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En 1856, il publia avec l’aide de François Pillon le ''Nouveau Dictionnaire de la langue française'', ancêtre du ''Petit Larousse'', un ouvrage qui fut condamné par l’Église. Par la suite, pendant près de vingt-cinq ans, il élabora le ''Grand dictionnaire universel du XIXe siècle'', paru de 1866 à 1877 en 17 volumes et 20 500 pages. Entre temps, en 1869, Pierre se sépara de Boyer (les deux familles se sont réunies à nouveau en 1889), reprit le capital qu'il a accumulé grâce aux bénéfices de la maison, s'installa en 1878 comme auteur-éditeur au 19, rue du Montparnasse et comme imprimeur grâce à une imprimerie qu'il loua rue Notre-Dame-des-Champs. Il mourut à 57 ans, épuisé par son labeur. Son épouse Suzanne créa la société « Vve P. Larousse et Cie » avec son neveu, Jules Hollier-Larousse (1842-1909). La ''Revue encyclopédique'' fut produite par Hollier-Larousse et Cie, imprimeurs-éditeurs, 17, rue du Montparnasse à Paris entre 1891 et 1899.
 
Pierre Larousse n'ayant pas eu d'enfants, les continuateurs de la Librairie Larousse sontfurent Émile et Georges Moreau, Paul Gillon et [[w:Claude Augé|Claude Augé]], ; ce dernier était entré comme aide-comptable dans la maison. C'est à cette époque qu'[[w:Émile-Auguste Reiber|Émile-Auguste Reiber]] inventeinventa « la fleur de [[pissenlit]] » associéassociée à la devise ''Je sème à tout vent''.
<ref>Enveloppe jaune de la ''Revue encyclopédique'' au sigle du L (de Larousse) dans la partie interne du L entouré d'un léger cercle avec jeune fille soufflant sur un pissenlit '''mais sans devise''' au nom de Monsieur [[Alexandre Struys]], artiste-peintre, 172 Boulevard des Capucins (Belgique) [[Malines]] et portant cachet de Paris et le chiffre 8 entouré et au dos le cachet de Malines (station) du 28 août 1895. Cette enveloppe au timbre déchiré a été conservée par son ami [[Lucien Stroobant]], [[folkloriste]], dans une farde mêlant ses manuscrits et des documents du peintre.</ref>.
 
Pierre Larousse n'ayant pas eu d'enfants, les continuateurs de la Librairie Larousse sont Émile et Georges Moreau, Paul Gillon et [[Claude Augé]], ce dernier était entré comme aide-comptable dans la maison. C'est à cette époque qu'[[Émile-Auguste Reiber]] invente « la fleur de [[pissenlit]] » associé à la devise ''Je sème à tout vent''.
 
=== Le travail de Claude Augé ===