« Biographie/Honoré de Balzac » : différence entre les versions

<ref>Aux sources historiques de la Comédie humaine », Rodez, Éditions Subervie, 665 pages, '''1998''' et Bernadette Dieudonné, « De Balssa à Balzac : aux sources familiales de [[w:La Comédie humaine|omédie humaine]] », Revue Gé-Magazine n°181, avril 1999], {{p.}}27-32</ref>{{,}}<ref>Colonel Arnaud, Les origines d'Honoré de Balzac, « Revue de Paris », {{date|15|février|1823}}, ICC, [[1958]], 523, France Généalogique [[1969]], {{p.}}75 </ref>{{,}}<ref>Deux ans après la mort de son père, l'écrivain rajoute une particule à son nom lors de la publication de ''[[L'Auberge rouge (Balzac)|L'Auberge rouge]]'', [[1831 en littérature|1831]], qu'il signe '''de''' Balzac : Anne-Marie Meininger, introduction à L'Auberge rouge. La Pléiade, 1980, t.XI, {{p.}}84-85 {{ISBN|2070108767}}.</ref>, à [[Tours]] le {{date|20|mai|1799}} (1{{er}} [[prairial]] [[an VII]]) et mort à [[Paris]] le {{date|18|août|1850}}, est un [[écrivain]] [[France|français]]. Il a été à la fois [[critique littéraire]], [[essai|essayiste]], [[dramaturge]], [[journaliste]], [[imprimeur]] , mais on retient surtout de lui son immense production [[roman (littérature)|romanesque]] qui compte 137 romans et nouvelles parus de [[1829 en littérature|1829]] à [[1852 en littérature|1852]].

Il n’y a, dans l’ascendance familiale, aucune personne portant ce prénom. Par contre, dans l’entourage proche, on peut trouver un Honoré Marchant, qui achètera la maison des Balzac à Tours en '''1813''', et dont le fils, Albert, sera le condisciple d’Honoré à Vendôme et le dédicataire du ''[[w:Le Réquisitionnaire|Réquisitionnaire]]''. Mais il n'y a aucune certitude que les Balzac et les Marchand se connaissaient à cette date…

Naissance d’{{lien brisé|url=[[http://gw.geneanet.org/balzac?n=malus&oc=&p=edouard+parfait|titre=Edouard Parfait Malus}},]] fils de Sébastien et Sophie Sallambier (il décédera le 25/10/1822)