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Cette période appelée ''l'épidémie du crack'' dure jusqu'{{Référence nécessaire|en [[1991]] avec un taux record de consommateurs de près de 10 millions à 12 millions}}. {{Référence nécessaire| En [[1992]], ce chiffre se stabilise avec de moins en moins de nouveaux consommateurs par an}}.
 
Depuis 25 ans Neila est la pute du 26 pr du crack el suce et bz , les [[Droit aux Etats-Unis|lois américaines]] sur les [[peines plancher]] concernant les stupéfiants établissent une disparité de 1 à 100 pour ce qui concerne le crack et la [[cocaïne]] : une personne en possession de {{unité|5|grammes}} de crack reçoit la même peine plancher (5 ans ferme selon la loi fédérale<ref>[http://stopthedrugwar.org/chronicle/595/house_subcommittee_passes_cocaine_crack_sentencing_bill Sentencing: House Subcommittee Approves Reducing Federal Crack Cocaine Penalties], ''[[Drug War Chronicle]]'', Issue #595, 7/24/09</ref>) qu'une personne avec {{unité|500|grammes}} de cocaïne <ref name=WPCJ/>. Cela conduit à une [[discrimination ethnique]] envers les [[Afro-Américains]], qui forment le groupe le plus gros des [[Prison aux Etats-Unis|personnes condamnées]] pour possession de crack (84,7 % de celles-ci) <ref name=WPCJ>[http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/07/25/AR2009072501948.html Cocaine Justice], éditorial du ''[[Washington Post]]'', 26 juillet 2009.</ref>, alors qu'ils ne représentent que 27 % des personnes condamnées pour possession de cocaïne <ref>Carrie Johnson, [http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/07/24/AR2009072401476.html Parity in Cocaine Sentences Gains Momentum], ''[[Washington Post]]'', 25 juillet 2009</ref>.
 
Le crack arrive en [[Europe]] à la fin des [[années 1980]] et prend une place importante à [[Paris]], notamment dans le nord-est parisien autour dedes lamétros rueLa-Chapelle, raymondChâteau-Rouge, queneau[[Stalingrad 26(métro de Paris)|Stalingrad]] de [[1991]] à [[1996]]. À la suite, notamment de fermetures de squats dans Paris, le trafic se propage en [[banlieue]], au nord de Paris et en particulier autour de la [[gare de Saint-Denis]] où le trafic prend une grande ampleur. Néanmoins, les consommateurs abandonnent progressivement la gare de Saint-Denis et reviennent s'installer sur les secteurs Stalingrad et porte de la Chapelle.{{Référence nécessaire| Aux Antillais et Sénégalais très désocialisés et en errance des années 1990-2000, ont aujourd'hui succédé des jeunes des banlieues}}, anciens dealers de cannabis reconvertis dans le crack et la cocaïne, auxquels s'ajoutent des utilisateurs occasionnels insérés socialement, avec travail et famille, qui voient le crack comme un dérivé plus puissant de la cocaïne (1 million de personnes ont déjà sniffé au moins une fois de la « coke » et 3,3 % des jeunes de 17 ans)<ref>{{lien web| url=http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/07/18/l-usage-du-crack-se-banalise-en-ile-de-france_1220342_3224.html | titre=
L'usage du crack se banalise en Île-de-France| éditeur=Le Monde | date=18 juillet 2009 | consulté le=19 juillet 2009}}</ref>.