« Précis d'épistémologie/Les émotions, la volonté et l'attention » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
→Suis-je celui qui pense ? : mauvais emplacement |
|||
Ligne 154 :
Comme toute analogie, celle-ci a ses limites. En particulier elle n'est pas très flatteuse pour la société civile, parce que le ça n'est pas toujours très honorable, et qu'on peut espérer que le moi le soit davantage. Mais si on se sert de cette analogie pour dévaloriser la société civile et promouvoir l'État, on n'en fait évidemment pas un bon usage. Pour expliquer les bases cérébrales de l'organisation psychique, elle est une excellente analogie, parce qu'elle nous aide à comprendre l'organisation d'un système très complexe. Mais comme toute théorie, elle peut être interprétée et à tort et à travers.
=== Avons-nous toujours conscience de ce que nous voulons ? ===
|