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=== De rares desserts mais des mets populaires ===
La cuisine ivoirienne ne comporte presque pas de desserts. Les repas souvent caloriques ne les rendent pas nécessaires.<ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Cuisine_ivoirienne</ref>Les rares desserts proviennent des pays voisins et sont en général arrivés avec les travailleurs immigrés.
L'attiéké, semoule de manioc
Les femmes Ebriés ne confectionnent pas de la même manière l'attiéké qu’elles vendent avec celui qui est consommé par leur propre ménage. Par conséquent, elles qualifiaient d'adjèkè le produit vendu, afin de marquer la différence avec le produit consommé à la maison (Ahi). Ce sont ensuite les transporteurs qui ont propagé ce mot le faisant passer à 'atchèkè' puis 'attiéké'.
L'attiéké a la réputation de faire dormir. Certains diront que c'est parce qu'il rassasie bien, d'autres parce qu'il a une haute teneur en amidon. L'attiéké est composé à plus de 95 % de glucides et est très pauvre en lipides (environ 2 %) ainsi qu'en protides (moins de 2 %). Sa valeur calorique est faible, avec environ 350 kCal pour 100 g. C'est un accompagnement prisé par les populations ivoiriennes.<ref>http://mantongouine.free.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=121:les-plats-ivoiriens-et-yacouba&catid=6:tourisme&Itemid=18</ref>
Un autre plat souvent servi dans la rue est l'alloco. Des bananes mûres frites dans de l'huile de palme, consommées avec une sauce épicée à base d'oignon et de chili. L’alloco peut être consommée seul comme snack ou souvent avec un œuf dur.
== Sources ==
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