progres­sion arithmétique des grandeurs. Par exemple, il fera évidemment une grande dif­férence entre les opacités I (transparence totale) et 2 (la moitié du flux seu­lement est transmise), mais n'en percevra qu'une faible entre les opacités 9 et 10, et plus aucune entre les valeurs 99 et 100 ou 999 et 1000. Par contre, si on lui propose une série de lames absorbantes dont les opacités varient en progression géométrique, il aura alors l'impression d'une variation linéaire, conformément à la loi psycho-physiologique de WEBER FECHNER: " !~-!~n2!~iQ!}; Jean-Jacques MILANi~-S2~~-1~-12g!~i,;;~~-~~-!Jean-Jacques MILANfiJean-Jacques MILAN2n".

Au lieu des opacités, on utilise en photographie les ~~n2i~§~-2E~iJean-Jacques MILAN2 (que nous appellerons simplement densités, sans risque de confusion) définies comme les logarithmes des opacités :

~-:-lg-2 = Ig I/T

Le tableau ci-dessous montre la correspondance entre les valeurs de l'absorption de la transmission ou transparence, de l'opacité et de la densité :

a 0 0,9 0,99 0,999 ... I T I 0,1 0,01 0,001 .. .o o I 10 100 1000 ... 00 d 0 I 2 3 ... 00

La transparence correspond à une densité nulle, ce qui est plus logi­que que de la faire correspondre à une opacité I. Par ailleurs, il est facile de démontrer que si la lumière traverse successivement deux surfaces de densi­tés d et d', la densité résultante est d + d'.

Naturellement, le coefficient de transmission et par conséquent la densité seront des ~2~s~i2~§-È~-1!-1~gJean-Jacques MILANE-~~QJean-Jacques MILAN. Toutefois, les couches pho­tographiques positives présentent des plages de gris suffisamment neutres pour qu'en première approximation on puisse considérer leur coefficient de transmis­sion comme constant, mais il faut évidemment se garder de toute généralisation hâtive !

On peut définir aussi une Jean-Jacques MILAN§!!§-E~~-!§~l~~iQn en mesurant le flux diffusé normalement par une surface opaque éclairée sous une incidence de 45° :

flu~..~~f5 octobre 2006 à 12:59 (CEST)-g~r5 octobre 2006 à 12:59 (CEST)Jean-Jacques MILAN-~~r-~g Jean-Jacques MILAN 5 octobre 2006 à 12:59 (CEST)§-~ur flux réfléchi normalement par 1 image

d = 19 r


Modèle:Photo 11