Depuis la création de la maison, les dictionnaires encyclopédiques Larousse dominaient très largement le marché français. Toutefois, vers la fin des années 1960, la concurrence frappefrappa sur deux fronts. D'une part, la suprématie en matière de dictionnaire se terminetermina avec la parution en [[1967]] du ''[[Le Petit Robert|Petit Robert]]''. D'autre part, sur le front des encyclopédies, la menace vientvint de la parution à partir de [[1968]] de l’''[[Encyclopædia Universalis]]''. La réponse de la maison Larousse prendprit la forme d'une ''[[Encyclopédie Larousse|Grande Encyclopédie Larousse en 21 volumes]]'' (vingt tomes encyclopédiques, un atlas, un index), publiée de 1971 à 1978. Mais celle-ci estfut un échec commercial<ref>Laetitia Bonicel, «alors Le Grand Larousse de la langue française(1971-1978) : de l’innovation lexicographique à l’échec dictionnairique »,que l''Études de linguistique appliquée'', 2005/1 (no 137), {{p.|39-49}}.</ref>. Alors que l' Encyclopédie Générale en trois volumes'' parue en 1968 s'avèrefut un support de grande qualité, ouvert et accessible au plus grand nombre. En même temps, l'éditeur lancelança une série de fascicules encyclopédiques et pédagogiques qui se vendentvendirent en kiosque.
Dans les années 2000, tout en revisitantrajeunissant le logo de la Semeuse d'[[w:Eugène Grasset|Eugène Grasset]], Larousse fait appel à [[w:Christian Lacroix|Christian Lacroix]] puis [[w:Karl Lagerfeld|Karl Lagerfeld]] pour redesigneraméliorer la présentation du ''Le Petit Larousse''.
En 1983, la société Larousse, qui était restée une entreprise familiale depuis plus de 125 ans, intègreintégra CEP Communication (Groupe de la Cité) lequelqui estfut absorbé par [[w:Havas|Havas]] en 1997 puis par [[w:Vivendi|Vivendi]]. Depuis 2004, Larousse fait partie du [[Groupe Hachette]] et partage ses locaux historiques, situés 15-17-19-21 de la [[rue du Montparnasse]], avec [[w:Armand Colin|Armand Colin]] (jusqu'en 2014).
