« Orthograve/Linguistique politique » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
détails
Ligne 4 495 :
Évidemment, la proposition n’est pas sans présenter des difficultés. Il faut être lucide ; pas de miracle en vue : ''' ĩ ēlēfã sa trõp ''' … sa ou ça ? Qu’est-ce qu’on en fait de « sa » trompe ?
 
Mais avec les outils informatiques, comment se débrouillent les Japonais et les Chinois pour « idéographer » ? (voir « lecturelexique » ci-dessous) On peut faire confiance aux géniaux informaticiens occidentaux pour faciliter les traductions orthographiques sur smartphone de cet alfabé (dans les limites « pragmatiques » - voir le chapitre 9). La dictée vocale sur smartphone a déjà réglé le problème.
 
Par ailleurs, les chercheurs d’Érofa publient le bilan de leurs travaux pour une simplification raisonnable de l’orthographe française. Ainsi, des convergences se précisent, non centralisées, non étatisées, … libres. Vive la liberté ! Le but n’est pas de remplacer l’écriture du français par un système phonétique, mais de mettre les « Petites Poucettes » (et aussi les « Petits Poucets » !), tous ensemble ou'''ē''', sur le chantier de la communication langagière démocratique.
Ligne 4 509 :
D’abord en utilisant au mieux les correcteurs orthographiques. Il faut connaitre à la fois leurs immenses capacités et leurs limites. Il faut se méfier surtout des homographies que l’ordinateur est incapable de repérer ; mais on n’est plus obligé de classer dans sa mémoire les fioritures de ''chrysanthème'', à moins de les trouver belles.
 
Il faut apprendre aussi à apprivoiser quelques règles grammaticales terrifiantes en osant les regarder dans les yeux (ce que propose lela sitepartie « orthograverègles » d’[[orthograve]] par où vous êtes sans doute passé pouravant lired’affronter cela livre« politique »).
 
Ou encore, tirer profit des déconvenues de ceux qui hier encore disposaient de secrétaires et qui doivent désormais affronter directement le clavier ; ils se payent des « cotchs » pour éviter le pire. L’un de ces coachs a écrit un excellent livre rempli de trucs et bouts de ficelles. Dans le genre, on n’a jamais fait mieux ; les astuces débordent de partout. On pourrait même croire que c’est limite pour la mnémotechnie ; les vieux instits ayant déjà choisi depuis longtemps le juste nécessaire (« je m’aperçois qu’apercevoir … »). Mais ce coach n’est pas stupide non plus : il explique à ses ouailles que les mots à mémoriser, il faut les choisir selon l’urgence du boulot. Il s’agit de gagner du temps et de la peine. Au boulot ; pas dans « l’école libératrice » ! L’idéologie sous-jacente est modernement cynique, mais l’outil est utile aux faiblards de l’hippocampe ; y compris pour ses conseils psychologiques sur le fonctionnement du cerveau ; un jour peut-être ils serviront à l’école :