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Les '''neurotransmetteurs à faible poids moléculaire''' ne sont pas des protéines, et leur point commun est d'avoir peu d'atomes (et ils ont donc une faible masse par molécule). Ceux-ci sont les plus communs, et sont parmi les plus fréquents dans le système nerveux. Il faut dire que leur faible poids est un avantage : cela leur permet de traverser plus rapidement la fente synaptique, sans compter qu'ils sont faciles à produire par la cellule. Ceux-ci sont fabriqués dans le bout de l'axone, à partir de molécules primitives provenant du corps cellulaire du neurone.
 
Le reste est simplement appelé '''neurotransmetteurs atypiques'''.
Le reste est simplement appelé '''neurotransmetteurs atypiques'''. On y trouve des neurotransmetteurs comme les endocannabinoïdes (des dérivés du principe actif du cannabis). Dans un cerveau normal, ces endocannabinoïdes diminuent l'activité de nombreuse synapses impliquées dans la mémoire et la motricité. Ceux-ci agissent sur des récepteurs endocannabinoïques spécifiques. C'est grâce à ces récepteurs que le principe actif du cannabis influence le comportement et la perception. On estime qu'une activation régulière de ces récepteurs par le cannabis cause des modifications dans la traduction de l'ADN en protéines, pouvant déclencher des schizophrénies chez des personnes génétiquement prédisposées. Mais si ce mécanisme n'est pas encore validé, l'influence du cannabis sur le déclenchement de troubles schizophréniques est aujourd’hui parfaitement établie.
 
===Acétylcholine===
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[[File:Endogenous Opioids-Endorphins Schematic.png|centre|Endogenous Opioids-Endorphins Schematic]]
 
===Endocannabinoïdes endogènes===
 
LeLes resteendocannabinoïdes estsont simplementdes appelédérivés '''neurotransmetteursnaturels atypiques'''.du Onprincipe yactif trouvedu descannabis, neurotransmetteursprésent commeen lesfaibles endocannabinoïdesquantités (desdans dérivésle du principe actif du cannabis)cerveau. Dans un cerveau normal, ces endocannabinoïdes diminuent l'activité de nombreuse synapses impliquées dans la mémoire et la motricité. Ceux-ci agissent sur des récepteurs endocannabinoïques spécifiques. C'est grâce à ces récepteurs que le principe actif du cannabis influence le comportement et la perception. On estime qu'une activation régulière de ces récepteurs par le cannabis cause des modifications dans la traduction de l'ADN en protéines, pouvant déclencher des schizophrénies chez des personnes génétiquement prédisposées. Mais si ce mécanisme n'est pas encore validé, l'influence du cannabis sur le déclenchement de troubles schizophréniques est aujourd’hui parfaitement établie.
 
==La plasticité synaptique==