« Guide de survie/Milieu urbain » : différence entre les versions

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====Temporairement====
En été, selon les latitudes, la question de l'abri n'est pas vitale. A cet égard, il convient de trouver un espace hors de la vue (--commentaires humoristico-cyniques entre parenthèses-- si vous voulez vous faire zigouiller, brulébrûler, tabassétabasser). Généralement, les SDF et vagabonds ne sont pas appréciés des populations, surtout dans les quartiers aisés. Ceux-ci peuvent alors faire l'objet de contrôle des forces de l'ordre, ou d'arrestation.
Si la présence dans le milieu urbain n'est que temporaire, ou une étape de passage, il n'est pas de la première importance de chercher un lieu de couchage confortable. Pour une ou deux nuits, un bancs public (idéal pour avoir mal partout le lendemain), un sol meuble, un garage vide (scène de crime idéal pour le suicidaire et son bourreaux), ou tout autre endroit jugé acceptable peut faire l'affaire. Pour le confort, on peut essayer de se confectionner un tapis de sol avec du carton (on peut être écolo et les garnir de branchage feuillu pour améliorer le confort thermique). Si le temps est pluvieux, il ne faut pas miser sur la chance en espérant passer la nuit au sec, au risque de se réveiller trempé par la pluie, sans abris (il vaut mieux alors enlevé ses vêtement). Lorsque la météo est incertaine, la priorité est de trouver un abris protégeant des précipitations, et du vent si possible. En milieu urbain, on peut s’abriter sous les ponts, dans les abris d'arrêts de bus ou sous les parapets de bâtiments industriels, dans des toilettes publics, à l'intérieur d'un local de cimetière, dans le hall d'un hôpital ou dans de petits bâtiments en construction. Il faut alors s'assurer qu'on ne sera pas surpris pendant le sommeil par des employés, des passants ou des agents de sécurité.( a part les derniers ils pourront suivant votre "carma" vous aider)
 
Si la présence dans le milieu urbain n'est que temporaire, ou une étape de passage, il n'est pas de la première importance de chercher un lieu de couchage confortable. Pour une ou deux nuits, un bancs public (idéal pour avoir mal partout le lendemain), un sol meuble, un garage vide (scène de crime idéal pour le suicidaire et son bourreauxbourreau), ou tout autre endroit jugé acceptable peut faire l'affaire. Pour le confort, on peut essayer de se confectionner un tapis de sol avec du carton (on peut être écolo et les garnir de branchage feuillu pour améliorer le confort thermique). Si le temps est pluvieux, il ne faut pas miser sur la chance en espérant passer la nuit au sec, au risque de se réveiller trempé par la pluie, sans abris (il vaut mieux alors enlevéenlever ses vêtementvêtements). Lorsque la météo est incertaine, la priorité est de trouver un abrisabri protégeant des précipitations, et du vent si possible. En milieu urbain, on peut s’abriter sous les ponts, dans les abris d'arrêts de bus ou sous les parapets de bâtiments industriels, dans des toilettes publics, à l'intérieur d'un local de cimetière, dans le hall d'un hôpital ou dans de petits bâtiments en construction. Il faut alors s'assurer qu'on ne sera pas surpris pendant le sommeil par des employés, des passants ou des agents de sécurité.( a part lesces derniers ilsqui pourront, suivant votre "carma", vous aider).
En hiver, il est vital de trouver un abri en dur, protégeant des intempéries, sous peine de mort par hypothermie. Dans certains pays riches, des lieux d'accueil d'urgence sont proposés par des organismes de charité dans les grandes villes (avec toute les maladies,bactéries,virus,poux,puces,gales et autres petite bébête ainsi que les plus grosses : voleur,détraqué,mec qui puent...). Ceci étant dit, cette option est plus l'exception que la règle, et il est préférable de ne pas miser dessus. Malheureusement, les abris en dur chauffés et inhabités sont très rares, et sont souvent des lieux de passage (métro, hall de banque ouvert la nuit pour les distributeur automatique de billet, gares, local de maintenance d'immeuble, ....)(avec tout leur désagrément du genre jolie fille, personne généreuse, pieuses qui pourrait vous réconforter, vous nourrir, vous dépanner voire plus si affinité . Selon les lieux, ils peuvent avoir une heure de fermeture. Il faut donc s'assurer de pouvoir y passer la nuit. Pour déterminer les lieux exploitable, un repérage s’impose pour en connaitre les heures d'ouverture ou de fermeture, ainsi que leurs éventuelles fréquentation diurne ou nocturne.
 
En hiver, il est vital de trouver un abri en dur, protégeant des intempéries, sous peine de mort par hypothermie. Dans certains pays riches, des lieux d'accueil d'urgence sont proposés par des organismes de charité dans les grandes villes (avec toutetoutes les maladies, bactéries, virus, poux, puces, gales et autres petitepetites bébêtebébêtes ainsi que les plus grosses : voleurvoleurs,détraqué détraqués,mec mecs qui puent...). Ceci étant dit, cette option est plus l'exception que la règle, et il est préférable de ne pas miser dessus. Malheureusement, les abris en dur chauffés et inhabités sont très rares, et sont souvent des lieux de passage (métro, hall de banque ouvert la nuit pour les distributeurdistributeurs automatiqueautomatiques de billetbillets, gares, local de maintenance d'immeuble, ....)(avec Avec tout leur désagrément du genre jolie fille, personne généreuse, pieuses qui pourrait vous réconforter, vous nourrir, vous dépanner voire plus si affinité . Selon les lieux, ils peuvent avoir une heure de fermeture. Il faut donc s'assurer de pouvoir y passer la nuit. Pour déterminer les lieux exploitableexploitables, un repérage s’impose pour en connaitre les heures d'ouverture ou de fermeture, ainsi que leurs éventuelles fréquentationfréquentations diurnediurnes ou nocturnenocturnes.)
Il arrive que certaines églises célèbrent une messe nocturne. Il est possible de s'y cacher pour passer la nuit (pour congeler et aller direct au paradis), au risque d'être enfermé le lendemain matin. En effet, face au vandalisme, de plus en plus de lieux de cultes sont fermés à clé. Cela peut être considéré comme une avantage; en suivant la messe jusqu'à la fermeture, le prêtre vous proposera peut-être un logement temporaire à la cure pour passer la nuit.(les autres lieu de cultes ne devant pas être négligé certaine autre religion oblige aussi leur fidèle à aider les personnes dans le besoin comme si il s'agissait de leur famille ou d'un ministre.
 
Il arrive que certaines églises célèbrent une messe nocturne. Il est possible de s'y cacher pour passer la nuit (pour congeler et aller direct au paradis), au risque d'être enfermé le lendemain matin. En effet, face au vandalisme, de plus en plus de lieux de cultes sont fermés à clé. Cela peut être considéré comme une avantage; en suivant la messe jusqu'à la fermeture, le prêtre vous proposera peut-être un logement temporaire à la cure pour passer la nuit.(les autres lieulieux de cultesculte ne devant pas être négligénégligés, certainecertaines autreautres religionreligions obligeobligent aussi leurleurs fidèlefidèles à aider les personnes dans le besoin comme si s'il s'agissait de leur famille ou d'un ministre.)
 
====Plusieurs semaines, quelques mois====
[[File:Ex-Steffi (Squat) 1.jpg|thumb|Un squat en Allemagne. Ses habitants pratiquent la survie en milieu urbain: protection contre le froid et stabilité résidentielle.]]
Pour survivre durant une période prolongée en milieu urbain, une solution que certain estime viable est le [[:w:Squat (lieu)|squat]].(idéal pour tomber dans l'alcoolisme, la dépendance aux injections intraveineuseintraveineuses de drogue dure et les joies que tout cela procure , et autreautres désagréments encore pire que ceux des foyers sociaux qui sont un minimum désinfectédésinfectés) ; Il faut trouver une immeuble ou un bâtiment non habité, sans activité professionnelle, commerciale ou industrielle. Deux profils correspondent aux critères : les bâtiments abandonnés (idéal pour la momification de votre corps afin de soutenir la médecine ou l'archéologie du futur, si les rats voire les cannibales ne s'occupent pas de vous ) et les immeubles non occupés pour divers raisons (transaction immobilière bloquée, détention immobilière passive). Les immeubles inoccupés sont très rare, et nécessitent une longue observation du quartier; par conséquent, il ne faut pas compter dessus. Les bâtiments abandonnés sont souvent en périphérie de ville, et concernent majoritairement des zones industrielles ou commerciales. La conjoncture économique étant variable, certaines régions sont sinistrés, et les entreprises qui ferment ne trouve aucun repreneur. Le site reste alors libre, mais non surveillé. Certains bâtiments restent ainsi squatable"squatables" indéfiniment, jusqu'à leurs destruction. Ceux-ci se concentrent dans les "friches industrielles". Attention, si en Europe, les friches industrielles et les banlieues se trouvent souvent en périphérie immédiate de la ville, ce n'est pas le cas partout. Aux États-Unis, les périphéries urbaines sont très souvent des quartiers pavillonnaires, alors que le centre ville contient des habitats vétustes.
 
Le [[:w:Squat (lieu)|squat]] permet de supprimer la question du logement pour une durée indéterminée, et de pouvoir entreposer des affaires personnelles (dont tout le monde pourra se servir avant ou après votre mortsmort dutdue à une injection intraveineuse de drogue dure, et/ou de fluides corporelcorporels, même involontaire), et au fil du temps, améliorer son quotidien par la possession de plus de matériel qu'on ne peut en transporter. (tout en réduisant drastiquement votre espérance de vie, vous évitant par votre décès touttous les tracas formidables de la vie).
 
===Se nourrir===
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A l'échelle internationale, il faut savoir que près d'un quart de la nourriture produite est jetée. En occident la moyenne est plus élevée, pour atteindre la barre des 40% aux États-Unis. Il est donc tout à fait possible de s'alimenter par ce biais, en ayant en têtes plusieurs points.
 
*La durée de conservation des aliments dépendsdépend de la température. La chaleur de l'été rendra dangereuse la consommation des aliments en quelques heures, surchauffés par l'effet de serre généré par le conteneur. En hivershiver, en revanche, les déchets sont maintenus à des températures frigorifiques, préservant virtuellement la chainechaîne du froid aussi longtemps que la température perdurera.
 
*Les magasins alimentaires sont les principaux lieux où l'on jette de la nourriture. Celle-ci finit à la poubelle soit en raison de la date de péremption, soit en raison d'un défaut de conditionnement (ou dégradation en étalage) la rendant invendable, quoi que tout à fait comestible. Une fois mise au rebuts, la choix des aliments doit se faire avec prudence. Les produits frais et congelés, la viande et le poisson ou les œufs deviennent rapidement impropre à la consommation sous peine d'intoxication alimentaire. Les légumes deviennent impropreimpropres à la consommation plus tardivement. Enfin, les aliments secs et/ou conditionnés se gardent très longtemps (boiteboites de conservesconserve, biscuits, ...). Les emballages plastique, quoi que source de déchets sont synonyme de meilleure conservation. Ainsi, le suremballage sera un gage de préservation, quand bien même il soit aujourd'hui décrié. A noter que face à l'ouverture parfois trop fréquente des sacs par l'augmentation du nombre de SDF ou de personnes en grande précarité, de plus en plus de magasins aspergent leur déchets alimentaires de javelle afin d'enrayer le phénomène.
 
*Les poubelles des particuliers recèlent également de la nourriture, mais celle-ci est peu exploitable, puisqu'il s'agit principalement de fond de plats ou de déchets de cuisine. Il sera peu probable de trouver des aliments encore emballés. Les éventuels aliments seront en petite quantité, et mélangés à d'autres déchets ménager. En outre, les poubelles des ménages restent généralement plusieurs jours, voir une semaine avant d'être jetées (selon la fréquence du ramassage des ordures), augmentant ainsi le risque d'intoxication alimentaire. Aujourd'hui, dans les quartiers pavillonnaires des pays développés, une partie de plus en plus importante des déchets alimentaires biodégradables finissent au compost. A cet égard, les poubelles des particuliers sont à éviter puisqu'elle ne permettent aucune subsistance alimentaire, et leur ouverture expose l'auteur à l'intervention des forces de l'ordre. Les sacs éventrés n'étant pas ramassés par la voirie dans de nombreuses villes.
 
Dans certains pays riches en occident, il existe des organisation caritatives qui ont pour objectif d'aider les personnes les plus démunies à s'assurer une relative sécurité alimentaire. En France, les restosRestos du cœur offrent des repas aux SDF (et pas uniquement), tandis que le secoursSecours catholique constitue une banque alimentaire.
 
Il est possible de chasser une faune devenue typiquement urbaine : pigeons, rats, chats errants .(porteurporteurs de presque toutestous les maladies et parasites) ... ou de pêcher s'il existe une rivière importante (égouts a ciel ouvert) et de les faire cuire. Cette solution est à mettre en œuvre uniquement dans le cas ou les solutions précédentes ne sont pas envisageableenvisageables (pays pauvres dans lesquelles vous n'aurez sans doute pas aà faire tout saça car la population riche ou pauvrespauvre vous aideraisaiderait beaucoup plus que dans les pays dit développédéveloppés) puisque ce genre d'action choque les citoyens habitués en occident, à une sur-affection des animaux.
 
La question de l'eau potable peut se poser dans certaines régionrégions. Dans de nombreux pays développés, l'eau qui coule des robinets est potable (issue de la station d'épuration qui n'élimine pas les résidus de médicament et contient une flopée de produit chimiques), auquel cas, il suffit donc de trouver un point d'eau (fontaine, toilettes de restaurants, toilettes publicspubliques, ...) Ce qui n'est pas le vrai partout dans le monde. Dans cette optique, consultez la chapitre [[Guide de survie/Hydratation|Hydratation]].
 
===Hygiène et habillement===
====Lavage et lessive====
L'hygiène dans un contexte de survie peut paraitreparaître une préoccupation superflue, mais ce n'est vrai que sur un période de courte à moyenne durée. Au delà, un minimum d'hygiène s'impose pour des questions de santé, de confort et de maintenance de l'équipement (sans compter l'éventuel attirance que pourra ressentir le sexe opposé a votre égard même si cela ne découragera pas les bonnes personnes ). Dans un tel contexte, l'hygiène est étroitement liéliée à la capacité de se procurer de l'eau clairclaire.
 
Les toilettes publicspubliques offrent souvent un robinet et un lavabo/évier qui permet une lessive sommaire, sans savon, qui permettra un prélavage à l'eau froide (complètement inutile sauf peut -être pour votre estime de vous même à condition de bien frotter). Dans les villes européennes, les fontaines ne sont pas choses rares, et sont une alternative au toilettes publicspubliques, quand celles-ci ne sont pas coupéecoupées en hivershiver. Mais on préfèrerapréférera les toilettes publicspubliques car l'utilisation des fontaines peut être limitéeslimitée. Plus globalement, tout cours d'eau d'une propreté et d'un débit suffisant permet un prélavage identique. On notera à ce propos que la lessive en rivière était pratiquée il y a encore un siècle, et qu'elle continue à l'être.
 
Si, en occident, le système caritatif permet l'acquisition facile de vêtement ([[:w:magasin gratuit]], [[:w:ressourcerie]], ...), il sera plus simple de les changer de temps à autre plutôt que de les laver tant bien que mal avec une piètre efficacité.
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Dans le cadre de la survie en milieu urbain, on peut considérer deux besoins de transport: celui pour quitter la ville, et celui pour s'y déplacer. Lorsqu'il s'agit de transports intra-urbain, on privilégiera la marche à pied, qui est gratuite et qui génère une activité physique saine (surtout grâce a la pollution). Si au contraire, l'objectif est de quitter la ville pour se rendre ailleurs, on retiendra les possibilités suivantes;
 
*L'autostopauto-stop permet de se déplacer gratuitement sur des distances journalières variables (et de faire des rencontre plus ou moins chanceuse), Plusieurs personnes ont ainsi traversé des pays et des continents par ce moyen. La pratique de l'autostopauto-stop nécessite de ne pas avoir trop de bagage (un gros sac à dos de 100L100 L pourra être accepté) et une apparence physique qui ne repoussera pas les automobilistes.(les sous vètements vous garantiront un sucés inégalable) En hivershiver, l'autostopauto-stop peut être dangereux si on sort de la voiture au milieu de nul parnulle-part sous la neige.
 
*Transports en commun sont une solution lorsque le climat extérieur rend de longue marche dangereuse ([[Guide de survie/Montagne|survie dans les déserts]], [[Guide de survie/Montagne|survie en montagne]], ...), mais nécessite de l'argent. Dans un contexte de survie, la personne appréciera d'elle même si la situation justifie la fraude du ticket ou non, engageant sa responsabilité. D'autant plus qu'il existe la technique de la "pièce manquante" permettant d'obtenir de l'argent. Certaines personnes abordent des voyageurs en leur demandant s'il n'ont pas les quelques derniers centimes qu'il leur manquent pour acheter leur titre de transport. (plus généralement de l'alcool de la drogue plus souvent les deux) ; En répétant cette opération des dizaines de foifois, la somme permet son acquisition. (tant qu'a faire la manche autant demander directement un ticket ou expliquer sa situation au chauffeur).
 
Quitter une ville peut être salutaire si celle-ci présente une situation socio-économique rendant la subsistance déjà difficile pour la population salarié (qui est généralement plus aidante lorsqu' elle pauvre, sans faire de généralitégénéralités (?), car il suffit d'un "riche" qui vous aide pour compenser ceux qui ne le font pas, et dépasser du moins monétairement les pauvres qui vous aideront) , ou si son climat est mortel en hiver. De manière généralgénérale, la survie en milieu urbain semble moins difficile dans les très grandes villes, et dans les pays riches. (cela vaut peut être pour la survie alors que dans un pays ditsdit pauvre les gens vous aideront tout simplement a vivre normalement la nourriture y étant moins cherchère, voire même gratuite a la campagne).
 
====Internet====
Le milieu urbain offre la luxueuse possibilité -dans le cadre de la survie- de pouvoir se connecter à internetInternet presque n'importe où. Dans le cas où les conditions de survie ont détruit ou perdueperdu le téléphone de son propriétaire, ce dernier pourra trouver de l'aide de ses amis et des informations précieuses pour mettre fin à cette situation précaire. Si la majorité des connexions sont payantes (cybercafé) ou nécessitant un ordinateur portable (réseau wifi publics, hotspot, ...), dans certains lieulieux publicpublics (bibliothèque municipale, médiathèque), il est possible de se connecter gratuitement, au moins pour une durée limitée. Internet pourrait être le meilleur moyen de rentrer au pays si la survie s'effectue dans un pays lointain.
 
====Téléphone====
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===Hors de la légalité===
[[File:Yakutsk 4 (ntx).jpg|thumb|
mIakoutskYakoutsk en mars. Il est parfois impossible de survivre en milieu urbain dans certaines conditions cliatiquesclimatiques.]]
[[File:1997 277-16A Agadez hotel.jpg|thumb|left|Agadez, ville du Tchadiennenigérienne du Sahara. Chaleur et sécheresse, cumuléecumulées auaux conditions urbaines rendent la survie de longue durée impensable.]]
En sortant du cadre légal, la survie en milieu urbain est chose aisée, mais non durable... Dans certaines situations extrêmes, elle peut sauver la vie, quitte à faire face à une posture difficile avec la justice(, et ceuxce, pour une durée indéterminée ( en perdant au passage ce qui vous reste d'honneur et vous privant du contact des personnes apriori''a sociablepriori'' sociables donc enclineenclines aà améliorer votre situation ). Par exemple, en Sibérie, se faire interner en prison peut permettre de passer plusieurs mois dans un lieu chauffé avec nourriture et blanchissement, (avec des tatoués sympasympas souhaitant visiter votre intimité la plus profonde et/ou vous faire goutergoûter de force leur sécrétion toute aussi intime) évitant de mourir de froid par des températures extrêmement basses (parfois en deçà de -4050°C), sans possibilité de trouver de la nourriture ou de l'eau dehors. (vous recevraisrecevrez en contre -partie les désagrémentdésagréments combinécombinés des squatsquats, du foyer et de la rue...)<br/><br/>
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