« Photographie/Fabricants/Gaumont » : différence entre les versions
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En [[1903]], il prend la [[marguerite commune]] comme [[Logotype|logo]], en hommage à sa mère qui se prénommait [[Marguerite (prénom)|Marguerite]]<ref>{{ouvrage|titre=Le générique de film|auteur=Nicole de Mourgues|éditeur=éd. [[Klincksieck|Méridiens Klincksieck]]|année=1994|pages=292|isbn=2-86563-318-7|passage=179}}.</ref>. Aujourd'hui, malgré de régulières modifications du dessin<ref>« [http://www.gaumont-le-musee.fr/balcons_logos-officiels.html Logos de la marguerite : logos officiels] », sur le musée virtuel Gaumont. Consulté le 11 avril 2009.</ref>, la marguerite est toujours présente même si sa signification est quelque peu oubliée (voir logo actuel ci-dessus). Ce logo a conduit l'entreprise à se voir [[surnom]]mée « la firme à la marguerite ». C'est aussi en référence à cela, qu'en 2006, le musée virtuel Gaumont a été ouvert le [[16 novembre]], soit le jour de la [[Sainte Marguerite d'Écosse|Sainte Marguerite]]<ref>{{article|titre=Un musée Gaumont du cinéma en ligne|jour=17|mois=novembre|année=2006|auteur=Nicole Vulser|journal=[[Le Monde]]}}.</ref>.
La compagnie devient une [[société anonyme]] en [[1906]] sous le nom de ''Société des établissements Gaumont''. La production se concentre dans les studios Elgé (d'après les initiales du fondateur) aux [[Parc des Buttes-Chaumont|Buttes Chaumont]] où Léon Gaumont a fait installer un premier atelier cinématographique en 1897, avant d'en faire en 1905 un studio destiné à la prise de vues et muni d'un appareillage sophistiqué<ref>{{ouvrage|auteur=Claude Beylie|titre=1895-1910 : les pionniers du cinéma français|éditeur=L'Avant-Scène|date=1984|passage=48|isbn=|lire en ligne=}}</ref>. Le catalogue de production ne se limite pas à la fiction mais comporte aussi plusieurs centaines de films documentaires, dont beaucoup seront regroupés dans les années 20 au sein de l'Encyclopédie Gaumont<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = Frédéric Delmeulle|titre = Contribution à l'histoire du cinéma documentaire en France. Le cas de l'Encyclopédie Gaumont (1909-1929)|éditeur = Presses du Septentrion - Atelier National de Reproduction des Thèses|année = 1999|pages totales = 404|isbn = 978-2-7295-3394-6|lire en ligne = |passage = }}</ref>.
La vente de films se transformant en location, Gaumont ouvre ses premières salles de cinéma, et notamment le [[Gaumont Palace]] en juillet [[1911]].
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