« Photographie/Netteté des images/Profondeur de champ/Considérations théoriques » : différence entre les versions

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Pour autant, ne négligez pas la lecture de cette page. Vous pouvez passer outre les calculs, mais prenez le temps de lire les conclusions !}}
 
 
Comme pourDans toute étude théorique, il convient de prendre des précautions, faute de quoi tout résultat devient critiquable. Nous allons donc commencer par poser avec soin les hypothèses sur lesquelles reposent les calculs.
 
 
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* L'objectif sera considéré comme une lentille mince parfaite et donc capable de donner d'une source ponctuelle, à toutes les ouvertures, une image elle aussi ponctuelle. Les lecteurs courageux retrouveront exactement les mêmes résultats en utilisant non plus le centre optique d'une lentille mince, mais les points nodaux d'un système centré. Notons aussi que plus la qualité d'un objectif est élevée, plus les calculs de profondeur de champ sont fiables.
 
* Pour les images numériques, nous supposerons en outre que le capteur est d'une qualité suffisante pour utiliser au mieux l'image fournie par l'objectif et que par ailleurs les images n'ont subi, avant leur enregistrement, aucun traitement susceptible de modifier leur netteté apparente.
 
* Les images finales seront examinées a priori depuis la [[distance orthoscopique]]. Nous verrons ensuiteen temps utile ce que cela donne dans les autres cas.
 
Nous utiliserons par ailleurs les formules des lentilles simples convergentes ''sous leur forme arithmétique et non sous leur forme algébrique''. D'une part, le fait que les objectifs donnent des images inversées n'influe aucunement sur la netteté, d'autre part certains appareils sont munis d'objectifs de type « périscopique » et dans ce cas le signe du grandissement perd toute signification. Nous n'aurons en fait besoin que de deux formules :